Responsable israélien: Biden cherche à évincer Netanyahu
Un « très haut responsable » israélien a critiqué mardi un rapport des services de renseignement américains selon lequel le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu « pourrait être en danger », au milieu des critiques constantes de l’administration Biden sur la poursuite par Jérusalem de la guerre contre le Hamas.
« Ceux qui élisent le Premier ministre d’Israël sont les citoyens d’Israël et personne d’autre », selon un communiqué publié aux médias au nom du responsable.
« Israël n’est pas un protectorat des États-Unis mais plutôt un pays indépendant et démocratique dont les citoyens élisent le gouvernement. Nous attendons de nos amis qu’ils agissent pour renverser le régime terroriste du Hamas et non le gouvernement élu en Israël », a ajouté le responsable.
Cette déclaration fait suite à la publication lundi de « l’évaluation annuelle 2024 de la menace pesant sur la communauté du renseignement américain », qui souligne l’attente de Washington que de grandes manifestations forceront la démission de Netanyahu et entraîneront le remplacement de son gouvernement de droite par une coalition « plus modérée ».
« La méfiance à l’égard de la capacité de Netanyahu à gouverner s’est approfondie et élargie dans l’opinion publique par rapport aux niveaux déjà élevés d’avant la guerre, et nous nous attendons à de grandes manifestations exigeant sa démission et de nouvelles élections. Un gouvernement différent, plus modéré, est une possibilité », indique le rapport.
Les agences de renseignement ont noté que le dirigeant israélien de longue date a « publiquement déclaré son opposition à la diplomatie d’après-guerre avec l’Autorité palestinienne (AP) en faveur d’un compromis territorial ».
Ces derniers mois, l’administration Biden a fait pression pour que l’AP revienne au pouvoir à Gaza comme premier pas vers un État palestinien. La Maison Blanche aurait menacé de reconnaître unilatéralement l’accord au milieu d’une large opposition à cette décision en Israël.
Lundi, Politico a rapporté que le président américain Joe Biden envisageait de conditionner l’aide militaire à Israël si Jérusalem poursuivait sa conquête du dernier bastion du Hamas, Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
Dans une interview accordée à MSNBC ce week-end, Biden a déclaré que la conquête de Rafah était une « ligne rouge », avant de préciser rapidement : « Je ne quitterai jamais Israël. La défense d’Israël est toujours cruciale, donc il n’y a pas de ligne rouge [où] je vais couper toutes les armes afin qu’ils n’aient pas le Dôme de Fer pour les protéger. »
Netanyahu a répondu aux remarques de Biden sur la « ligne rouge », déclarant lundi à Fox News que la destruction des derniers bataillons du Hamas était essentielle pour gagner la guerre.
« Je veux dire, nous devons remporter cette victoire. Nous ne pouvons pas avoir les trois quarts d’une victoire. Nous ne pouvons pas avoir les deux tiers d’une victoire, car le Hamas va se reconstituer avec ces quatre bataillons à Rafah, reconquérir la bande de Gaza et répéter encore et encore le massacre du 7 octobre. Et pour nous, pour Israël, pas seulement pour moi, mais pour le peuple d’Israël, c’est une ligne rouge. Nous ne pouvons pas laisser le Hamas survivre », a déclaré le Premier ministre.
Selon une enquête publiée plus tôt cette semaine, même les Israéliens qui ne font pas confiance au leadership de Netanyahu continuent de soutenir certaines de ses politiques de guerre clés, notamment son opposition à la solution à deux États et son insistance pour que les Forces de défense israéliennes battent le Hamas à Rafah.
L’année dernière, des manifestations hebdomadaires contre le programme de réforme juridique de Netanyahu, désormais mis de côté, ont ébranlé l’État juif. Le Mouvement pour un gouvernement de qualité en Israël, l’une des organisations à la tête de l’opposition à l’initiative, a reçu un financement du Département d’État américain.
JForum.fr avec www.jewishpress.com
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu rencontre le vice-président de l’époque, Joe Biden, à Jérusalem, le 9 mars 2016.
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Sleepy Joe n’a pas ses facultés mentales en bon état de fonctionnement.
La seule chose qui l’intéresse, c’est sa réélection à n’importe quel prix.
Dès lors, il y a une équipe sordide qui fixe les règles d’un jeu dans lequel Israël sera sacrifié au profit des « palestiniens » qui recevront un Etat Pochette Surprise.
Nous venons d’apprendre que des négociations ont cours avec l’Iran au sujet des houtis, et surtout, avec le Liban, le hamas est entre les mains du Qatar-Biden.
Donner la suprématie régionale aux enturbannés était déjà de mise au cours des deux mandats du sordide Obama, il a toujours soutenu les frères musulmans.
C’est TRUMP qui a mis K.O l’économie iranienne qu’il a mis en faillite.
Voilà, une fois de plus, les Américains qui rampent aux pieds des mollahs pour obtenir un peu moins de violences de la part des houtis, ainsi qu’un peu plus de souplesse de la part du hezbollah, le hamas est sous contrôle.
Il est à craindre que ces négociations de marchands de tapis risquent de mener à une plus grande liberté d’action du programme nucléaire iranien.
Dans tous les cas, c’est Israël qui paiera la facture lourde de ces saloperies qui le mettront à mal, en échange d’un hypothétique retour du calme régional.
Voilà comment « l’ami indéfectible » compte sortir du Moyen Orient en
« jetant Israël sous l’autobus » comme on l’entendait à l’époque d’Obama.
Voilà comment Biden la marionnette qui lit les bouts de papier qu’on lui donne, espère récupérer les voix des arabo-musulmans Américains, des wokistes, des nazislamistes,des cinglés bobo-gauchos, qui donneraient leurs voix qui permettraient à Sleepy Joe de battre TRUMP.
Bibi devrait annoncer la fin des « négociations » avec le Qatar-Hamas-USA quitte à provoquer un clash retentissant, il en va de sa survie…..