commentaire JForum : on est forcément déçu par le verdict en verre à moitié vide, où le sursis a déjà cessé de jouer son rôle dissuasif et où on pressent déjà la récidive arriver à grands pas et s’agréger à tous les autres appels au meurtre, hurlés avec les loups Frères Musulmans, comme l’horrible haineux Benjamin Weller, de « La France est à Nous » (à l’Islamofascisme antisémite : « vous les Juifs, Républicains ou non : dégagez!!! »). Ces propos, au-delà de leur caractère inqualifiable, sont bel et bien, ceux qui débouchent sur le meurtre et la non-assistance de la police (et de la Justice, actuellement) à la victime, Sarah Lucie Halimi-Attal z’l, Mireille Knoll…
Finkielkraut en soi, évidemment n’est pas cette victime-là, ou la seule victime de ces propos de haine, il n’est que le rôle, la fonction de Juif trop républicain, comme hier Alfred Dreyfus, de l’assimilation jusqu’au bout des ongles, au nom du vouloir intégratif de ses parents et arrières-grands parents. Et c’est lui, ou tous les comme lui, qu’il faudrait, selon Weller et ses comparses, sortir de l’Académie, de la Fonction publique, des métiers « d’élite », avocats,; médecins, professeurs : Benjamin Weller par sa volonté de voir « mourir » si ce n’est pas ouvertement exprimé comme désir de « tuer » (un Juif, pardon, un « Sioniste ») reprend fantasmatiquement tout le vocabulaire à sa portée du Nazislamisme, mais sans le courage de l’assumer : ne serait-ce qu’à cause de cette lâcheté fondamentale qui le caractérise, là où on attendrait une condamnation univoque et sans fausse « compassion », se retourne comme un gant en sursis.
(le pôvre, il est devenu « chômeur », mais quand on extrémise la vie sociale à ce point, à quoi s’attendre, sinon à s’en faire « dégager » comme il le souhaite aux autres? Si c’est à ce point, lui ou « nous », alors autant que ce soit : lui! -crève!)
Le lâche peut bénéficier de clémence, pour ne pas parler de complaisance.
Comment se satisfaire de cette « curiosité » d’un mouvement présenté comme « social », qui accepte docilement de laisser gangrener par ce type de haine qu’on appelle antisémite? Elle est aussi proprement une haine sociale et politique, indistinctement d’une inférence sur une groupe ethnique, national( Sioniste) et/ou racial :
la France, comme d’habitude, attend les prochains « morts pour de vrai », avant de condamner les « mots qui tuent ».
Injures contre Finkielkraut : « On ne se demande pas si ça vaut le coup »
Un Gilet jaune comparaissait ce mercredi devant le tribunal pour avoir insulté Alain Finkielkraut lors d’une manifestation en février dernier.
« Sale merde », « La France est à nous », « Sale race », « Espèce de sioniste »… Pour les avocats de Benjamin W. qui comparaissait ce mercredi 22 mai devant le tribunal de Paris pour « injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion », il ne s’agissait que d’insultes, sans aucun caractère raciste ou antisémite. Le Gilet jaune de 36 ans, vivant à Mulhouse, est accusé d’avoir insulté Alain Finkielkraut lors d’une manifestation de Gilets jaunes à Paris le 16 février dernier. L’homme, au chômage depuis les faits, risque un an de prison et 45 000 euros d’amende.
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Le philosophe était présent à l’audience, accompagné de son épouse, mais il a refusé de se porter partie civile : « Je ne poursuis aucune vindicte personnelle, je ne demande pas réparation, car ce n’est pas moi individuellement qui suis visé », a-t-il expliqué aux juges. « Il me semblait, alors, que j’offrais la possibilité au prévenu d’exprimer des remords, mais ce n’est, semble-t-il, pas la stratégie choisie par la défense, qui est très offensive et même offensante. » Alain Finkielkraut a, cependant, souhaité témoigner comme victime. Il reconnaît ne pas avoir entendu « sale juif » ce jour-là, « mais ce n’est pas à travers cette insulte que la haine des juifs s’exprime aujourd’hui ».
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Une opinion politique
Face à lui, veste verte, cheveux courts et barbe bien taillée, Benjamin W. reconnaît tous les propos qui lui sont attribués. Il a tenté de démontrer qu’il ne s’agissait pas d’insultes antisémites, axant sa défense sur la distinction qu’il fait entre antisionisme et antisémitisme : lui affirme avoir voulu exprimer une opinion politique, et pas une haine des juifs. « Mais, pourquoi insulter cette personne, j’ai du mal à comprendre ? » s’est étonné le président. « C’était avec l’adrénaline, avec la pression. On ne réfléchit pas, on ne se demande pas si ça vaut le coup. »
Le prévenu a la voix chevrotante et a du mal à s’exprimer. Interrogé sur ses propos « La France est à nous ! » tenus ce jour-là, il affirme que ceux hors du « nous » sont « les haineux, les racistes et ceux qui divisent » : Alain Finkielkraut en fait partie, selon lui. Il nie également avoir menacé de mort l’académicien. « Quand vous le traitez de haineux, c’est sans haine, et quand vous lui dites : “Tu vas mourir”, c’est un simple constat ? » s’étonne une juge. « Oui, il va mourir comme tout le monde. » Stupeur générale dans la salle d’audience quand il affirme, par ailleurs, qu’« on est dirigés par le lobby sioniste ».
