Les Bedos ont ceci en commun, par manque d’humour, ils font dans l’injure facile. Le problème, c’est le public qui ne comprend rien à l’humour, et qui le confond comme pour Mbala Mbala avec le droit de diffamer sans limites.

À force de servir des niaiseries en permanence, et avec cette soif absolue de rire, comme si le rire était le seul et unique moyen de se détendre, nous voyons des spectateurs se ruer vers les spectacles, et les émissions de mauvais goût où la moquerie et la raillerie sont les seuls moteurs d’un humour assassins qui s’en prend à la dignité des hommes et des femmes victimes de ces sots qui se prennent pour des artistes.

Les Bedos sont tous deux poursuivis pour injures. Les chiens ne font pas des chats….Mais quand on est de gauche, on pense être parmi les bien-pensants et avoir tous les droits.

Quand Nadine Morano cite de Gaulle, tout le monde s’agite, mais quand des hommes et des femmes de gauche soutiennent ouvertement des islamistes barbares comme ceux du Hamas, du Hezbollah, ou du Fatah, cela ne choque personne. Que deux porte-drapeaux de cette gauche caviar soient devant les tribunaux, ce n’est que justice.

Guy Bedos: «Forcé de vendre ma maison corse pour survivre»

Dans son autobiographie qui paraît le 14 septembre chez Fayard, l’humoriste révèle qu’il est «fauché», un an après avoir mis un terme à sa carrière.

Décidemment, il ne fait pas bon être un comédien retiré en France. Après Michel Galabru et sa «petite retraite de fonctionnaire», Guy Bedos reconnaît qu’il est «fauché» dans Je me souviendrai de tout, son autobiographie à paraître le 14 septembre chez Fayard. Entre procès pour jurons et révélations sur sa situation financière, les dernières nouvelles du comédien tournent au misérabilisme.

Le retraité, âgé de 81 ans, précise ainsi: «Six mois après avoir mis un terme à ma carrière de show-man, des salles pleines à craquer depuis cinquante ans, forcé de vendre ma maison corse pour survivre.» Guy Bedos publie un journal «mélancomique», dans lequel il se livre sans concessions. Si l’artiste n’en est pas à son premier livre, cette prochaine parution devrait être la plus intime, plus mélancolique que comique. On imagine le comédien, en Desdichado ténébreux, rédiger ces quelques mots tranchants: «Fauché. Plus un rond à la banque. Tout dépensé.»

«Nadine Morano (…)… Quelle conne!»

Comme un nouveau journal des années noires, le livre de Guy Bedos sort alors que l’humoriste est englué dans un procès où il comparaît pour avoir insulté l’eurodéputée Nadine Morano. Alors en spectacle à Toul (Meurthe-et-Moselle) en octobre 2013, Guy Bedos avait lancé: «Nadine Morano a été élue ici à Toul? Vous l’avez échappé belle! On m’avait promis qu’elle serait là… Quelle conne!»

Poursuites pour injures publiques, gaffes dispersées dans les médias, problèmes d’argent: l’humoriste ne fait plus rire, il faudrait davantage pleurer sur son sort. Et sans la maison corse, on s’éloigne encore davantage d’une retraite au soleil…

GUY BEDOS FAUCHÉ, IL S’EXPLIQUE ENFIN SUR SA SITUATION FINANCIÈRE

Dans son livre intitulé « Je me souviendrai de tout » et qui sort lundi dans les librairies, Guy Bedos avait évoqué une situation financière difficile. Et devant le buzz que cette information a suscité, l’humoriste a tenu à s’expliquer sur les ondes de RTL. Non Stop People vous en dit plus.

Cette semaine Guy Bedos a marqué l’actualité. En effet, lundi dernier il comparaissait devant le tribunal correctionnel de Nancy pour « injures publiques envers un corps constitué, un fonctionnaire, une personne dépositaire de l’autorité publique ou un citoyen chargé d’un service public ». En octobre 2010, il avait traité Nadine Morano de « conne » lors d’un spectacle. « Nadine Morano a été élue ici, à Toul ? Vous l’avez échappé belle ! On m’avait promis qu’elle serait là… Quelle conne ! », avait-il lancé à la foule.

