On compte les terroristes à la place des pommes, les attentats suicides sont glorifiés : les écoles de l’UNRWA à Jérusalem-Est sont une bombe à retardement.

Dans les quartiers arabes de la capitale, les élèves apprennent à haïr les Juifs et Israël. Il est enseignée qu’en utilisant une fronde on peut viser des soldats de Tsahal.  Additionner et soustraire s’apprend en comptant les terroristes suicidaires. C’est sans surprise que ces écoles sont gérées par l’UNRWA. Heureusement cette organisation a été déclarée hors-la-loi, malgré les protestations internationales, la municipalité de Jérusalem est censée remplacer ces institutions.

NDLR Grâce à Netanyahou, Israël retrouve petit à petit sa totale souveraineté. Précédemment elle était distordue par les pressions des puissances dites amies, des médias, et de la gauche israélienne. Cette dernière, dans sa volonté de plaire à nos ennemis, nous a toujours handicapés dans nos aspirations et ambitions nationales. Le droit de l’hommisme, le respect de l’autre à son propre détriment, et les règles dites démocratiques qui font qu’on se tire à chaque fois une balle dans le pied pour faire mieux que les autres, alors qu’aucune nation ne respecte ces lois encore moins en temps de guerre, nous ont menés au bord du suicide. Israël a accepté le terrorisme en son sein et à ses abords immédiats. La décision d’en finir, contre vents et marais, quitte à froisser les États-Unis d’Amérique, au grand dam des Lapid, Gantz, Bennet, Galant et compagnie a permis de changer la donne, ce que n’a pas compris Macron qui pensait avoir un droit sur l’existence d’Israël. Il est surpris de l’affirmation par Israël de sa souveraineté, y compris sur les propriétés dans la France n’a que la charge. L’interdiction de l’UNWRA sur le sol israélien fait partie de cette souveraineté reconquise et il en était grand temps.

Dans le système éducatif de Jérusalem-Est, environ 106 000 élèves sont inscrits. La municipalité divise les établissements de Jérusalem-Est en trois secteurs principaux, chacun ayant un niveau de financement et de supervision différent de la part de l’État.

Le premier secteur est celui des établissements « officiellement reconnus ». Les institutions de ce secteur enseignent le programme de baccalauréat israélien en arabe, en intégrant un seul volet du programme palestinien rédigé à Ramallah. Ce programme est « censuré » par le ministère de l’Éducation, de sorte qu’en cours de mathématiques, par exemple, l’élève est invité à compter le nombre d’arbres dans un champ plutôt que le nombre de terroristes suicidaires qui se tenaient à un arrêt de bus, comme présenté dans le manuel original. Ces établissements sont entièrement financés et supervisés par le ministère de l’Éducation, et les enseignants eux-mêmes en dépendent. En conséquence, le niveau de ces établissements est relativement élevé et des matières technologiques y sont également enseignées.

Le deuxième secteur est celui des établissements « reconnus mais non officiels ». Il s’agit d’établissements reconnus par le ministère de l’Éducation, mais qui ne sont pas officiels. Les institutions gérées par certaines associations et fondations, par exemple, appartiennent à ce secteur. Le programme d’enseignement est similaire à celui du premier secteur, ou du moins prétend l’être. Des sources familières des programmes éducatifs à Jérusalem-Est indiquent qu’en raison du fait que seulement 70 % du financement de ces établissements provient du ministère de l’Éducation, les 30 % restants proviennent de sources étrangères. Il n’est pas exclu que ces sources cherchent à inciter à la violence et à promouvoir le terrorisme en échange de leur financement, et il est très probable que des organisations terroristes se trouvent derrière elles. En plus du fait que ce deuxième secteur est majoritairement présent dans des zones considérées comme « hostiles », il devient presque impossible de contrôler les contenus éducatifs.

