MON ROMAN CROQUÉ PAR LE CANARD
Pour le 1er anniversaire de sa parution mes « Deux étés 44 » se retrouvent, oh ! Joie ! dans le Canard Enchainé.
Voilà qui aurait fait si plaisir à mon grand-père Jacques Heilbronn qui commença à le lire à 17 ans dans les tranchées de Champagne pour le lire chaque semaine jusqu’à sa mort.
C’est aussi à ce journal, découvert donc très jeune chez lui, que je dois mon irrévérence pour les puissants de toute sorte. A commencer par le roi Louis XV !
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