Puis, alors que Guy Bedos s’apprête à sortir un livre ce lundi 14 septembre et qui s’intitule « Je me souviendrai de tout », certains passages de l’ouvrage ont été dévoilés dans les médias. Et c’est celui concernant la situation financière de l’humoriste qui a suscité de nombreuses réactions. Il a avoué être « fauché ». « Plus un rond à la banque. Tout dépensé »,écrit-il d’abord dans les pages de son livre et poursuit par :« Six mois après avoir mis un terme à ma carrière de show-man, des salles pleines à craquer depuis cinquante ans, forcé de vendre ma maison corse pour survivre ».

UNE SITUATION PAS SI DÉSESPÉRÉE FINALEMENT…

Mais devant l’ampleur prise par cette histoire, le père de Nicolas Bedos a tenu à s’expliquer ce samedi sur les ondes de RTL. Et quand Marie Drucker lui a posé la question à savoir s’il était fauché, l’artiste de 81 ans a voulu rassurer ses fans. « N’exagérez pas (…) C’est vrai que je ne fais pas très attention à mon budget… »

Il confirme cependant avoir bien vendu sa maison de Lumio en Corse. « Je vends ma maison en Corse pas seulement pour l’argent », a-t-il confié sans donner plus de détails avant de raconter une anecdote : « J’ai rencontré Michel Sardou hier soir, il voulait me donner de l’argent !, a-t-il rapporté en rigolant. »

Nico­las Bedos pour­suivi en justice pour injure raciale

Nico­las Bedos pour­suivi en justice pour injure raciale

Nico­las Bedos va une nouvelle fois être entendu par la justice. Lundi, l’ac­teur a été pour­suivi devant le tribu­nal correc­tion­nel de Paris par une asso­cia­tion. Cette dernière accuse notam­ment l’hu­mo­riste d’avoir tenu des propos à carac­tère raciste.

Père et fils, même combat. Il y a deux semaines, Guy Bedos avait défrayé la chro­nique au moment de son procès avec Nadine Morano. L’hu­mo­riste était notam­ment pour­suivi pour avoir traité la femme poli­tique de «conne» durant un spec­tacle. Désor­mais, c’est au tour de Nico­las Bedos de répondre de ses propos devant la justice. Selon 20mi­nutes, l’ac­teur a été attaqué ce lundi par l’as­so­cia­tion Collec­tif Dom devant le tribu­nal correc­tion­nel de Paris pour des chro­niques publiées dans Marianne en décembre 2012.

Dans l’un de ses textes, l’écri­vain de 35 ans était notam­ment revenu sur le récit de ses vacances aux Antilles. Le chro­niqueur avait évoqué sa rencontre avec un chauf­feur de taxi local prénommé Gilles. «Un génie, merveilleux produit de l’in­do­lence insu­laire, qui manie si bien la langue française qu’il fait fris­son­ner mon clito­ris lexi­cal» recon­nais­sait d’ailleurs ce dernier, avant de conclure sa diatribe en remer­ciant cet «enculé de nègre». Une décla­ra­tion raciste pour l’as­so­cia­tion. «La notion d’indo­lence a chez nous une signi­fi­ca­tion parti­cu­lière. Elle renvoie à celui qui ne ressent pas la douleur des coups de fouet» a expliqué Daniel Dalin, président du collec­tif, selon des propos rela­tés par le Point. Un point de vue que réfute l’avo­cate du comé­dien. «Ce que Nico­las Bedos a voulu préci­sé­ment faire, c’est combattre le racisme» a d’ailleurs déclaré Me Lauranne Favre, préci­sant au passage que le discours sur le chauf­feur de taxi était un clin d’œil auCandide de Voltaire. A noter que Nico­las Bedos n’était pas présent à l’au­dience. En atten­dant le déli­béré, prévu le 10 novembre prochain, le compa­gnon de Doria Tillierse retrouve inter­dit de séjour en Guade­loupe. 

Sources diverses

 

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