Il faut bien comprendre qu’il ne peut pas et qu’il n’y aura pas d’état palestinien. Il est hors de question d’avoir un Gaza bis à Jérusalem, Hébron ou Jéricho.
La gauche israélienne, prompte au suicide cultuel, culturel, et ethnique avec les accords d’Oslo, ainsi que les Occidentaux qui ne veulent pas comprendre la réalité du terrain, doivent admettre que dans cette affaire, et sur ce territoire qu’il n’y a pas la place pour deux états dont un ne reconnait toujours pas le droit simple de l’existence de l’État juif. Ni par la force, ni par la pression politique, ni avec l’aide des pays occidentaux, les Arabes de Palestine, qui n’ont jamais eu d’état, ne pourront en avoir un au détriment du Peuple Juif détenteur de la Terre d’Israël.
En disant cela, nous ne sommes ni d’extrême droite, ni fasciste ni nazie. La Jordanie représente plus des trois quarts de la Palestine historique (Jordanie = 88.794 km² Israël = 20.517 km² Cisjordanie = 6020 km²), territoire sous mandat Britannique, après avoir été une province de l’Empire ottoman durant 4 siècles et une suite d’invasions diverses. Dans tous les conflits, il y a toujours eu des transferts de populations. À l’indépendance de l’Inde et du Pakistan, près de 15 millions de réfugiés se sont croisés. L’ONU n’a pris en charge aucun des réfugiés, ni en Inde ni ailleurs comme elle l’a fait pendant 73 ans aux ennemis d’Israël.
Quand aurons-nous un dirigeant à l’égal de Menahem Béguin Za’l qui a su apostropher Mitterrand à la Knesset le 1er mars 1982, en proclamant qu’il n’y aura jamais d’état palestinien.
Biden cherche à détricoter ce qu’a fait Donald Trump, mais avec la condamnation des constructions juives en Judée Samarie, et le consulat des États-Unis à Jérusalem Est, c’est manifestement la poursuite d’une politique hors sol, menée avec Obama.
Cisjordanie : Les Etats-Unis critiquent « fermement » Israël sur la « colonisation ».
L’administration Biden a opté pour un changement de ton avec son allié.
Le silence, c’est fini. Les Etats-Unis de Joe Biden ont pour la première fois haussé clairement le ton face à Israël sur la « colonisation », en critiquant « fermement » l’annonce de la construction de plus de 1.000 nouveaux logements en Cisjordanie occupée.
« Nous sommes profondément préoccupés par le projet du gouvernement israélien », a déclaré le porte-parole de la diplomatie américaine Ned Price devant la presse. « Nous nous opposons fermement à l’extension des colonies, qui est totalement contraire aux efforts pour faire baisser les tensions et garantir le calme, et qui nuit aux perspectives de solution à deux Etats » israélien et palestinien, a-t-il ajouté.
L’Etat hébreu a annoncé dimanche la construction prévue de 1.355 nouveaux logements dans des implantations juives de Cisjordanie, une décision dénoncée par les Palestiniens. Ces nouveaux logements doivent s’ajouter aux quelque 2.000 annoncés en août par les autorités et qui devaient obtenir cette semaine un feu vert définitif du ministère de la Défense.
« Le renforcement de la présence juive (en Cisjordanie) est essentiel dans la vision sioniste », avait déclaré le ministre de la Construction Zeev Elkin, membre du parti de droite Tikva Hadasha (Nouvel Espoir), qui fait partie de la coalition gouvernementale dirigée par Naftali Bennett. « Nous estimons aussi que tout effort visant à légaliser rétroactivement des implantations illégales est inacceptable », a encore réagi Ned Price à Washington, assurant que de hauts responsables américains avaient fait part de ces positions « directement » à leurs homologues israéliens.
Il s’agit d’une des positions les plus fermes prises par les Etats-Unis à l’égard de la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens depuis l’arrivée du président Joe Biden à la Maison Blanche en début d’année.
Son prédécesseur Donald Trump, qui avait multiplié les gestes à l’égard d’Israël et de son Premier ministre de l’époque, son « ami » Benjamin Netanyahou, avait lui adopté une position nettement plus compréhensive.
Retour à la doctrine d’Obama
Son secrétaire d’Etat Mike Pompeo avait même modifié en 2019 la doctrine américaine, affirmant que Washington ne jugeait plus les implantations comme contraires au droit international, une décision célébrée par Israël mais dénoncée par les Palestiniens.
Il était d’ailleurs devenu en novembre dernier, après la défaite de Donald Trump à la présidentielle, le premier chef de la diplomatie américaine à se rendre dans une implantation en Cisjordanie.
L’implantation israélienne avait connu un vif essor, sous l’impulsion de « Bibi » Netanyahu, pendant l’ère Trump.
Le gouvernement Biden, officiellement opposé à la colonisation, s’était montré prudent ces derniers mois, se bornant la plupart du temps à appeler Israël et les Palestiniens à s’abstenir de toute mesure « unilatérale » susceptible d’attiser les tensions, y compris en matière de colonisation.
L’équipe démocrate semble désormais se rapprocher de la position de l’ex-président Barack Obama qui, à la fin de son mandat en 2016, avait permis l’adoption d’une résolution historique de l’ONU condamnant les colonies israéliennes.
Ces implantations installées en Judée Samarie sont en effet jugées illégales par les Nations unies, et une grande partie de la communauté internationale voit en elles un obstacle majeur à la paix.
JForum – 20 minutes corrigé
en afrique du nord il y a un verbe que j aime bien
c’est « Berrah » ! en general utilisé a l imperatif et qui a donné naissance au nom de métier « Barrah », celui du type préposé a annoncer des enchères aux marchés
avec aussi une connotation de « aboie toujours, « ….
alors Mister Biden , « berrah !! »
ps: confidentiel entre nous…je souhaite souvent une vitrification de tout cet orient maléfique, meurtrier,taré… de toutes ces nations belliqueuses, antijuives,s ‘ entretuant même dans leurs mosquées…qui sont la honte de l humanité
Obama, l’ex musulman il y a de quoi rire….Straus-Khan qui tombe durant son mandat, ce gentleman est probablement derrière ça, SK se serait opposé à sa politique pro-Iran et le reste.
Quant à Biden, doit concocter encore un juteux contrat avec un des pays fous, et pour ce faire flatte l’ennemi.
Qu’il s’occupe des difficultés de sa population avant de mettre sa truffe inculte dans l’Histoire d’un pays que visiblement il ignore.
De toute façon ce qui appartient à Israël cela n’appartiennent jamais au autres !!!!!
Israël n’est pas le 52eme état des États Unis.
On s’en fout. L’Amérique a montré son « savoir faire » en Afghanistan. Quant à l’Europe, elle a peur de son ombre suite à l’invasion arabe et de ce fait ne peut plus être arbitre. elle a en outre monté sa partialité en subventionnant une organisation qui récompense le terrorisme.
Israel doit faire ce qu’il y a de mieux pour sa sécurité. Un nouveau Gaza en Judée Samarie lui serait fatal.
Comme on dit chez nous Biden , les chiens aboient la caravane passe ….