Les supporters de l’équipe de football à domicile en Argentine ont scandé « Tuer les Juifs pour fabriquer du savon » lors d’un match avec une équipe historiquement associée à la communauté juive et en émeute lorsque les visiteurs l’ont emporté.
Atlanta, une équipe professionnelle argentine fondée il y a plus d’un siècle dans un quartier juif, a joué All Boys dans son stade de Buenos Aires jeudi.
Tous les fans de Boys ont scandé le slogan antisémite en agitant des drapeaux palestiniens et des tee-shirts portant des symboles iraniens.
Atlanta a remporté le match, 3-2, déclenchant la violence des supporters de All Boys.
Certains spectateurs sont entrés dans le vestiaire pour se mettre à l’abri jusqu’à ce que la police leur ordonne de quitter le stade en toute sécurité.
Tous les supporters des garçons ont également agressé la police, détruisant des biens dans le stade.
« La Fédération argentine de football doit sanctionner le club pour cette infraction antisémite », a écrit Shimon Samuels, directeur des relations internationales du Centre Simon Wiesenthal.
Atlanta a plusieurs joueurs juifs, ainsi que des membres de son personnel administratif. La police enquête sur l’incident.
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En fait, le club devrait être mis à pieds et interdit de concourir pour un an.
Mais tout s’explique. Ce pays est celui qui a vu son centre communautaire juif exploser, avec plus de 80 victimes H’Y’Damim, et l’assassinat du procureur juif Nissman, qui était sur l’enquête prouvant la collusion avec le hezbollah et le gouvernement kirshner…
Ce pays est infesté. Ce slogan et cette haine farouche trouvent leurs origines dans cette infestation dorénavant irrémédiable, donc sans remède. Quand un pays atteint ces profondeurs, il s’enlise dans la vase et son destin est alors conclu par Dieu.
C’est seulement la presence juive là-bas qui retient le courroux du Seigneur.
Qu’ils quittent, ces Justes, cet endroit, et la Sanction s’abattra.
Comme les anges avaient dit à Lot, nous ne pourrons rien faire tant que tu ne seras pas sorti de la ville ( S’dom) toi et les tiens…