un journal britannique a publié la photo d’un bébé israélien assassiné par le Hamas

Les médias du monde entier continuent de suivre l’attaque terroriste meurtrière du Hamas le matin de la fête. Le Daily Telegraph a consacré la première page à cette horrible photo. « C’est la photo la plus difficile que nous ayons publiée », dit-il, nous écrivons ceci, nos mains tremblent »

Le journal britannique Daily Telegraph a publié ce soir (entre jeudi et vendredi) une photo d’un bébé israélien assassiné par le Hamas lors de l’attaque surprise brutale de samedi matin contre les implantations israéliennes entourant Gaza.  » C’est l’image la plus difficile que nous ayons publiée », peut-on lire en page de couverture. « Au moment où nous écrivons ces lignes, nos mains tremblent, mais nous avons besoin que chacun d’entre vous sache

La photo a été publiée en troisième page du journal et elle est très difficile à voir. Comme ils l’ont clairement indiqué sur la page de couverture, l’objectif est de présenter au monde les atrocités qui ont eu lieu sur le sol israélien le matin de la fête – et de prouver le mal du Hamas.

Plus tôt, le ministère israélien des Affaires étrangères avait publié la photo du bébé sur sa page Twitter, aux côtés d’autres photos très difficiles montrant des bébés brûlés par le Hamas. Ceux qui nient ces événements soutiennent les animaux barbares qui en sont responsables. bébés les tout-petits Des bébés », précise-t-on. Ces photos ont également été publiées sur la page du bureau du Premier ministre, et il a été souligné qu’elles ont également été présentées au secrétaire d’État américain Anthony Blinken..

La publication de la photo de l’attaque terroriste meurtrière s’ajoute à une large couverture médiatique dans le monde entier. Par exemple, en couverture du journal britannique Daily Express, ils ont évoqué les horreurs révélées par le massacre de Kfar Gaza. « L’horreur des bébés décapités est un mal absolu. Le Hamas a tranché la gorge des bébés lors d’un massacre. » 

Le choix inhabituel du Telegraph de publier la photo telle qu’elle est présentée à ses lecteurs s’inscrit dans un contexte de tentatives visant à brouiller et à cacher les atrocités commises par les terroristes du Hamas, ainsi qu’à des conspirations sur les réseaux selon lesquelles ils n’ont pas massacré d’enfants. Suite à cela, Israël a retiré ses gants dans la bataille pour informer l’opinion publique mondiale et a décidé de diffuser les informations sur le massacre de la bande de Gaza sur ses comptes officiels des réseaux sociaux, et pas seulement à travers les médias étrangers comme cela a été le cas.

Des discussions ont eu lieu au ministère des Affaires étrangères, les considérations explicatives et politiques ont été examinées et, à la fin, il a été décidé que les scènes d’horreur devraient trouver un écho dans les récits officiels.

Les gros titres du Washington Post

En outre, sur le site Internet du Washington Post, le titre indique : « À l’intérieur d’une ville israélienne détruite par le Hamas ». Un autre titre dit : « L’odeur de la fumée et de la mort imprègne l’air. De nombreux habitants de Kfar Gaza n’ont pas survécu à l’invasion, qui a interrompu la paix si soudainement que des tasses pleines de café et un pot de lait ont été laissés sur la table de la cuisine dans l’une des maisons.

JForum avec N12 et Ynet

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Damran

Il faudra mettre à l’ordre du jour le plus vite possible le dossier de l’éducation djihadiste criminelle à Gaza qui commence dès le plus jeune âge. 
Malgré les innombrables zexperts qui squattent les plateaux de télé, personne n’a relevé cet aspect de l’enseignement de la haine pathologique et criminelle dispensée à de jeunes enfants.
On peut voir dans une vidéo diffusée de nombreuses fois, une jeune femme martyrisée et dénudée qui est allongée à l’arrière d’un pickup, sur laquelle un gamin d’une dizaine d’années qui porte un polo rouge, cracher sur elle lorsqu’elle arrive à sa hauteur. 
Il s’agit d’une source de futurs monstres d’un nouveau genre qui risque de faire plus de dégâts que les bêtes sauvages qui ont opéré samedi dernier. 
Lorsque l’Allemagne nazie n’avait plus de soldats adultes, elle a recruté des enfants qui n’hésitaient pas à tirer sur des militaires américains dont plusieurs ont perdu la vie parce qu’ils n’osaient pas tirer sur des gosses. 
Il faudra en priorité dissoudre l’UNWRA qui est très responsable de la diffusion de la haine dans les livres d’école, pour fermer ce robinet puant.
L’UE a déjà débloqué plusieurs dizaines de millions d’euros pour venir en aide à Gaza, sans détailler les secteurs qui en bénéficieront.
Un organisme nouveau devra être créé de toute urgence, afin de prendre en mains ce dossier, et de faire appel à une aide internationale de spécialistes en tous genres pour réparer les cerveaux et les âmes de ces enfants perdus, sinon, nous allons pleurer encore et encore… 

o.icaros

En fait, je ne sais pas s’ils égorgent avec haine. Chez eux, c’est culturel et cultuel. Ils ont l’habitude d’égorger et c’est généralement un moment de liesse, une sorte de corrida. Est-ce par hasard que la corrida est espagnole? Quand pour l’aid ils égorgent le mouton, tout le monde est là comme à une messe, les enfants et les femmes aussi et ces dernières poussent des you-you hystériques et stridents à vos vriller le crâne. Avec des mouvements de langues impressionnants, vifs et rapides à rendre jalouses des l…