Éducation sans supervision

Le troisième secteur est le secteur privé. Ce sont les institutions privées du Waqf, les écoles catholiques, les jardins d’enfants privés et similaires. Ces établissements représentent le « talon d’Achille » de la municipalité de Jérusalem et de l’État en général, car ils ne sont ni financés ni supervisés par le ministère de l’Éducation. En conséquence, les contenus éducatifs ne sont pas contrôlés ; le programme enseigné est un programme palestinien non « censuré » qui encourage le terrorisme, la haine, la violence et l’antisémitisme, et fait l’éloge des terroristes qui ont commis des attentats suicides contre des Israéliens et des Juifs. Environ 10 500 élèves de Jérusalem-Est sont inscrits dans l’enseignement privé de ce secteur, tandis que les autres élèves se répartissent à parts égales, en gros, entre le secteur « officiellement reconnu » et le secteur « reconnu mais non officiel ».

L’UNRWA – Un système éducatif incitant à la haine

Dans le troisième secteur, marqué par l’absence de supervision étatique et des programmes encourageant la violence contre les Juifs et le rejet du sionisme, on trouve six écoles de l’UNRWA (l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés palestiniens) à Jérusalem-Est. Ces écoles, sous le parrainage des Nations unies, accueillent dès l’enfance quelque 900 élèves, leur enseignant des idées de rejet du sionisme, de haine envers les Juifs et d’incitation au terrorisme pour la destruction d’Israël.

En 2023, environ 60 % du budget de l’UNRWA est alloué à la gestion d’écoles, dont la moitié sont situées dans la bande de Gaza. On estime qu’environ 1 000 militants de groupes comme le Hamas et le Jihad islamique palestinien ayant combattu Israël au cours de l’année écoulée ont étudié ou travaillé dans des écoles de l’UNRWA, incluant des directeurs jusqu’au personnel de soutien. Ce chiffre inquiétant alimente l’argument selon lequel l’éducation fournie par l’UNRWA se base sur des valeurs de haine, rejetant l’existence d’un État juif, et de nombreux employés de ces établissements entretiennent des liens directs avec des groupes terroristes.

Eric Agassi, directeur adjoint d’IMPACT-se, explique : « On enseigne aux enfants que devenir terroriste est le sommet de leurs aspirations, et non d’être médecins, sportifs, ingénieurs, éducateurs, astronautes, ou d’apporter du bien à leur communauté. Les terroristes sont glorifiés comme étant les ‘joyaux de la nation’, servant de modèles pour les enfants. »

Une étude menée par IMPACT-se révèle des contenus pédagogiques particulièrement préoccupants. Par exemple, la gravité est expliquée par un manuel de physique illustrant une fronde dirigée vers des soldats israéliens, accompagnée de questions sur la force exercée par la pierre lancée. Les élèves apprennent l’addition et la soustraction en comptant des kamikazes, et les cours de lecture incluent des récits de combats où les Palestiniens « égorgent des soldats ennemis » et « portent des ceintures explosives ». Des terroristes comme Dalal Mughrabi, responsable de l’attentat sanglant de la route côtière en 1978, où 35 Israéliens dont neuf enfants furent tués, sont vénérés comme des héros, considérés comme des modèles pour la jeunesse.

Les racines du problème

« Nous devons désormais faire de la question des réfugiés un djihad ; il est de notre devoir d’inculquer la haine des Juifs dans le cœur de chaque Arabe. »

Ces mots ont été écrits en 1948 par Amir Ghory, secrétaire du Haut Comité Arabe, dans un article publié dans le *Telegraph* de Beyrouth. En effet, les propos de Ghory, appelant à la lutte et à ancrer la haine des Juifs et de l’idée sioniste chez chaque Arabe, cristallisent l’état d’esprit qui régnait alors dans la société arabe locale et au-delà.

