Agnes Callamard, the Secretary General of Amnesty International (L) speaks during a press conference as activist Orly Noy (R) looks on in Jerusalem, on February 1, 2022. - Amnesty International labelled Israel an "apartheid" state that treats Palestinians as "an inferior racial group," joining the assessment of other rights groups which the Jewish state vehemently rejects. (Photo by RONALDO SCHEMIDT / AFP)

Amnesty accuse Israël d’«apartheid» contre les Palestiniens, l’État hébreu proteste.

Apartheid définition

Discrimination, voire exclusion, d’une partie de la population, qui ne dispose pas des mêmes droits, lieux d’habitation ou emplois que le reste de la collectivité.

Aucune de ces conditions ne concerne Israël. Amnesty International est donc une organisation inculte, qui ne maîtrise pas la langue, au sens propre comme au sens figuré. Il est inutile de faire la litanie des preuves du contraire, mais citons entre autres.

  • La présence de députés arabes à la Knesset,
  • La langue arabe langue officielle
  • La présence d’Arabes dans tous les services publics. Dans les commerces, les écoles, l’armée, la police, le sport.
  • La possibilité d’habiter partout dans le pays.
  • Le droit de culte, etc. etc…

Quel est l’objectif ? Salir Israël et le peuple juif, en cela c’est de l’antisémitisme tout court, prétendre le contraire est de la mauvaise foi.

Agnes Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International (à gauche), s’exprime lors d’une conférence de presse à Jérusalem, le 1er février 2022. (Ronaldo Schemidt/AFP)

  • « Les Palestiniens sont traités comme un groupe racial inférieur et systématiquement dépossédés de leurs droits», a déclaré secrétaire générale d’Amnesty International, Agnes Callamard
  • «Une critique des pratiques de l’État d’Israël n’est absolument pas une forme d’antisémitisme. Amnesty dénonce fortement l’antisémitisme», se défend Mme Callamard

JERUSALEM : Comme des ONG locales et Human Rights Watch (HRW), Amnesty International a qualifié mardi «d’apartheid» la politique d’Israël envers les Palestiniens, traités comme un «groupe racial inférieur», selon cette organisation de défense des droits humains dont les propos ont été fustigés par l’État hébreu.

En avril 2021, HRW avait jeté un pavé dans la mare en rejoignant des ONG palestiniennes et israéliennes qui avaient décidé d’utiliser le terme «apartheid» pour désigner les politiques d’Israël envers les Palestiniens et les Arabes israéliens, descendants des Palestiniens restés en Israël après la création du pays en 1948.

[NDLR – il n’y avait pas de Palestiniens en 1948, puisqu’il n’y a jamais eu d’état palestinien, mais des arabes de Palestine, territoire sous mandat britanique]

«Les politiques cruelles d’Israël de ségrégation, de dépossession et d’exclusion à travers ces territoires tiennent clairement de l’apartheid», a déclaré la secrétaire générale d’Amnesty, Agnès Callamard lors d’une conférence de presse à Jérusalem, peu après la publication d’un rapport à ce sujet.

«Qu’ils vivent à Gaza, à Jérusalem-Est, dans le reste de la Cisjordanie ou en Israël, les Palestiniens sont traités comme un groupe racial inférieur et systématiquement dépossédés de leurs droits», a-t-elle ajouté. Elle démontre ainsi par ses affirmations contraire à la réalité qu’elle est avec son organisation dans la pure divagation et la réelle difamation.

Le ministre israélien des Affaires étrangères, Yaïr Lapid, a vivement rejeté les allégations de l’ONG, estimant qu’elle «rapportait les mensonges répandus par les organisations terroristes».

– «Mensonges» –

«Les citoyens arabes d’Israël ne vont pas avoir la même expérience de l’apartheid que ceux de Gaza, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de régime d’apartheid», a soutenu Mme Callamard, dont l’ONG dit cependant vouloir éviter les comparaisons avec l’Afrique du Sud. C’est ou de l’apartheid ou ca ne l’est pas. Dire d’un état qu’il pratiquerait un apartheid différent c’est qu’il faut changer de terminologie pour désigner une situation différente.

Dès lundi, M. Lapid avait demandé à Amnesty de «retirer» son rapport.

