La presse francophone a parlé en détail de cet Egyptien de 28 ans qui a attaqué à la machette des militaires en faction devant le Louvre et a été blessé par balles (Le Parisien, Le Figaro, FranceTV, Le Nouvelliste, …). Mais elle n’a mentionné qu’incidemment le fait qu’il avait dans son sac à dos des bombes de peinture. Un musulman qui risque sa vie pour entrer au Louvre avec des bombes de peinture, ça devrait pourtant faire réfléchir. Il est tout de même énorme que nous devions apprendre par des sites anglophones le sens de cette attaque.
« L’islam détruit délibérément tout art car c’est de l’idolâtrie »
“It is the Purpose of Islam to Destroy All Art Because it is Jahiliyyah”
L’attaque jihadiste au Louvre – dont l’auteur avait un sac à dos contenant des bombes de peinture – donne à penser que le but était d’endommager ou de détruire plusieurs des œuvres d’art inestimables exposées dans le plus célèbre musée du monde.
Pour ceux qui étudient la théologie et la loi islamiques, cette tentative n’est pas une surprise. L’islam ordonne la destruction des œuvres d’art et autres objets créés par les infidèles, car ils représentent la jâhiliyya, le « temps de l’ignorance », avant que Mahomet n’apporte la parole d’Allah à ses disciples.
Vlad Tepes a interviewé Bill Warner, du Centre d’étude de l’islam politique, au sujet de l’attaque du Louvre et des bases coraniques de tels actes. Warner souligne que l’islam mène une guerre totale contre les kouffars : « Les bombes de peinture font partie de la guerre de civilisations lancée par Mahomet il y a 1400 ans. »
« Il faisait ce qu’il devait selon la loi islamique »
“He Was Doing the Right Thing According to Shariah Law”
[…] Sandra Solomon est une apostate de l’islam qui a grandi en Arabie saoudite et vit maintenant au Canada. Vlad Tepes l’a interrogée au sujet des bases existant dans la charia pour la destruction d’œuvres d’art. Pour la loi islamique – dérivée des paroles de Mahomet – toute œuvre d’art représentant des animaux ou des humains est une forme d’idolâtrie et est donc haram, interdite. En arabe, ces pratiques sont appelées shirk, ou polythéisme : placer des objets sur pied d’égalité avec Allah en tant qu’objets de culte. Vous et moi qui souscrivons à cet art sommes des polythéistes, des païens. Même les musulmans qui ont une peinture, un dessin ou une photo chez eux, fût-ce une photo de leurs enfants, sont coupables de shirk et voués à l’enfer, selon la loi de Mahomet.
Gates of Vienna, 4.02.2017
Rappel (Nouvel Obs, novembre 2015) :
« La destruction culturelle fait partie intégrante du djihad »
P. S. :Pour le père de l’attaquant, évidemment, son fils n’est pas un terroriste et toute l’affaire n’est qu’une mise en scène du gouvernement français pour pouvoir lui tirer dessus !
Bill Warner