Dr. Wilf : « Imaginez que vous allez à l’école chaque jour, et que partout autour de vous se trouvent les lettres *UN* de l’ONU. Automatiquement, vous comprenez que le monde et la justice sont de votre côté. Puis, à 16 ans, quelqu’un vous propose de participer à une action contre les Juifs. Vous êtes ravi ! On vous donne un fusil, et vous vous dites : « Enfin, je vais libérer la Palestine. » »

L’agence de l’ONU, qui avait été fondée après la guerre d’indépendance dans le but d’aider les réfugiés palestiniens à s’installer et à se stabiliser économiquement, a investi le secteur non contrôlé et, pendant des décennies, est devenue, de fait, le porte-parole de diverses organisations terroristes et d’intérêts appelant à la destruction d’Israël. Tout cela, avec le financement total des pays occidentaux qui fermaient les yeux, et sans aucune intervention de l’État.

Danger immédiat

Dans un entretien avec *Israël Hayom*, Dr. Einat Wilf, ancienne députée du parti travailliste et co-auteure du livre *La guerre du droit au retour* qui traite de la question de l’UNRWA au fil des années, décrit l’éducation qui s’est enracinée dans les écoles de l’UNRWA. « Au fil du temps, dans les écoles créées sous l’égide de l’ONU, un nationalisme palestinien s’est développé, entièrement axé sur la négation du sionisme, les messages de retour, de vengeance, et de « Nakba ». Ces messages deviennent ceux utilisés pour enseigner des matières comme l’histoire et la géographie. Ce nationalisme n’a pas de vision ou d’appel à créer un État, mais plutôt un appel au retour, motivé par la vengeance et le rejet de l’État juif. »

Selon Wilf, les incitations et l’éducation à la violence ont eu des effets concrets dès le début. Elle affirme : « L’UNRWA est pire que les organisations terroristes. L’organisation a donné naissance au Hamas et à Septembre Noir, et pourtant elle est pire. Contrairement aux groupes terroristes, elle bénéficie de légitimité, une sorte de groupe terroriste en toute légalité. À titre d’exemple, » ajoute-t-elle, « les auteurs du massacre des athlètes de Munich sont des anciens élèves des écoles de l’UNRWA. Imaginez que vous allez à l’école chaque jour, et que partout autour de vous se trouvent les lettres « UN ». Automatiquement, vous comprenez que le monde et la justice sont de votre côté.

« Dans cette école, on vous raconte qu’il y avait autrefois une Palestine, un pays de lait et de miel, jusqu’à ce que des envahisseurs étrangers viennent et vous la volent. On vous dit qu’un jour, vous la libérerez des occupants étrangers, et on vous inculque l’idée que si votre vie actuelle est difficile, c’est de leur faute. Puis, à 16 ans, quelqu’un vous propose de participer à une action contre les Juifs. Vous êtes heureux ! On vous donne un fusil, et vous vous dites que « vous allez enfin libérer la Palestine ». Arafat lui-même a dit un jour que « l’UNRWA était dans les camps le matin, et l’OLP y était la nuit ». L’UNRWA est le terreau où pousse le terrorisme palestinien au nom de l’idée de retour, de vengeance et de libération de la Palestine « du Jourdain à la mer ». C’est ce que l’UNRWA enseigne encore dans ces écoles aujourd’hui. »

Un responsable de la sécurité, familier avec la question de l’éducation dans l’est de Jérusalem, explique à *Israël Hayom* : « Le Palestinien moyen considère l’UNRWA comme la caisse de bienfaisance municipale. Lorsque cette caisse est fermée, cela provoque de l’agitation, une « piqûre dans l’œil ». De plus, l’équation est simple : on observe un terrorisme massif dans des lieux ayant un dénominateur commun très spécifique ; ce sont les endroits sans infrastructure, sans éducation, avec un taux de chômage élevé. Dans ces endroits, un vide se crée où s’engouffrent des parties prenantes, comme les Iraniens, qui recrutent des combattants dans les camps de réfugiés de Jénine et de Tulkarem. Le terrorisme devient un véritable métier, un complément de revenus. Après l’application de la loi, un enfant de 12 ans à Qalandia ou à Shuafat commencera à traîner de plus en plus dans la rue et se liera à des acteurs hostiles avec des intérêts néfastes. »

Vers un changement ?

