Tensions exacerbées entre Téhéran et Israël après l’assassinat d’un haut gradé iranien
La situation explosive au Moyen-Orient vient de prendre un nouveau tournant inquiétant. Selon des informations de source américaine, l’Iran conditionnerait désormais sa riposte après l’élimination du général Zahedi en Syrie à l’issue du conflit meurtrier dans la bande de Gaza.
Ce haut commandant des forces Qods, bras armé des Gardiens de la Révolution à l’étranger, a été tué la semaine dernière dans une attaque attribuée à Israël à Damas. Depuis, les plus hautes autorités iraniennes ont promis une réponse « ferme » et « décisive » contre l’État hébreu.
Mais d’après des sources bien renseignées, Téhéran aurait adressé un message musclé à Washington par la voie diplomatique omanaise. L’Iran n’agirait contre Israël que si un cessez-le-feu n’était pas décrété rapidement à Gaza, permettant le retour des déplacés palestiniens et le retrait israélien.
Une escalade majeure que l’État hébreu semble prendre très au sérieux. Une alerte maximale a été décrétée le long de sa frontière nord avec le Liban et la Syrie, où sont solidement implantés les mouvements chiites alliés de Téhéran comme le Hezbollah.
De son côté, le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah a réitéré que « l’assassinat de Zahedi ne restera pas impuni ». Une « guerre d’usure » se jouerait désormais selon lui, Téhéran fixant le moment et la nature de la riposte.
Sur le terrain, les signaux inquiétants se multiplient. Le guide suprême Khamenei a placé toutes les forces iraniennes en état d’alerte maximal selon des responsables sous le couvert de l’anonymat. L’objectif serait de « punir directement le régime sioniste » par une attaque d’ampleur inédite, possiblement visant aussi les représentations diplomatiques israéliennes. Selon les sources, un scénario qui se profile est celui d’une attaque d’une ampleur sans précédent par des drones « suicides » et des missiles de croisière
Face à cette escalade explosive, les regards se tournent également vers Gaza. Certains médias évoquent des avancées sur un éventuel accord de cessez-le-feu, incluant un retrait israélien du Sud de l’enclave assiégée, retrait qui a déjà eu lieu dimanche dernier
Autant d’éléments qui confirment la volatilité d’une région déjà plongée dans un bain de sang. Et l’importance critique que revêt désormais l’épineuse question gazaouie pour l’avenir des relations irano-israéliennes, au risque d’un embrasement ravageur.
Jforum.fr
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Je ne savais pas que l’Iran dictait sa loi à Israël pour gaza. Juif, fais gaffe à ta gueule, tu vas voir ce qu’il va d’arriver, et j’en passe. Des gamins dans une cour de récréation ? On annonçait une réplique de l’Iran dans les 48h suivant l’élimination de leur général, plus d’une semaine après on attend toujours. Patience, le guerrier iranien doit attendre que lui passe sa diarrhée des batailles. Remettez les iraniens dans leur cage, avec pot de chambre. Ils ne sont même pas drôles.
Dans la série « Retenez-moi ou je fais un malheur » les enturbannés continuent leur cinéma et se cachent derrière leurs grouillots qui font le sale boulot à leur place.
Il est évident qu’ils craignent une frappe de grande envergure contre leur pays et surtout, sur leurs centrales nucléaires.
A part menacer et insulter Israël, ils ne font pas grand chose directement, ils sont conscients que si ils vont trop loin, ça ira très mal pour eux.
Ils savent aussi qu’il faut prendre au sérieux les menaces israéliennes qui n’ont rien à voir avec celles émises par l’Administration américaine qui s’est plus qu’aplatie aux pieds des mollahs qui se foutent de leurs gueules et qui les baladent….