Dominique Strauss-Kahn va porter plainte contre les auteurs du film « Welcome to New York », où il est incarné par Gérard Depardieu. Anne Sinclair estime de son côté que les propos tenus contre sa famille sont « antisémites ». Qu’en est-il vraiment ? Bruno Roger-Petit, qui a vu le long-métrage de Ferrara, se lance dans un décryptage des scènes clés du film.

DSK porte plainte contre « Welcome to New York ». Ce film a été écrit par et pour Dieudonné, sans Dieudonné.

DSK va porter plainte contre le film « Welcome to New York », s’estimant diffamé. Anne Sinclair s’y refuse, proclamant « Je n’attaque pas la saleté, je la vomis ».

Comme prévu, comme voulu, le film d’Abel Ferrara, produit par Vincent Maraval, joué par Gérard Depardieu et Jacqueline Bisset, génère l’effet escompté. Scandale et polémique, le tout avec débat sur les scènes de sexe et surtout d’éventuels relents antisémites relevés, ici et là, dans le film.

Il ne manque plus désormais qu’une émission de « Ce soir ou jamais », subtilement orchestrée par Frédéric Taddeï, sur France 2, ou les commentaires d’Aymeric Caron et Natacha Polony, dans « On n’est pas couché », toujours sur France 2 (décidément, France 2…) – soit tous les vecteurs de l’antisémitisme du bavardage -, pour compléter la séquence « Ce film, objet du scandale ».

L’avocat de DSK, Jean Veil, n’a pas mâché ses mots au micro de Jean-Pierre Elkabbach, ce lundi matin, sur Europe 1 :

« C’est un film antisémite et il faut bien voir que manifestement les acteurs et même le réalisateur ont déjà tenté de s’excuser (…) Je pense que ceux qui ont exprimé d’une part les dialogues, ceux qui les ont filmé et d’autre part ceux qui ont accepté de les produire et de les diffuser emportent une part d’antisémitisme et n’ont pas peur de le proclamer. »


Il est deux façons de voir ce film (que l’auteur de ces lignes a pu voir pour la modique somme de 6.99 euros sur un service de vidéos à la demande).

Les critiques oublient la politique

La première, celle de Slate.fr qui consiste à admirer la mise en abyme de Depardieu campant, à travers le personnage de Deveraux, la déchéance et la ruine d’un homme victime de lui même. On ne verrait plus un film sur DSK, mais un film sur Depardieu jouant DSK pour mieux exhiber sa propre déchéance.

Même posture chez Rue89. « Welcome to New York » est un film « docufiction » fantasmé sur la chute d’un Homme, qui dans le fond, comme le vrai Depardieu, se fiche du monde et des autres, prisonnier qu’il est de ses fantasmes et de ses pulsions.

Ce film est « un vrai-faux documentaire traversé par le fantasme » écrit-on sur Rue89. Et de s’extasier sur la réplique clé du film, formulée par un Depardieu fixant la caméra :

« Qu’ils aillent tous se faire foutre ! »

Et de mentir aussi, car la phrase exacte n’est pas celle-ci, mais : « qu’ils aillent tous se faire enculer ! », ce qui n’est pas tout à fait pareil. Pourquoi travestir cette réplique ? Pourquoi l’adoucir ? Pourquoi en réduire le sens et la portée ?

Quant à Télérama, souvent très exigeant question cinéma, pas un mot sur le contenu politique du film… On se contente d’une critique gentillette, soulignant que le film n’est « pas un navet », mais « pas du grand cinéma » non plus, victime qu’il est de deux acteurs un peu trop livrés à eux-mêmes, surtout Depardieu…

Construction politique « à la Dieudonné »

En vérité, toutes ces postures de défense critique de « Welcome to New York » éludent et évitent l’essentiel, son message politique. De ce point de vue, le personnage le plus important, politiquement parlant, du film, ce n’est pas Devereaux / DSK, c’est son épouse, Simone / Anne Sinclair, car c’est à travers elle, en quelques répliques clés, qu’est diffusé le message politique du film.