« Jérusalem a toujours été explosive, mais son potentiel de tensions est bien plus élevé après l’application de la loi. Ce n’est certainement pas quelque chose qui apportera de la tranquillité à la région. J’espère qu’au final, la municipalité saura combler ce vide et y fera face. »

Comme mentionné, c’est à la municipalité de Jérusalem qu’il reviendra d’intervenir dans le vide qui se créera, en investissant des ressources et des efforts importants. À la municipalité, on ne semble pas inquiet, affirmant que ses représentants ont assisté et participé aux discussions en commission des Affaires étrangères et de la Défense. La municipalité souligne également être prête à accueillir dans ses écoles publiques tous les élèves actuellement scolarisés dans les établissements de l’UNRWA, de sorte que les solutions éducatives seront essentiellement fournies par les écoles existantes. La municipalité s’est également engagée à fournir des alternatives en matière de services sociaux, de santé et de propreté dans l’est de la ville, suite à l’arrêt des activités de l’UNRWA dans cette zone.

Une police d’assurance éternelle

La question se pose alors : comment l’État en est-il arrivé à une situation où l’UNRWA gère sur son territoire des écoles encourageant le terrorisme et l’incitation contre lui ? Dr. Wilf explique : « Pour comprendre ce qu’est l’UNRWA, il est utile de connaître l’UNKRA. Peu après la Seconde Guerre mondiale, il y avait plus de trois millions de réfugiés coréens à cause de la guerre là-bas, soit quatre fois plus que les réfugiés arabes d’ici à cette époque. Le rôle de l’UNKRA était de réinstaller tous ces réfugiés, et elle l’a fait en quelques années seulement, avec un budget représentant le tiers de celui de l’UNRWA à la même période. À titre de comparaison, l’UNRWA, dont le mandat initial était de dix-huit mois seulement, a été créée comme une organisation temporaire, tout comme l’UNKRA, avec l’idée que, dans ce laps de temps, tous les réfugiés seraient installés dans leurs nouveaux lieux de vie et deviendraient économiquement autonomes. Cependant, le plan pour réinstaller les réfugiés arabes en Syrie, Jordanie, Liban, Égypte et Gaza a échoué. Malgré leurs bonnes intentions, les personnes venues du monde entier pour aider, animées d’aspirations et de bonne volonté, ont échoué dans leur mission. »

« Le point essentiel, c’est que ce n’est pas une coïncidence », ajoute Dr. Wilf. « Peu après la création de l’UNRWA, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés a été fondée. Les États arabes et les Arabes eux-mêmes comprirent bien que si les réfugiés arabes recevaient le même traitement que tous les autres réfugiés dans le monde, il n’y aurait plus de réfugiés arabes en peu de temps, en raison de l’élan mondial pour mettre fin à cette situation et du succès de l’ONU à réinstaller les réfugiés ailleurs. Ils pensaient qu’une fois les réfugiés réinstallés et retirés de leur statut de réfugié, cela serait perçu comme une reconnaissance de l’existence de l’État juif – chose à laquelle ils n’étaient pas prêts. En réalité, les Arabes voyaient l’UNRWA comme leur « police d’assurance », et ils percevaient la fondation de l’État comme une erreur à corriger. Ainsi, ils ont choisi d’utiliser l’UNRWA à leur avantage. »

La solution : Prendre le contrôle du mécanisme

À ce moment-là, et contrairement aux autres réfugiés dans le monde, les réfugiés arabes issus de la guerre dans le pays ont refusé de passer à autre chose et de s’installer. « Ils ont décidé de prendre le contrôle du mécanisme mis en place pour les aider et ont veillé à ce qu’il continue de les servir après la guerre qu’ils avaient initiée. Premièrement, ils ont veillé à ce que l’organisation ne les réinstalle d’aucune manière. Ils ont usé de violence, incendié des bureaux et ont voulu affirmer que l’organisation ne réinstallerait aucun réfugié arabe. Pourquoi ? Parce que, pour eux, le statut de réfugié est la preuve que les Juifs n’ont pas d’État. Cela a fonctionné – pour l’UNRWA, même si tu réussis à obtenir une autre nationalité, tu es toujours considéré comme réfugié jusqu’à ce que l’État juif cesse d’exister. »

