source : Feujnight ????’??? OfficielIl s’agit d’un véritable chef d’oeuvre du cinéma, également immense succès théâtral, le thriller de Reginald Rose revient sur les planches !

Avec, autour de Michel Leeb habité par un rôle à sa mesure, des comédiens talentueux comme Pierre Santini, Alain Doutey, Laurent Gamelon, Jacques Echantillon, André Thorent,…

Un jury doit statuer sur le cas d’un jeune homme de 18 ans, issu d’un quartier difficile, accusé du meurtre de son père. Les preuves sont accablantes, les hommes sont pressés d’en finir, mais il faut l’unanimité des votes pour condamner l’accusé. Or sur les douze jurés, un d’entre eux a un doute sur sa culpabilité. Commence alors un vif débat au cours duquel chacun devra défendre ses convictions.

Soirée caritative au bénéfice de l’Hôpital Universitaire Hadassah de Jérusalem
en partenariat avec feujnight.com

Renseignements et réservations : 01 53 42 67 06

Tarifs :
1ère série : 125 € (Cerfa 95 €)
2ème série : 100 € (Cerfa 70 €)
3ème série : 80 € (Cerfa 50 €)
4ème série : 60 € (Cerfa 30 €)
5ème série : 40 €
(Les reçus Cerfa sont délivrés sur la partie « don »)

THÉÂTRE DE PARIS
15, rue Blanche 75009 Paris

Douze hommes en colère : Michel Leeb dans un huis clos brillant

Avec « Douze hommes en colère » de l’Américain Reginald Rose, le Théâtre de Paris offre une réflexion brillante sur la justice, avec Michel Leeb dans le rôle à contre-emploi du « juré N°8 » qui retourne un jury d’assises pour éviter une erreur judiciaire.

Créée en 1953 aux Etats-Unis, la pièce est l’un des huis clos les plus célèbres du théâtre. Douze hommes tirés au sort doivent se prononcer sur la culpabilité d’un garçon de 16 ans accusé d’avoir poignardé son père. Onze d’entre eux le déclarent d’entrée « coupable ». Mais la décision doit être prise à l’unanimité et le juré N°8, lui, « ne sait pas » et vote « non coupable ».

A sa création, la pièce était une charge contre le système judiciaire américain et la peine de mort. Dans une nouvelle traduction d’Attica Guedj et Stephan Meldegg, qui signe également la mise en scène, elle acquiert une autre dimension. Le doute, l’esprit de tolérance, le respect de l’autre sont au coeur de cette réflexion.

Montée pour la première fois dans cette adaptation il y a douze ans, elle réunit douze personnages, jeunes, vieux, timides, sanguins, grossiers, méticuleux, issus de milieux différents.

Michel Leeb est tout en retenue dans le rôle de l’homme raisonnable qui refuse d’envoyer un homme à la mort sans y réfléchir quelques instants. Il s’appuie sur des partenaires solides, comme Pierre Santini, Jean-Jacques Moreau ou Jean-Luc Porraz, en boursier qui ne laisse échapper aucun détail.

Mais le meilleur de l’analyse des relations entre les hommes vient souvent des timides, des humbles à qui l’on demande pour une fois de prendre la parole et qui s’en emparent à tour de rôle: l’immigré juif d’Europe de l’est, le chômeur élevé dans la zone ou le vieil homme dont la sagesse ébranle les certitudes des autres.

L’enjeu consistait à mettre en scène douze hommes qui délibèrent autour d’une table. Stephan Meldegg réussit cette chorégraphie judiciaire où chacun a droit à quelques minutes de gloire. Reginald Rose déroule pendant deux heures les indices et coups de gueule sans jamais laisser retomber la tension.

(AFP – 13/10/2009 – Copyright © 2009 AFP. Tous droits réservés)

HADASSAH, LA VIE, LA PAIX, L’ESPOIR

Hadassah France est l’association de soutien aux deux hôpitaux Hadassah de Jérusalem dont l’activité humanitaire remonte à près d’un siècle.

Les Hôpitaux Universitaires Hadassah Ein Kerem et Hadassah Mont Scopus forment les centres de soins et de recherche scientifique les plus performants du Moyen-Orient. Plus d’un million de patients venant du monde entier y sont soignés chaque année, grâce aux fonds recueillis par un vaste réseau de bénévoles répartis sur les cinq continents.

Depuis sa création, le CHU Hadassah soigne tout patient qui s’y présente, sans distinction de nationalité, d’ethnie ou de croyance. Il en va de même dans l’organisation du personnel : les médecins juifs, musulmans et chrétiens travaillent de concert au sein des mêmes équipes médicales pour soigner, guérir et sauver des vies humaines.

L’une des particularités du Complexe Hospitalo-Universitaire Hadassah est que l’expertise de ses équipes médicales, rayonne bien au-delà des frontières d’Israël : forte implication humanitaire à travers le monde, formations médicales de haut niveau, coopérations médicales qui se développent.

En reconnaissance du travail effectué par le Centre Hospitalo-Universitaire Hadassah de Jérusalem pour son engagement en faveur des valeurs humaines et de la coopération judéo-arabe, celui-ci a été nominé pour le Prix Nobel de la Paix en 2005.

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

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