WhatsApp ferme les comptes des otages et des victimes du 7 octobre
WhatsApp a récemment suscité des interrogations et des inquiétudes après que les familles des otages enlevés à Gaza et des victimes du tragique événement du 7 octobre ont remarqué que leurs proches avaient été retirés de leurs groupes de discussion sur l’application de messagerie.
Cette situation découle de la politique de sécurité de WhatsApp, qui prévoit la désactivation et la suppression des comptes après une période d’inactivité de 120 jours, dans le but de garantir la sécurité des utilisateurs, de limiter la conservation des données et de protéger leur confidentialité.
Gil Dikman, un cousin de Carmel Gat, l’un des otages kidnappés à Gaza, a clarifié la situation en expliquant qu’il s’agit d’une fonctionnalité automatique de l’application. « Après quatre mois d’inactivité, les comptes sont automatiquement supprimés », a-t-il précisé, soulignant que cette action s’était produite simultanément pour la plupart des otages et des victimes du 7 octobre.
Cette situation a certainement suscité des émotions parmi les familles concernées, qui espèrent le retour de leurs proches. « Ils reviendront. Ils doivent revenir », a ajouté Gil Dikman, exprimant l’attente anxieuse des familles pour le retour de leurs proches dans les groupes de discussion.
Bien que cette action de WhatsApp soit conforme à ses politiques de sécurité, elle soulève des questions sur la manière dont les applications de messagerie gèrent les comptes des personnes impliquées dans des situations sensibles, telles que les otages ou les victimes de violence.
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