« Ensuite, ils ont veillé à ce que l’organisation s’appelle UNRWA et non simplement REWA comme prévu initialement. Ils ont exigé que les lettres ‘UN’ figurent dans le nom afin qu’il soit clair pour tous que l’ONU et le monde entier sont responsables des conséquences de la guerre qu’ils avaient choisie de déclencher, et non eux-mêmes. Les États-Unis et la Grande-Bretagne n’ont pas aimé cela mais étaient préoccupés par leurs propres problèmes internes, alors ils ont permis que cela se fasse et ont continué de financer l’UNRWA. De cette façon, les Arabes se sont assuré un traitement spécial et ont fait en sorte d’être pris en charge par une agence officielle qui ne les réinstallerait jamais vraiment, tout en servant fidèlement leurs intérêts. »

« À ce stade, l’UNRWA a compris qu’elle ne pouvait réinstaller personne, mais qu’elle ne pouvait pas non plus fermer en raison du besoin des réfugiés arabes d’un tel organisme en tant que ‘police d’assurance’. Ils ont donc décidé de donner un ‘nouveau visage’ à l’UNRWA – ils ont commencé à fournir des services sociaux et ont établi un système d’éducation et de bien-être. Progressivement, tous les employés occidentaux travaillant dans l’organisation ont été remplacés par des employés arabes. Depuis lors, l’UNRWA a toujours un directeur occidental pour maintenir l’apparence, mais avec des orientations pro-palestiniennes, ce que nous constatons surtout dans le domaine de l’éducation. »

Alors pourquoi avons-nous détourné le regard jusqu’à maintenant, sachant que l’incitation est encore présente ?

« Moi-même, j’ai rencontré des responsables de la sécurité et de l’armée, et j’ai averti que nous paierons pour le sujet de l’UNRWA en vies humaines », témoigne Dr. Wilf. « Personne ne m’a écoutée ; l’armée a dit qu’elle avait besoin de l’UNRWA pour ‘acheter la paix’, et l’État aussi. Si Israël avait fermé l’UNRWA, cela aurait été un coup bien plus fort que toutes les tunnels que nous faisons sauter. C’est cela qui engendre les Sinwar, et il faut éliminer ce qui produit les Sinwar. »

Et maintenant ?

« Après le 7 octobre, il est possible de comprendre que le droit au retour n’est pas une idée innocente de nostalgie pour la maison de l’arrière-grand-père. Le 7 octobre était l’incarnation de ce modèle éducatif : invasion, massacre, victoire. C’est la raison de l’euphorie chez les Palestiniens, car ils ont enfin concrétisé la vision des générations qui attendaient cela depuis plus de 70 ans. C’est cette conception que nous devons dénoncer, et j’espère que cela arrivera. »

JForum.fr & Israël Hayom

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Yan

Je croyais pourtant que le gouvernement avait envoyé officiellement la révocation de la collaboration d’Israël avec L’UNRWA…Il ne faudrait tout de même pas qu’on en reste à un torche-cul sans aucune signification concrète sur le terrain…Dès à présent il faut s’atteler à démanteler les infrastructures de cette institution annexe du Hamas sur notre territoire en démolissant les bâtiments et transférant sous statuts non-grata toutes les personnes y travaillant pour les expulser dans les camps de réfugiés de colons jordaniens à la frontière égyptienne ou ailleurs…

Franck DEBANNER

Que les déchets soient pour les déchets, c’est normal. Ce qui est anormal, c’est que se soit autorisé en Israël. Le tir à balles réelles sur les kaplanistes va devenir nécessaire…

marco darmon

ET POURTANT CETTE DR WILF A ETE DEPUTE AVODA ETDE GAUCHE ET EN FIN DE C/O CELA VOUDRAIT DIRE QU ELLE S EST TROMPEE COMME LA GAUCHE D OSLO QUI ONT FAIT L ERREUR DE FAIRE CADEAU AU FATAH TOUT CE QU ILS VOULAIENT ..