Et là, il ne s’agit plus question de mise en abyme de l’homme Depardieu ou d’un docufiction fantasmé, mais d’une construction politique à la Dieudonné.

« Comment exprimer notre gratitude à Simone, sa dévotion, son amour pour l’État d’Israël »

Ainsi, d’entrée de jeu est présentée, dans un dîner mondain que la mise en scène suggère très cosmopolite, le personnage de Simone/Sinclair. Cette dernière, immédiatement, est campée en personnage aux ambitions et aux pouvoirs illimités.

Apprenant l’arrestation de Devereaux / DSK, elle s’écrie, calée dans les fauteuils d’une limousine de luxe la conduisant sur les quais de Seine, visage entre ombre et lumière : « Voyez comment on peut le libérer », décrétant la mobilisation de « tous les moyens » pour y parvenir et pestant contre Devereaux / DSK :

« Il a détruit tout ce que j’avais bâti », « Il a tout foutu en l’air ».

Plus tard, Simone / Sinclair se retrouvant avec Devereaux / DSK dans la maison louée le temps que se déroule la procédure judiciaire, un dialogue entre les deux reprend la même thématique : l’épouse du potentiel candidat à la présidence de la République est en fait l’élément politique moteur du duo, celle qui jouit d’une mise à disposition des ambitions du couple, celle qui n’ignorait rien des addictions et faiblesses de son mari, et qui, en dépit de cela, le poussait vers un destin qu’il refusait.

Une réplique suffit pour lancer les accusations

Curieusement, les deux, pourtant Français, se parlent en anglais, comme si leurs personnages étaient dépourvus d’attaches nationales, ne s’exprimant plus que dans la langue la plus cosmopolite du monde.

Et c’est nécessairement un choix délibéré des auteurs, puisqu’à l’occasion, les comédiens lâchent quelques mots français, tel ce cultissime « I want a coup de rouge » lancé par Simone / Sinclair, agacée par les propos de son époux.

L’essentiel de ce premier duel réside en une réplique, qui va étayer le reste : « Tu parles sans arrêt d’argent ! » lance Devereaux / DSK à son épouse, pour accuser ensuite implicitement la famille de cette dernière de quelque chose de mal : « Tout le monde sait pour tes parents et pour tout le reste ».

À ce moment du film, l’accusation est vague mais on la pressent accablante et grave, porteuse de biens des turpitudes… Elle revient dans la bouche de Devereaux / DSK quelques scènes plus tard, alors qu’il est en train de contempler une scène de Domicile conjugal de François Truffaut.

« Tu n’es jamais satisfaite, tu déformes la réalité pour l’adapter à tes ambitions, c’est un trait de famille ».

« Tout le monde sait ce que ta famille a fait… Tout Paris sait, tout le monde sait ce que ta famille a fait pendant la guerre… « 

Et encore :

« Ton père, sa tombe était couverte de fleurs, mais ça n’empêchait pas la puanteur ».

Et de conclure :

« 1945… Une grande année…Je n’ai pas besoin de ton argent ».

Enfin, après l’annonce de l’abandon des charges, dans un ultime tête-à-tête, tandis que Deveraux / DSK se félicite de ce que la vérité l’ait emporté, Simone / Sinclair lui dit, montrant son carnet de chèques :

« Tu sais ce que c’est la vérité ? C’est ça ».

Et Deveraux / DSK de l’interroger :

« Qui as-tu arrosé avec ta vérité ? »

« Je ne sais pas ce que c’est que de posséder un milliard de dollars ! Donc je te le demande : qui as tu payé ? »

Et elle de lui répondre que de toutes façons, elle ne lui dira rien, car il ne sait pas « garder un secret »… Puis de s’indigner :

« Que vont devenir mes projets ? »

Et lui de conclure :

« Ah oui ! Tes plans de devenir présidente, tes plans que je sois président de la République ! »

L’argument de la fiction ne tient pas

« C’est une fiction » disent les responsables, auteurs, producteur et acteurs de « Welcome to New York ». Mais, hélas pour eux, la présence dans le film d’images d’archives de l’affaire de New York annihile l’argument.

