Antisémitisme et tensions : l’alerte du Conseil de sécurité israélien avant le match à Paris
À la veille du match de football de l’équipe nationale israélienne à Paris le 14 novembre, le Conseil de sécurité nationale israélien (NSC) avertit des risques accrus de violences antisémites et exhorte les ressortissants israéliens à la prudence. Face à la recrudescence des agressions envers les Israéliens en Europe, le NSC déconseille fortement aux citoyens israéliens de participer à des événements de grande ampleur, en particulier sportifs, en raison de la montée en puissance des manifestations pro-palestiniennes.
Le NSC recommande aux Israéliens de limiter les signes d’identification culturelle ou nationale pour éviter d’attirer l’attention. Le conseil va plus loin en énumérant des précautions précises : éviter les rassemblements sportifs et culturels à l’étranger, signaler immédiatement tout comportement suspect et privilégier les options de transport sûres.
Ces mesures interviennent après les violences ayant éclaté à Amsterdam lors d’un match de football entre le Maccabi Tel Aviv et l’Ajax. Ce qui devait être un simple affrontement sportif a dégénéré en un climat de violence ciblant les supporters israéliens, aggravé par des tensions pro-palestiniennes. Selon Peleg Lewi, conseiller aux affaires étrangères auprès du ministère israélien du Tourisme, ces agressions surprennent, car Amsterdam est traditionnellement perçue comme une destination sûre. « Même si la ville compte des communautés pro-palestiniennes actives, aucune alerte n’avait signalé de risque particulier pour ce match », a-t-il déclaré.
Malgré cela, certains considèrent que la gestion du risque mise en place par Israël pour ses citoyens à l’étranger reste appropriée. Lewi reconnaît que certains incidents sont inévitables mais juge les protocoles de sécurité efficaces : « Il est difficile de prévoir toutes les situations, mais nos conseils et recommandations sont suffisants. » La situation inquiète cependant les Israéliens, face à des incidents similaires observés à Londres, en Suède et à Bruxelles.
Pour certains, le climat est rendu plus tendu par les actions de quelques supporters israéliens eux-mêmes. Des actes tels que l’arrachage de drapeaux palestiniens et des chants provocateurs ont été vus par des activistes comme une justification des violences antisémites. Des messages sur les réseaux sociaux, utilisant des termes belliqueux, semblent avoir attisé cette escalade de violence. Les ultras de l’Ajax ont, de leur côté, condamné l’usage de symboles politiques dans le stade, rappelant que le sport ne doit pas devenir un terrain pour des messages de haine.
Présent sur place, Matan Kaminski, un supporter du Maccabi Tel Aviv, témoigne de son sentiment croissant d’insécurité. Selon lui, la situation ne se limite pas au football, mais reflète une hostilité plus large envers les Juifs et les Israéliens en Europe. « Ce n’est pas une question de rivalité sportive, mais une haine profondément ancrée », a-t-il confié. Kaminski, ancien militaire, raconte qu’il a pu éviter les heurts en quittant les lieux avant que les choses ne dégénèrent.
Pour soutenir ses membres en Europe, l’organisation sportive Maccabi World Union, par l’intermédiaire de sa branche néerlandaise, a ouvert un centre d’urgence, fournissant un abri temporaire, des repas et une assistance logistique pour les supporters israéliens à Amsterdam. Amir Gissin, PDG de Maccabi World Union, assure que cette solidarité est essentielle pour protéger les supporters et lutter contre l’antisémitisme sous toutes ses formes.
La question de la sécurité des Israéliens à l’étranger préoccupe les autorités. En réponse aux récents incidents d’Amsterdam, le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a échangé avec le Premier ministre néerlandais Dick Schoof. Celui-ci a qualifié ces violences de « tournant » et a promis de renforcer les efforts pour poursuivre les auteurs en justice.
Alors que les tensions demeurent élevées, l’avertissement du NSC vise à alerter les Israéliens sur la réalité des risques en Europe et à les inciter à la discrétion.
Jforum.fr
OK, mais il faut répéter aux Israéliens qu’en Europe, il reste encore, pour le moment, une majorité de gens qui souhaitent se débarrasser des déchets nazislamistes, y compris par la force. Surtout, dans les pays fortement infestés, à cause des vermines au pouvoir.
Hélas, contrairement aux Américains, les Européens sont désarmés et ils ont leurs dirigeants et leurs institutions contre eux. Si davantage étaient armés, des groupes spontanés se formeraient. Cette situation dangereuse, entraineraient d’inévitables bavures. Mais, contrairement aux déchets, les Européens qui en ont marre des nazislamistes, ne sont ni sanguinaires, ni fanatiques, ni même racistes. La simple existence de groupes armés décidés, inciterait un maximum « d’élus », des mairies, jusqu’au parlement, à reconsidérer l’invasion de déchets imposée, par la dictatoriale « grosse commission européenne ». L’élimination de quelques élus obtus, ou fanatiques suffirait à métamorphoser la situation.
Il se trouve qu’en Israël, on s’interroge sur les énormes stocks d’armes saisies aux déchets. Évidement, il ne s’agit pas de les distribuer aux patriotes qui iraient en Israël pour s’approvisionner. Mais c’est possible de faire la même chose, de façon invisible. Il existe assez de spécialistes pour organiser cela.
Une petite douzaines de politocards collabos et quelques dizaines de déchets nazislamistes notoires, abattus en quelques mois, dans plusieurs pays d’Europe, suffirait pour retourner la situation. Malgré le surarmement connus des déchets nazislamistes et leur formation au terrorisme, il ne sont pas assez nombreux. C’est encore possible de les battre maintenant. Dans peu de temps ce sera beaucoup plus difficile.
Mais que ce soit clair ! Ce n’est pas pour que les Juifs continuent de s’incruster en « galoute », mais pour éviter que les déchets à exterminer, prennent le pouvoir en Europe… La destructions des sites nucléaires des radirans ne servirait à rien, si dans quelques années, tout au plus, les déchets nazislamistes disposent des arsenaux nucléaires français et britannique. Ce n’est plus une hypothèse absurde.
Quand on voit la violence des propos antisémites tenus par des députés LFI, à l’Assemblée Nationales, même les Juifs de France ont de quoi s’inquiéter.