ET SI BEN GVIR AVAIT RAISON DE DETRUIRE L AP FATAH DE RAMALLAH QUI SONT EN CHARGE DE L EDUCATION DES PETITS ARABES DE CISJORDANIE ET A JERUSALEM EST MAIS MOI J ACCUSE LA GAUCHE COMME LE LIKOUD ET L ETAT MAJOR GAUCHISTE QUI ONT LAISSER FAIRE CETTE UNWRA COUPABLE DE CREER DES TERRORISTES ET SI ISRAEL AVAIT ENVOYE DES PROFS JUIFS D ARABE ET D HISTOIRE JUIVE POUR APPRENDRE AUX PETITS ARABES CE QUE SONT LES JUIFS ET L HISTOIRE JUIVE ET SURTOUT QUE PARMI CES PALESTINIENS IL DOIT DES JUIFS QUI ONT DU SE CONVERTIR PAR FORCE A L ISLAM MAIS MOI J ACCUSE SURTOUT LE LIKOUD DES LE DEPART AVEC BEGIN A FAIT LE PLUS GRAND DES CADEAUX AUX ARABES EN FAISANT CADEAU DU SINAI AU VAINCU L EGYPTE QUI AURAIT DU EN PAYER LE PRIX MAIS SUREMENT A DU CEDER AVEC LES GENERAUX GAUCHISTES QU IL AVAIT PRIS PRES DE LUI >>>MOSHE DAYAN QUI AVAIT FAIT CADEAU DU MONT DU TEMPLE A LA JORDANIE PARCE QUE MR DAYAN ETAIT ANTI RELIGIEUX …QUEL TRAITRE CELUI LA ET BEGIN LE PRENDS COMME MIN DES AFF ETRANGERES …ET SON POTE SHARON MIN DE LA DEFENSE QUI AVAIT EXPULSE LES JUIFS DE YAMIT ….ET SI LA GAUCHE ET LE LIKOUD N AVAIT PAS FAIT CADEAU DES TERRES JUIVES AUX ARABES JORDANIE EGYPTE OLP HAMAS ISRAEL AURAIT EU DES TERRITOIRES LUI PERMETTANT LA SECURITE STRATEGIQUE SUR LE JOURDAIN SUR LE MONT DU TEMPLE SUR LE CANAL DE SUEZ ET SUR LE GOLAN ….BEGIN POUR MOI A VENDU SON AME POUR TRAHIR L IDEOLOGIE DU HEROUTH DU GRAND ISRAEL ET LES CONNERIES DE LA GAUCHE D OSLO ET DU LIKOUD ONT CONDUIT AU POGROM DU 7/10/23 C EST TOUT ….§

POUR MOI SI L ETAT MAJOR EST COUPABLE D APRES LA DR WILFF D AVOIR LAISSER L UNWRA ..ET POUR MOI LES GAUCHISTES DE L ETAT MAJOR ET LES JUGES DOIVENT ETRE VIRER SUR LE CHAMP …

C EST BEN GVIR QUI DEVRAIT ETRE PM ET NON BIBI QUI S EN FOUT DE L HECATOMBE DES SOLDATS TUES AU SUD LIBAN ET A GAZA ALORS S IL SEN SOUCIER VRAIMENT IL CHANGERAIT DE TACTIC VIS A VIS DES HAMAS DJIHAD ET HEZBOLLAH ET MEME LE FATAH DE RAMALLAH QUI NE VEUT PAS LES EXPULSER VERS LES PAYS ARABES ET LAISSE ABOU ZINZIN ALLER OU IL VEUT EN LE LAISSANT REVENIR CHEZ LUI ALORS SI BIBI AVAIT DES COUILLES IL DEVRAIT INTERDIRE A ABOU ZINZIN DE REVENIR A RAMALLAH ET C EST CA QUE LE REPROCHE ET REPROCHERAIS A BIBI ….QU IL NE VEUT RIEN FAIRE CONTRE ABOU ZINZIN ET LE FATAH QUE BIBI PROTEGE PEUT ETRE ????