Traînée de force, brutalement violée alors qu’il lui dit « je t’aime ». Un acte d’accusation a été déposé contre le Palestinien qui a violé une jeune femme sur la plage de Bat Yam.

Un acte d’accusation a été déposé contre un Palestinien de 21 ans de Hébron pour le viol d’une jeune femme sur la plage de la ville de Bat Yam. L’acte d’accusation indique que le Palestinien a tenté d’entamer une conversation avec la jeune femme et lorsqu’elle a refusé de lui répondre, il l’a brutalement traînée et violée. A la fin de l’acte et après avoir pris son téléphone, il a menacé la jeune femme pour garder le silence et lui a même demandé son numéro de téléphone, avant de lui restituer le sien. L’avocat du bureau du procureur a déclaré qu’il y avait un vrai danger pour les femmes en Israël ».

Aujourd’hui (jeudi), le bureau du procureur du district de Tel-Aviv a déposé devant le tribunal de district de la ville un acte d’accusation contre Adi Tamiza, un Palestinien de 21 ans originaire de Hébron, pour avoir brutalement sodomisé une jeune femme sur la plage de Bat Yam. « Ces actions témoignent d’un individu qui représente un grand danger pour le public des femmes en Israël. »

Selon l’acte d’accusation, Tamiza est arrivé avec une autre personne sur la plage de Bat Yam vers 23h30, où la plaignante était assise seule. Tamiza a tenté d’engager la conversation avec elle mais lorsqu’elle l’a repoussé, il a demandé à la personne qui l’accompagnait de se rendre dans un magasin voisin et de lui acheter une boisson. La jeune femme lui a dit qu’elle n’était pas intéressée et qu’elle devait rentrer chez elle.

Lorsqu’ils se sont retrouvés seuls, la plaignante s’est levée et a commencé à marcher, après quoi Tamiza s’est levé après elle, s’est ‘approché d’elle et la saisie par la main, alors qu’elle tentait de le repousser. Tamiza a continué à la pousser violemment, a attrapé son autre main, l’a tirée de force vers la ville de Jaffa et lui a dit « viens avec moi faire un tour ».

Tribunal de Tel Aviv

La plaignante a tenté de résister et a fait comprendre à Tamiza qu’elle ne souhaitait pas l’accompagner. Lorsqu’elle a refusé, Tamiza l’a prise et l’a portée de la plage à une colline voisine. Plus tard, et malgré sa résistance, il déshabilla de force la jeune femme, tandis qu’elle résistait et tentait de se libérer de son emprise, mais sans succès. À un moment donné, la plaignante a tenté d’appeler à l’aide, mais Tamiza s’est empressée de lui prendre le téléphone. Après une lutte, Tamiza a réussi à commettre un acte brutal de sodomie sur la plaignante.

Comme l’indique l’acte d’accusation, à la fin de l’acte, la jeune femme a demandé à Tamiza qu’il lui rende son téléphone portable, mais l’accusé n’a pas hésité et lui a posé une condition : il lui rendrait le téléphone en échange du numéro de téléphone de la jeune femme, qu’il venait violer brutalement. Tamiza a menacé la plaignante en lui enjoignant de ne parler à personne de l’acte qu’il venait de commettre, et lui a même dit en arabe qu’il « l’aime » et a quitté les lieux.

« Les actions attribuées à l’inculpé dans le cadre de l’acte d’accusation témoignent d’une personne qui représente un grand danger pour le public féminin en Israël, alors qu’il a utilisé le permis de séjour qui lui a été délivré à des fins de travail pour commettre un acte brutal de sodomie, en  pleine nuit contre une plaignante dont le seul « crime » était de s’asseoir sur le bord de la plage la nuit », a déclaré, l’avocate Kari Kesa, qui a déposé l’acte d’accusation. « De telles actions comme celles commises par l’inculpé constituent une atteinte grave au respect des femmes, de leur sécurité et indiquent que ce danger ne peut être atténué que par une arrestation et une inculpation de leurs auteurs ».

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3 Commentaires
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Nicole

La phrase de l’avocate est quand même maladroite et prête à confusion
On n’est pas loin du reproche (?)
et dire que ces types représentent un danger pour les femmes en Israël – non mais on se croirait dans la 2eme guerre où on faisait du fatalisme et où on se soumettait sans résister à l’Allemand…!!!

Ces types des le début quand ils deviennent insistants il faut leur lancer du sable dans les yeux

Jacques

Je ne suis pas d’accord avec l’avocate, s’asseoir sur le bord de la plage la nuit n’est pas un crime.

SPECCHIO

VOUS N’AVEZ RIEN COMPRIS, RELISEZ ET COMPRENEZ LA PHRASE!!