Une travailleur bénévole dans un centre de réfugiés a admis avoir ‘inventé’ la mort d’un migrant syrien, soi-disant mort de froid dans une file d’attente à Berlin. L’histoire a été largement relayée par les médias en Allemagne, et utilisée pour faire pression sur le gouvernement et les associations, pour obtenir de l’argent et des ressources humaines supplémentaires dédiés aux migrants.

Une ONG prompte à critiquer le gouvernement pour la mort a aussitôt fait campagne, mais a dû admettre plus tard, une fois le pot aux roses découvert, que la révélation de ce mensonge pourrait se révéler «catastrophique» pour la cause ‘pro-réfugiés’ qu’ils défendent.

La militante pro-migrants inspirée a d’abord raconté son histoire sur Facebook, avec photo de l’homme couché à terre à l’appui, qu’elle a appelé « Dirk » dans son macabre scénario. Elle a décrit les refuges et la détérioration de leurs conditions de vie avec des détail poignants, alléguant par ailleurs que quatre femmes migrantes avaient dû accoucher avant terme dans la file d’attente, et que l’enfant migrant fraîchement mis au monde et viable d’une des femmes lui avait été enlevé.

« A 24 ans un syrien qui faisait la queue depuis plusieurs jours devant le LaGeSo (Berlin Health and Social Affairs Office) le centre sanitaire et social de Berlin, dans ses températures étaient glaciales, fouétté par la neige, secoué par des frissons fièvreux,  est décédé des suites d’un arrêt cardiaquedans l’ambulance qui le transportait aux urgences », a écrit Reyna Bruns.

Ajoutant: « Ce sacrifice d’une vie humaine aurait pu être évité. Nous avons tous vu venir cette catastrophe. Et pas seulement de ces deux derniers jours, mais toutes celles de cette année et demi écoulée ».

LaGeSo est le Bureau de la santé et des affaires sociales de Berlin, où tous les réfugiés de Berlin doivent s’inscrire. C’est devenu une obligation pour gérer la crise des réfugiés en l’Allemagne,qui peine à faire face au volume des arrivées et essuie de vives critiques pour tout retard dans la délivrance des soins.

Son directeur a même été contraint de démissionner l’année dernière sous la pression d’un groupe de 40 avocats qui ont même déposé une plainte pénale contre le responsable de la santé publique de la ville en Décembre, à cause des arriéré et des retards dans la dispense des soins, alléguant qu’il était responsable d’avoir «causé des lésions corporelles » à des migrants et réclamant davantage de ressources.

«Qui est responsable ici? Qui va assumer la responsabilité de la faillitte du gouvernement ou son manque de volonté politique?  » harrangait Mlle. Bruns sur les réseaux sociaux.

Dans le post fleuve qui décrit son «statut», elle a utilisé le décès présumé et fait appel aux dons, argent et en nature ; « Le garçon qui a tant lutter pour venir ici, est mort maintenant et nous, notre pays, notre société, avons échoué à le protéger ».

L’histoire est instantanément devenue virale, et a fait son entrée en fanfare dans la presse grand public mercredi après-midi, puis ses propagée au-delà de l’Allemagne et rapportée dans les médias anglophones. Hommage et collectes ont fleuri dans les entreprises et dans les rues, avec des militants pro immigration allumant des bougies et déposant des fleurs devant les portes certains allant même jusqu’à porter des brassards noirs en signe de deuil.

Bougies allumées étant au #LaGeSo pour le réfugié âgé de 24 ans qui est mort les pic.twitter.com/F5iEh7hiAs d’aujourd’hui

– Ben Knight (BenWernerKnight) Janvier 27, 2016

Christiane Beckmann, porte-parole de Moabit Hilft, une ONG locale dédiée au migrants a saisi l’occasion pour parler aux journalistes qui ont afflué à l’Office LaGeSo:

« Nous avons dénoncé dans des quantités de déclarations pendant des semaines et des mois que les gens font la queue ici dans des conditions inhumaines », dit-elle. « Il y a des lois dans ce pays et il est de notre devoir de nous occuper des personnes qui demandent l’asile, et la responsabilité en revient très clairement au  gouvernement ».

https://twitter.com/dwnews/status/692304494802112512

Pourtant, des doutes quant à la véracité des faits ont commencé à faire surface lorsque des journalistes professionnels se sont trouvés dans l’incapacité de trouver les dossiers des migrants morts dans les hôpitaux et les morgues de Berlin.

Comme les heures passaient sans aucune information au sujet des fameux Syriens morts, des rumeurs ont commencé a circuler que tout cela était peut-être un scénario monté de toutes pièces. D’autant que la seule ‘témoin oculaire’ de la mort de « Dirk », a soudainement coupé tout contact avec les autres bénévoles auprès des migrants et a refusé de répondre aux questions de la presse qui cherchait à entrer en contact avec elle par courriel et par téléphone et évitait soigneusement les équipes de tournage qui stationnait à l’extérieur de son appartement.
« Nous nous efforçons, tout comme toutes les autres autorités de la ville, la police, pompiers, à tirer cette histoire au clair et faire toute la lumière sur ces événements  » a déclaré  une autre porte parole de l’ONG Moabit Hilft, s’adressant aux journalistes lors d’une conférence de presse plus tard mercredi soir.

«Ce serait une catastrophe pour nous [si la bénévole avait inventé cette histoire], » a ajouté la porte-parole. « Nous ne pourrions tout simplement plus faire confiance à bon nombres de nos bénévoles et membres d’associations … Nous espérons que les personnes que nous engageons sont assez intelligentes de ne pas inventer une histoire pareille. »

La vérité a éclaté lorsque des policiers ont rendu visite à la jeune femme à son domicile et ont annoncé que la militante avaient « admis qu’elle avait inventé tout ça ».

Le centre social et sanitaire Berlinois a réagi avec colère à ces révélations. Frank Henkel, le sénateur chargé des affaires sociales, a prévenu que cette manipulation aurait des conséquences pour son auteure et qu’elle devrait répondre de ses fausses allégations. Il a déclaré au Journal Die Zeit (le temps):

« C’est un des agissements les plus pourris et insidieux que j’ai vu dans ma vie … les autorités Berlinoises ont été pendant des heures et avec l’aide de grands efforts à la recherche d’un mort dont LaGeSo serait responsable alors que ce mort était complètement fictif « .

Breitbart

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Roland

Il y a longtemps que dans beaucoup de chaumières, plus personnes ne pleure devant les déclarations des ONG « Bobos gauchos » et surtout de Palywood. Ces gens sont des déserteurs, qu’ils se battent pour leur pays….Les Occidentaux n’ont rien a voir dans les guerres entre les dictateurs et les fanatiques de la charia

André

J’ai bien ri…ahahahah ! Où l’on voit bien aussi non seulement la malhonnêteté de toutes ces « associations humanitaires » à qui j’ai arrêté de donner de l’argent il y a très longtemps déjà (je ne donne plus que pour Israël et la cause animal…) mais aussi le fléau que sont ses soit disant « réseaux sociaux ».