Tandis qu’Obama décidait, alors que son administration tirait à sa fin, de ne pas opposer son veto à la résolution du Conseil de sécurité condamnant les implantations israéliennes, son successeur n’a pas hésité à prendre position contre la position rigide et traditionnelle de la plupart des membres du Conseil sur le statut de Jérusalem.
Pas étonnant que les deux alliés aient officiellement décidé de quitter cette branche des Nations Unies.
La décision des États-Unis de reconnaître Israël comme la capitale d’Israël contrastait fortement avec les termes employés par l’UNESCO qualifiant Israël de «force d’occupation à Jérusalem».
Bien que les États-Unis aient perdu leur vote à l’UNESCO quand Obama était président, c’est le Congrès qui a fait pression sur la Maison Blanche – qui s’est vigoureusement opposée à l’initiative – pour qu’elle arrête de transférer des fonds à l’organisation. L’initiative du Congrès est venue en réponse à la décision de l’UNESCO d’accepter l’Autorité palestinienne en tant que membre à part entière.
La décision du procureur général américain Jeff Sessions de lancer une enquête suite aux rapports dramatiques publiés la semaine dernière affirmant que l’administration Obama avait pris des mesures pour contrecarrer l’opération Cassandra, un projet visant à porter un coup aux opérations de contrebande de drogue et de blanchiment du Hezbollah. Un autre aspect des tentatives de cette administration pour effacer l’ère Obama ou du moins la présenter sous un jour plus critique.
Il y a certainement matière à enquête pour savoir si, dans leur impatience à signer l’accord nucléaire iranien de 2015, «tous les hommes du président» ont délibérément pris des mesures pour torpiller l’opération contre le principal supplétif iranien et ainsi mettre en péril la sécurité nationale.
Il faut lui retirer le Prix Nobel de la Paix car c’ est un terroriste en puissance .
Hussein Obama alias le Squatter de la M.B. : « Une Taupe du hezbollah à la Maison Blanche ».
Le Comité Nobel va statuer pour retirer le Nobel de la paix à ce pourri.