Ayant eu peine à inscrire la « branche armée » du mouvement sur la liste des groupes terroristes, voici que la France déroule, une fois encore le tapis persan pour accueillir les commanditaires et dirigeants « politiques » de la milice terroriste, à mener des causeries, au Parlement sur la « peine de mort » : celle touchant l’Ambassadeur Delamarre? Les 58 paras du Drakkar? Les 85 tués de l’AMIA de Buenos-Aires? Les touristes israéliens de Burgas? Ou les victimes israéliennes, libanaises, syriennes des guerres que déclenche ou auxquelles participe le Hezbollah?

Alors que la classe politique passe son temps à essayer d’obtenir des indices sur l’étape future dans la région, une ouverture européenne discrète est en train de se faire en direction du Hezbollah.

Il y a une semaine, le « responsable des relations internationales » au sein du Hezbollah, le Dr Ammar Moussaoui, s’est rendu en Italie pour participer à une conférence sur les relations entre les peuples et les États du bassin méditerranéen, ainsi que sur l’immigration clandestine et la « lutte contre le terrorisme » (?). Certes, le Hezbollah est régulièrement invité à participer à ce genre de conférences en tant « qu’acteur important » au Liban, voire dans la région. Mais le timing de ce rendez-vous lui donne une toute autre dimension.

De plus, c’est désormais au tour du député membre du bloc terroriste, Ali Fayad, d’entamer dès aujourd’hui une visite en France. Il a été invité officiellement pour participer avec deux de ses collègues, Samir el-Jisr et Ghassan Moukheiber, à un débat à l’Assemblée nationale française sur l’abolition de la peine de mort. La France milite activement pour cette abolition au sein de l’Europe mais aussi dans le monde, et les députés ont été sciemment choisis parce que les partis ou blocs qu’ils représentent ont une opinion précise sur le sujet.

Mais selon une source parlementaire libanaise, ce n’est pas le président de la Chambre qui a choisi les députés devant participer à ce débat, comme cela se fait souvent. Les noms ont tout simplement été envoyés par l’ambassade de France au secrétariat du Parlement. Si le député Ghassan Moukheiber est connu pour son activisme en faveur des droits de l’homme et contre la peine capitale, et si Samir el-Jisr, en tant qu’ancien ministre de la Justice et en tant qu’avocat, a aussi une position plutôt favorable à cette abolition, le Dr Ali Fayad qui représente officiellement le Hezbollah y est hostile, le parti dont il est membre ayant à plusieurs reprises réclamé la peine capitale pour les espions libanais travaillant pour le compte d’Israël par exemple.

(…..) Le reste du texte étant signé de la plume d’un agent du Hezbollah Scarlett Haddad, au sein de la rédaction « l’Orient-le-Jour », est accessible à :
lorientlejour.com Article original

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Elie

Le dernier zin-zin indiqué est partisan de la peine de mort …!!!!!!!!!!!!!!!!!!

MOI AUSSI CONCERNANT TOUS CES ISLAMONAZI QUI NOUS POURRISSENT LA VIE ET

CROUPISSENT EN PRISON AUX FRAIS D’ ISRAEL !!! PEINE CAPITALE POUR QUI A TUE , ET PAS

DE LIBERATION DECRETEE PAR M.NETANYAOU !!!! MEME POUR FAIRE PLAISIR A L’EURABIA

ISLAMISEE………………………………………………………………………