Le gouvernement israélien n’exclut pas de signer le traité international sur l’interdiction des armes chimiques, après la décision de la Syrie de détruire son arsenal de gaz de combat, a déclaré lundi le président israélien, Shimon Peres.
L’Etat hébreu est l’un des six pays, avec la Birmanie, l’Egypte, l’Angola, la Corée du Nord et le Soudan du Sud, à ne pas avoir encore signé cet accord qui remonte à 1997.
« Je suis sûr que notre gouvernement va se pencher sérieusement sur cette question », a dit Shimon Peres lors d’une visite à La Haye, aux Pays-Bas, siège de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC).
30/09 | 13:46
lesechos.fr Article original