C’est bel et bien, à travers le personnage de Simone, Anne Sinclair qui est instrumentalisée et sert, par touches successives, de vecteur au message politique du film.

Rien n’est dit, mais tout est suggéré. Rien n’est explicite, mais tout est implicite.

Pour qui veut l’entendre, le message est clair : une dévote et amoureuse de l’État d’Israël (pas Israël, mais l’État d’Israël, notons la nuance) jouissant d’une fortune illimitée acquise par sa famille à la fin de la guerre de 39-45, avait pour projet d’installer à la tête de la France une marionnette infantile et manipulable qu’elle tenait par l’argent et comptait diriger le pays à travers lui.

Contrariée par l’affaire de New York, elle a finalement utilisé cette immense fortune, aux origines douteuses, pour sortir son mari du pire, alors même qu’il était bel et bien coupable d’un crime abominable.

De vieilles théories hostiles à Anne Sinclair reprises

Dès lors, on peut comprendre l’indignation d’Anne Sinclair, surtout lorsque l’on sait l’histoire de sa famille. Son grand-père spolié par les Nazis, l’immeuble abritant sa galerie transformée en Institut d’étude des questions juives par Vichy… Et son père Résistant incontesté et incontestable…

Ce que raconte le film est un mensonge absolu, mais, comme par hasard, il reprend bien des théories hostiles à Anne Sinclair très répandues dans l’extrême droite française depuis des décennies.

Dès lors, on peut comprendre ceux qui détectent dans ce film des relents antisémites. La représentation du personnage de Simone, incarnation d’une ambition juive portée par un argent roi, acquis de manière suspecte et malhonnête, est celle que propagent les antisémites de tous bords et de tous temps depuis que celui-ci a fait son apparition historique dans le sillage du christianisme institutionnel, il y a deux mille ans.

Comme l’a dit Jean Veil… »une merde »

Quoi que peuvent en dire les critiques esthétisantes, voire hypocrites, « Welcome to New York » n’est pas un film de cinéma. C’est un spectacle de Dieudonné, sans Dieudonné, mais avec des dialogues de Dieudonné, des procédés de Dieudonné, des sous-titres de Dieudonné et des idées de Dieudonné.

Ce produit devrait ravir les admirateurs de l’humoriste et ses amis politique. Bref, comme l’a dit Jean Veil, Welcome to New York est bel et bien « une merde ».

Par Bruno Roger-Petit

Chroniqueur politique – Le Nouvel Obs Article original

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Dégoût

Je laisse aux spectateurs et aux critiques le soin de juger ce film, s’ils ont envie de le regarder. Nombreux sont ceux d’ailleurs qui ont déjà exprimé leur opinion peu flatteuse, et leur ennui.

Je n’ai pas l’habitude, dans ces colonnes, de faire part de mes sentiments personnels. Mais comme le personnage de Simone dans le film « Welcome to New York » prétend me représenter, je veux seulement dire ici mon dégoût. Dégoût, d’un film où l’exhibition permanente du corps de Gérard Depardieu, présentée comme une audace, donne en fait le haut le cœur. Dégoût des dialogues minables et grotesques. Dégoût de la façon dont M. Ferrara représente les femmes, ce qui doit illustrer ses propres pulsions. Dégoût enfin et surtout du soi-disant face à face des deux personnages principaux, où les auteurs et producteurs du film projettent leurs fantasmes sur l’argent et les juifs.

Les allusions à ma famille pendant la guerre sont proprement dégradantes et diffamatoires. Elles disent le contraire de ce qui fut. Mon grand-père a dû fuir les nazis, et a été déchu de sa nationalité française par le gouvernement de Vichy. Mon père a rejoint la France Libre et a combattu jusqu’à la Libération. Dire autre chose relève de la calomnie. Je ne pensais pas avoir à défendre aujourd’hui leur mémoire devant des attaques aussi clairement antisémites, motivées chez le réalisateur sans doute par ses propres problèmes, et chez le producteur par son goût du profit.

Cela étant, je ne ferai pas à Messieurs Ferrara et Maraval le plaisir de les attaquer en justice. Ils l’ont dit, ils n’attendent que cela. Je n’attaque pas la saleté, je la vomis.