L’audience a rapidement viré au débat historique et politique sur l’État d’Israël et sur la définition du sionisme. Pour Benjamin W., l’antisionisme représente sa position politique vis-à-vis d’Israël : « Je suis contre la politique de Benjamin Netanyahu qui veut détruire l’État palestinien. » Rien de raciste donc, selon le Gilet jaune. Ses deux avocats se sont également employés à démontrer au tribunal la distinction entre antisionisme et antisémitisme, affirmant que « les plus fervents antisionistes sont juifs ». Quant au « sale race », que Benjamin W. a reconnu avoir prononcé, il ne s’agit que d’un banal terme employé par les jeunes dans les quartiers, sans connotation raciste, selon les avocats.
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« L’ingérence politique » dont les propos du prévenu d’« antisémite » auraient également fait l’objet avant même que le tribunal ne se soit prononcé. « Le politique n’a pas à intervenir ici ! » Ils ont regretté que leur client ait été jeté en pâture aux médias : « Depuis, il a été licencié et il n’a plus rien. » Selon eux, Benjamin W. est « quelqu’un de gentil, qui ne colle pas au personnage de Dieudonné qu’on voudrait dépeindre ».
Les avocats de Benjamin W. ont enfin, longuement et à plusieurs reprises, insisté sur le « côté clivant, à la limite du racisme » d’Alain Finkielkraut. « Je n’ai pas pour habitude, dans les querelles les plus chaudes, d’injurier mes adversaires, s’est défendu le philosophe. Je ne les traite pas de grosses merdes gauchistes. » Selon les avocats, c’est bien ce côté clivant de l’académicien qui a motivé les propos de leur client, toujours sur le plan du débat politique. D’ailleurs, « quand il invective Alain Finkielkraut, il ne connaît pas sa religion. Mais il connaît son positionnement politique. »
Pour la procureure, en revanche, « on est bel et bien dans un antisémitisme qui se cache derrière un antisionisme ». Le ministère public a, par ailleurs, fustigé l’attitude « contre-productive » du prévenu : « Il est des extrêmes contre lesquels il voudrait lutter. » Elle requiert six mois de prison avec sursis. Au terme de plus d’une heure de plaidoirie, les avocats ont, eux, demandé la relaxe de Benjamin W. La décision a été mise en délibéré au 12 juillet.
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[LIVE TWEET ⬇️] Nous sommes cet après-midi au tribunal de Paris ou un #GiletJaune de 36 ans comparaît pour insultes antisémites envers Alain Finkielkeaut lors d’une manifestation en février @LePoint #Finkielkraut #GiletsJaunes
— Thibaut Déléaz (@tibodeleaz) May 22, 2019
Par Thibaut Déléaz
J’adhere à cent pour cent au premier commentaire, celui d’Aline 1, et je l’en félicite. En effet, la vidéo de la scène était, est, tellement parlante que le jugement aurait pu avoir lieu même en l’absence du prévenu.
Ce lâche de Benjamin Weller se trouve des justifications.
Alors qu’il n’y aurait même pas besoin des mots insultants, pour que l’agression soit vue comme étant flagrante.
Il a balancé ses insultes avec un tel visage haineux, qu’il semblait habité par le démon.
Quel visage, la haine devrait-elle afficher – quand elle est exprimée de visu, agressivement, odieusement, arbitrairement, à quelqu’un qui passe – Pour que celle-ci soit reconnue comme ignoble et illicite, par le protagoniste lui-même, et bien entendu, pour la Justice ?
Il s’est vu ? Il a vu la bestialité qui animait sa tronche ?
Quel citoyen lambda pourrait admettre une telle attaque sauvage et animale. Celle d’un prédateur… Aucune circonstance atténuante !
Ou alors il faut comprendre que nous serions maintenant dans la pire des jungles. Sans vouloir offenser les animaux.
Six mois ferme oui ! Cela aurait montré que la justice sait être juste pour stopper ce flot de haine qui circule un peu partout dans notre Pays. Et le gouvernement Français ose dire à tout instant : « sans les Juifs la France ne serait pas la France » double langage donc, comme au temps de …….mais je me répète beaucoup ……de Pétain ! Pour ma part, je ne souhaite qu’une chose : aller en Eretz pour vivre en toute liberté ma « foi Juive » et aussi parce que je commence à avoir honte de cette France là pour laquelle pourtant mon Père s’est sacrifié…. Il a été maquisard, a donné sa vie pour sauver toute sa section, pour que la France reste libre, et voir cela aujourd’hui, alors oui, c’est vraiment à vomir ! Les gouvernants successifs ont vraiment tout fait pour dégrader, salir, corrompre notre beau Pays. Cette situation serait-elle irréversible ? J’en doutais jusqu’à présent encore pleine d’espoir, mais notre Pays semble être entre les mains des nazislamistes (comme on les appellent) et leurs comparses qui semblent être partout, dans toutes les hautes fonctions administratives, judiciaires etc… et qui sont en train de tout verrouiller histoire après histoire ! Cela fait peur tout de même !
La France de demain est arrrivee , somme nullissime d annees de lachete , de venalité et de betise crasse , dommage c etait un beau pays
A gerber .
Lâche en plus , n’assume rien .
La lie de la société .