«Amnesty était naguère une organisation estimée (…) Aujourd’hui, elle est exactement le contraire», a-t-il déclaré accusant l’ONG d’être devenue «une organisation radicale».  «Israël n’est pas parfait, mais c’est une démocratie attachée au droit international, ouverte à la critique», a-t-il argué.

Et de l’accuser d’antisémitisme. «Je n’aime pas dire que si Israël n’était pas un Etat juif personne chez Amnesty n’oserait s’en prendre à lui, mais je ne vois pas d’autre explication», a-t-il dit.

«Une critique des pratiques de l’État d’Israël n’est absolument pas une forme d’antisémitisme. Amnesty dénonce fortement l’antisémitisme», se défend Mme Callamard, mais llle le pratique au sens formel des faits. «Nous disons qu’en 2021, 2022, il y a de l’apartheid en Israël, nous ne suggérons pas qu’il y avait un système d’apartheid en 1948», ajoute-t-elle.

Lors de la conférence de presse, la responsable d’Amnesty a également rejeté les allégations selon lesquelles l’ONG «stigmatisait» Israël, rappelant qu’elle publiait notamment des rapports sur l’Iran, bête noire d’Israël. Ceci n’étant pas un argument.

– Appel à l’ONU  –

L’Autorité palestinienne qui est un système mafieux, qui contrôle une partie de la Cisjordanie occupée, a salué Amnesty pour son travail «courageux et juste» au nom du peuple palestinien. Le mouvement yerroriste islamiste Hamas, qui est au pouvoir dans la bande de Gaza et considéré terroriste par Washington et l’Union européenne, a applaudi le «professionnalisme» de l’ONG. Dis moi qui sont tes amis, je te dirais qui tu es.

Le rapport diffusé mardi soutient encore que les Palestiniens sont considérés une «menace démographique» par Israël. Aujourd’hui, quelque 6,8 millions de Juifs et autant d’Arabes vivent en Israël, à Jérusalem, en Cisjordanie occupée et dans la bande de Gaza, territoire où Israël impose un blocus depuis la prise du pouvoir du Hamas en 2007, selon les données officielles. Là aussi elle recourt au mythe de la démographie qui en 74 ans ne s’est jamais réalisé. Les Arabes d’Israël ne représente que 21% de la population nationale, un taux en baisse, alors que la fécondité des israéliennes dépasse celle des musulmanes.

Arrivée la semaine dernière à Jérusalem, Mme Callamard a mené des entretiens en Cisjordanie et en Israël, mais n’a pas discuté avec des responsables de la diplomatie israélienne malgré une demande formulée «en octobre» aux autorités.

Dans son rapport, Amnesty a exhorté le Conseil de sécurité de l’ONU d’imposer un «embargo» sur les ventes d’armes à l’Etat hébreu, pays qui a connu en 2021 une guerre avec le Hamas, mouvement considéré terroriste par Washington et l’Union européenne, et des «sanctions» aux responsables israéliens «les plus impliqués dans le crime d’apartheid».

L’ONG a aussi demandé à la Cour pénale internationale (CPI), qui a diligenté l’an dernier une enquête pour «crimes contre l’humanité» contre les Palestiniens, «d’ajouter le crime d’apartheid» à son dossier. Israël mène de son côté une campagne diplomatique, afin de convaincre des pays occidentaux de le soutenir face à la Cour.

Mais pour Amnesty, il est surtout temps pour la communauté internationale d’en finir avec la «fatigue» du conflit israélo-palestinien, a fait valoir sa secrétaire générale, alors que le processus de paix reste dans l’impasse.

AFP – JForum

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

2 Commentaires
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Cmoiwilly

Mais d’où sort-elle cette femme au visage méchant , elle est remplie de haine envers les Juifs , comment a t-on put la laisser parler à Jérusalem sans la remettre dans son avion manu militari. Venir se faire insulter chez soi , mais quel toupet . Il faut interdire à tous ces antisémites le territoire israélien, qu’ils déversent leur haine en dehors d’Israël.

Amos Zot

Pas d’amnistie pour l’antisémitisme d’Amnesty.
Il faut poursuivre sa Directrice Générale, la juger comme Eichman dans une cage de verre et la sanctionner de quelques années de prison ferme qu’elle pourra purger à Gaza.