Anne SinclairDirectrice

éditoriale du Huffington Post Article original

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« Welcome to New York », le scénario du pire…

Il y a un peu plus d’un an, Vincent Maraval, producteur et distributeur de Welcome to New York, m’a fait téléphoner par un membre de son équipe pour me proposer de rencontrer Abel Ferrara, de passage à Paris. J’ai refusé.

Un peu plus tard, l’un des agents d’une actrice pressentie pour jouer le rôle de Simone m’a fait part de son désir de me voir intervenir sur un scénario qu’elle jugeait indigent. J’ai refusé.

Quelques semaines encore, et j’ai reçu la même proposition, émise cette fois par l’un des deux producteurs du film. J’ai demandé à lire. Le scénario m’a été envoyé depuis le siège de la maison de production, Wild Bunch. Il n’était pas indigent, mais consternant. Fidèle à la parole donnée, je ne l’ai transmis à personne sinon au cul de ma poubelle. On ne fait pas un bon film avec un mauvais scénario.

L’image est une déclinaison d’un texte recréé. Si celui-ci est bancal, celui-là le sera tout autant. Le problème de Welcome to New York, c’est qu’il ne transcende rien. Il se fait l’écho d’une histoire si connue qu’on s’ennuie à la redécouvrir. Si la panse de Depardieu remplit l’écran, elle ne comble pas le vide d’un spectacle grotesque dans sa complaisance, d’un ridicule consternant, et dont on finit par se demander pour quelles raisons profondes il a été produit et tourné.

Quelques jours avant que Vincent Maraval me fasse appeler pour que je rencontre Abel Ferrara, nous avions dîné ensemble. Il a raconté dans la presse que je l’avais menacé des foudres de la vraie Simone, dont la fortune épuiserait sa vie. Nous étions quinze autour de la table. Personne ne se souvient de cette virulence. Après avoir vu le film, j’ai compris la raison de cette interprétation si conforme aux obsessions du metteur en scène.

Vincent Maraval s’est également répandu ici et là, déclarant que nul ne m’avait proposé de travailler sur le scénario de Welcome to New York. Deux mensonges. Le troisième, c’est le film lui-même.

UN ANTISÉMITISME À VOMIR

Welcome to New York tourne autour du cul, du fric et du pouvoir. Il s’ouvre sur des liasses de dollars et des lingots d’or. Il s’enfonce dans des images pornographiques médiocres et sans jouissance, des faits blanchis ailleurs mais condamnés ici, du mauvais spectacle, des femmes et des hommes dégradés, un antisémitisme à vomir. C’est sale. Tout est sale. Lisible, déjà, dans le scénario, sauf les scènes de baise, qui restaient à imaginer. Tout rêve vaudra beaucoup mieux que cette réalité glauque.

Quand Stanley Kubrick tourne Lolita, il transcende Humbert Humbert . De même Bennett Miller tournant Truman Capote. Là, rien de ce genre. Le film se veut le calque de l’événement. La réalité, toute la réalité, rien que la réalité. On épluche la presse de l’époque, on se place dans les vrais décors, on recompose des scènes mille fois vues sur tous les écrans du monde, on glane des ragots maquillés en vérités. Après, on organise le buzz.

On ne diffuse pas dans les salles, on singe les résistants ayant bravé les pressions en tous genres, on fait la fête au Festival de Cannes. Bref, on vend tout sauf l’oeuvre. Parce que l’oeuvre n’existe pas. Un long ennui, mille exaspérations, quelques violentes colères.

Et un mensonge puisque les démarches psychologiques de l’un et de l’autre, l’intimité de leur relation, leurs colères, douleurs et désespoirs, c’est-à-dire les seules richesses qui auraient pu transcender et enrichir un encéphalogramme plat, non seulement n’y sont pas, mais, quand elles surgissent de dialogues douteux ou de répliques salaces, constituent des contre-vérités absolues.

Ce film a été produit non pour faire oeuvre, mais pour provoquer le scandale. Le problème, c’est que le scandale a déjà eu lieu et qu’aucune représentation ne l’égalera. Il sonne comme un règlement de comptes.

