Austin fait l’éloge de Gallant alors que Netanyahu envisage de le limoger

Alors que la crise politique en Israël se poursuit, le ministre de la Défense, Yoav Gallant, est au centre d’une tempête politique, alors que le Premier ministre Benjamin Netanyahu envisage de le révoquer. Cette décision, qui pourrait survenir dans un contexte de guerre à Gaza et de tensions croissantes avec le Liban, a provoqué des inquiétudes, y compris chez les alliés internationaux d’Israël.

Un responsable du ministère américain de la Défense a révélé que le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, avait salué le travail de Gallant, louant sa « stabilité » et son « jugement » dans la gestion des relations entre Israël et les États-Unis. Ces propos témoignent du soutien explicite de l’administration Biden à Gallant, à un moment où Netanyahu pourrait remplacer ce dernier par un autre ministre. L’administration américaine a rendu publique cette déclaration, suggérant qu’elle souhaite voir Gallant rester à son poste, notamment en raison de son rôle stratégique au sein du gouvernement israélien.

En parallèle, des négociations politiques sont en cours entre Netanyahu et Gideon Saar, ancien ministre et figure clé de l’opposition, en vue d’intégrer ce dernier au gouvernement actuel. Un accord prévoit l’attribution de deux postes ministériels, un pour Saar et un autre pour Ze’ev Elkin, une figure politique influente. Si l’accord aboutit, Elkin pourrait occuper le nouveau poste de ministre du Nord, créé dans ce contexte. Ces manœuvres visent à renforcer la stabilité du gouvernement, tout en prenant en compte la menace d’une escalade militaire.

Cependant, la décision possible de limoger Gallant a suscité des réactions négatives. Un haut responsable américain a qualifié l’idée de « folle », arguant qu’une telle décision en pleine guerre avec Gaza, et face à la menace d’un conflit au Liban, pourrait affaiblir la défense israélienne dans une période critique. En outre, cette situation se complexifie par le débat interne en Israël autour de la réforme judiciaire, une question qui divise profondément la classe politique. Un droit de veto sur toute législation concernant cette réforme pourrait être accordé à Saar, connu pour son opposition à cette initiative soutenue par le ministre de la Justice, Yariv Levin.

L’avenir de Yoav Gallant au sein du gouvernement israélien reste incertain, alors que des négociations politiques délicates et des tensions régionales pourraient influencer cette décision. Les pressions internationales, notamment de la part des États-Unis, et les dynamiques internes du gouvernement israélien joueront un rôle crucial dans les jours à venir.

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Damran

Il faut se souvenir que Gallant s’est rendu aux Etats-Unis il y a quelques mois, sans doute pour recevoir des instructions au cas où Bibi tomberait et pour se faire mousser.
Selon certaines rumeurs, c’est lui qui a empêché Tsahal de frapper plusieurs fois le hezbollah pour le mettre hors d’état pour un moment : c’est une folie pure !  
Biden et sa clique cherchent par tous les moyens possibles et imaginables à arrêter la guerre à Gaza quitte à ce que Tsahal signe sa capitulation, afin d’obtenir un nouvel accord sur le nucléaire iranien et bloquer le conflit avec le hezbollah. 
Personne n’a causé autant de torts à Israël plus que ce prétendu « ami indéfectible » qui se mêle de ce qui ne le regarde pas et qui empêche Israël/Tsahal de faire les guerres comme ils l’entendent, ce sont des Juifs qui tombent tous les jours.
La clique de la Maison Blanche et son porte-parole, le perroquet Biden, pensent qu’en emmerdant Israël jusqu’à plus soif, ils vont remporter une anecdotique victoire diplomatique avant les élections présidentielles de novembre 2024, quitte à mettre en danger l’existence même d’Israël dont ces faux amis se contrefichent éperdument. 
Si Gallant n’est pas content ou s’il est en désaccord avec le gouvernement, rien ne l’empêche de démissionner et de cesser d’emmerder l’Etat-Major et Bibi, et surtout, qu’il le fasse très discrètement, il doit respecter les règles dues à son rang.  
Plus que marre de ces intrusions interminables de la bande qui sévit à la Maison Blanche qui utilise tous les moyens possibles et imaginables, pour faire de l’ingérence dans la politique intérieure israélienne.
Lapid vient d’être invité à la Maison Blanche par le crapuleux Obama pour discuter du sort des otages toujours retenus à Gaza : pourquoi tout ce cinéma ?
On aimerait bien que l’Administration Américaine lâche les baskets à Israël/Tsahal, qu’elle cesse ses hypocrisies et qu’elle s’occupe de ses élections qui approchent….

Yan

Oui Gallant est clairement un pion d’Obama dans le Cabinet de sécurité qui est d’ailleurs sur le point d’être dementelle…Il soutient activement les traîtres dit kaplanistes qui ont toujours souhaité la chute de Bibi et qui ont mené le pays à la catastrophe du 7 octobre…Gantz aussi était un pion obamiste et a lâchement quitté le navire en pleine tempête (sans regret, s’était un poids desequilibrant dangereux)…Il est grand temps que le coup de pied au cul qu’il devait se prendre depuis des mois lui parvienne et qu’il cesse d’être la courroie de transmission de l’administration wokiste obamiste…

Damran

Depuis que les malheureuses familles des otages ont été récupérées par les putschistes qui veulent faire tomber Bibi, rien ne va plus.
Ces proches des captifs de Gaza sont prêtes à accepter TOUTES les conditions exigées par le hamas, ce qui signifie la capitulation de Tsahal.
Comment accepter pareils diktats de Sinwar qui est au bout du rouleau et ne rien éprouver pour les soldats tombés à Gaza ?
La douleur ne doit pas l’emporter sur la raison et l’intérêt supérieur d’Israël….