Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a qualifié dimanche l’assassinat de l’ex Premier ministre Yitzhak Rabin “de traumatisme historique” pour le peuple israélien.

“L’assassinat d’Yitzhak Rabin a été un traumatisme historique pour notre peuple”, a déclaré le dirigeant israélien à l’occasion d’une session extraordinaire de la Knesset à la mémoire de Rabin.

“Il avait tort mais il n’était pas un traître, il était l’un des meilleurs patriotes sionistes”, a-t-il ajouté.

Le 4 novembre 1995, alors qu’il vient de prononcer un discours au cours d’une manifestation pacifiste à Tel Aviv, Yitzhak Rabin est touché par plusieurs balles tirées à bout portant dans le dos.

Gravement blessé, le Premier ministre israélien meurt sur la table d’opération de l’hôpital Ichilov quelques heures plus tard.

Son assassin, Yigal Amir, est un Israélien de confession juive, étudiant en droit et opposé aux accords d’Oslo.

Chaque année, des milliers d’Israéliens se rassemblent à Tel Aviv pour commémorer la disparition d’Yitzhak Rabin, à quelques mètres de l’endroit où il fût assassiné.

Yaakov Tanenbaum 

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Élie de Paris

Certes, certes…
Sûrement même un formidable sioniste, et un général hors pair…
Mais pourquoi l’avoir propulser aux manettes du gouvernements ? Un gachis…
Un general oblige ses soldats. Mais le peuple n’est pas ses soldats, et Ysraël n’est pas sous dictature.
Pas un traître, mais il aura trahi l’idéal sioniste du retour du peuple sur sa terre en sécurité. À cette époque, les bus explosaient, et les pizzerias, les boites de nuit, les écoles, les ramassages scolaires…
Et il s’en était parti, secondé par Shimon, brader la sécurité et entériner encore, et encore, le creusement des tombes, tandis que l’autre misérable crapaud se réjouissait d’en etre le fossoyeur… Misère pour lui, misère pour les victimes, et même misère pour l’ assassin, banni à jamais. Même aujourd’hui lui sont demandé les comptes, d’avoir cédé les terres si chèrement recouvrées pour un bout de papier sur 25 ans, alors que oui, nous en étions les propriétaires d’origine…
Ariel lui aussi a déraillé vers la fin. On voit le résultat aujourd’hui, à gaza…
Et quoi, une attaque l’aura couché, sans qu’une place n’ait porté son nom, et sans manif…