D’Abel Ferrara avec lui-même, de Vincent Maraval avec le système qui le porte et le nourrit, des uns et des autres avec des violences projetées, des haines non assouvies, l’appât de ce qu’on prétendait dénoncer : le fric et le pouvoir.

Par Dan Franck (Ecrivain, scénariste) Article original

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Armand Maruani

{{Je me pose la question et si c’était un mec qui faisait le ménage ce jour là au Sofitel ? DSK serait peut être aujourd’hui Président de la République .}}

{{A moins qu’il eût fini ses jours à l’Elysée comme Félix Faure}} .

{{Cela n’aurait pas été mieux .}}

rahm

voila encore la preuve ,l article du Figaro encore du Israel et droit de l homme,

http://sport24.lefigaro.fr/football/coupe-du-monde/2014-bresil/actualites/cantona-s-en-prend-a-platini-695356

jymd

A vous tous,
L hypocrisie de ces infâmes nous démontre le vrai visage de la nouvelle France
La Une du Figaro de la semaine dernière nous démontre que plusieurs familles l ont déjà bien compris
et qu il est temps de revoir notre avenir dans ce pays
L antisémitisme fait vendre, « dieuducul » l a bien compris !!ce n est donc pour beaucoup qu une question d argent,mais qui sert agréablement tous ces détracteurs et jaloux de la force de ce petit et jeune pays ISRAËL ,celui la même qui défie toutes les logiques compréhensibles tant par ces guerres gagnes contre ces millions de sauvages que par son magnifique développement dans tous les secteurs,même ce cantona de m….. s’y met dans son dernier entretien, celui la aussi doit être en manque de notoriété ou a
t’ il peut être des comptes a rendre a sa nouvelle compagne !!!je pense que très vite on va apprendre qu il s est converti a l islam celui la aussi ou cela est déjà fait.
Anne vous n êtes pas seule, ces attaques sont aussi les nôtres, nous l avons bien compris , ISRAËL est l un de nos miracles ,ils le savent et ça les rend fous !!!nous attaquer resserres nos liens pour la plupart malheureusement!!,restons soudes ils ne peuvent rien contre nous, la vérité fini toujours par gagner on en est la preuve HASHEM veille sur vous et sur nous ,vous êtes une femme brillante , admirable,formidable et en plus vous êtes belle cela fait beaucoup pour une petite juive !!!!!
Agréable journee a vous tous
N oubliez pas de rentrer de temps en temps a la maison
c est trop bon!!!!!!!

Shouki

Ce « film » est disponible en WebRip sur certains sites pour ceux qui veulent se faire une idée par eux-même sans laisser 1 centime à la sombre merde de réalisateur.

Par exemple, une recherche Google avec « Welcome.To.New.York.2014.FRENCH.WEBRip.x264-DSK » devrait vous permettre d’y accéder.

Pour ceux qui n’ont pas envie de perdre 2h : 25mn premières minutes de porno, 1h35 de huit clos entre une Anne Sinclair, non nommée, pro-Israël, manipulatrice et castratrice et un Depardieu malade de sexe, incapable de la moindre pensée.

Même sans saleté, sa vulgarité et son antisémitisme, c’est un film particulièrement nul.

ChicMontana

Un film dégoûtant, ordurier, où Depardieu, dit d’entrée de jeux sa détestation de la gent politiques (mais il couche volontiers avec les tordus du Kremlin! Papiers d’identité obligent. Heureusement que la Belgique ne s’est pas précipitée pour en faire un belge) Bref ce personnage Depardieu me débecte ce film est à vomir de honte et de dégoût, il faut que la justice fasse détruire toutes les copies et charger au maximum son « zéro » en lui infligeant une amende record et le contraindre par une astreinte à confesser sa bêtise et présenter à la famille Straus-Kahn et à la communauté juive salie, ses excuses et procéder à la réparation des dommages conséquents que ce film poubelle ne manquera pas de de générer. Pour ma part, l’ignoble « zéro » du film n’existe plus et tous ses films je les ai jetés avec lui à la poubelle. Il n’y a rien de plus à dire.