Selon Le Canard Enchaîné, le président de la République s’est moqué de son ex-compagne juste après un tweet de celle-ci samedi.
Samedi 25 janvier, 18h35, le communiqué de François Hollande tombe. « Je fais savoir que j’ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler ».

Peu de temps après, l’ex-Première dame publie un tweet pour remercier le personnel de l’Elysée. « Toute ma gratitude va à l’extraordinaire personnel de l’Elysée. Je n’oublierai jamais son dévouement ni l’émotion au moment du départ » avait-elle écrit sur le réseau social.

Une phrase qui n’a pas échappé au président de la République qui en a profité pour se moquer de son ex-compagne.

En effet, selon Le Canard Enchaîné, à la lecture de ce tweet, le chef de l’Etat aurait dit à quelques proches : « S’il y a des gens qui souhaitent quitter l’Elysée, pris par l’émotion, ils doivent me le dire dans les prochains jours ».

Une pique très ironique selon les personnes présentes à ses côtés.

Dans son article, l’hebdomadaire indique également que le communiqué de rupture entre François Hollande et Valérie Trierweiler a volontairement été écrit de manière très sèche. Selon un conseiller, ce ton reflétait bien l’ambiance des dernières semaines à l’Elysée.

« C’est vrai que le communiqué est raide, mais il reflète bien l’état d’esprit du Président : il n’est pas enclin à une tendresse particulière, et ce depuis un bon moment », a confié ce proche du président au Canard Enchaîné.

Un épisode de plus dans ce feuilleton qui semble sans fin…

Atlantico Article original

Et pour contunuer dans la rubrique « People de l’état »:

Extrait de l’interview de Valérie Trierweiler: « J’entendais des rumeurs, mais je n’y prêtais pas attention! »

Voici le premier extrait de cette interview très attendue, celle de Valérie Trierweiler dans le Paris Match qui paraitra demain.
Depuis ce matin, seule la Une circulait avec une seule phrase, mais voici cette fois un extrait plus long.

Paris Match raconte comment s’est déroulée cette interview.
Valérie n’a pas souhaité réaliser une interview, mais elle a accepté que cette conversation soit enregistrée.
Elle a duré environ quarante minutes.

Quand elle s’adresse à vous, Valérie vous regarde dans les yeux.
Elle choisit ses mots, les corrige quand ils lui semblent imprécis. Elle est à l’aise, parfois caustique, souvent touchante.

Voici ce que dit Valérie Trierweiler:

«Cela peut paraître étrange mais, pour moi, je ne traverse pas une période de crise.

Ce n’est pas la première rupture dans ma vie.

Elle est violente car elle est médiatique. »

Certes, entre elle et François Hollande, « le détachement avait commencé ».
Mais elle ne s’attendait pas à cela.

« J’entendais des rumeurs, évidemment, mais on en entendait sur tout le monde.

J’en entends sur moi aussi, tout le temps.

Je n’y prêtais pas attention.

Lorsque j’ai su, c’est comme si j’étais tombée d’un gratte-ciel… (…)

Ce n’est pas parce que je ne suis plus première dame que la vie s’arrête.
Je continuerai avec le Secours populaire, avec Action contre la faim, avec la Fondation Danielle-Mitterrand.

Avec Ela aussi, car ce sont les premiers à être venus me chercher quand j’étais première dame et au plus mal après le Tweet. »

Jean-Marc Morandini Blog Article original

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Marguerite

François Hollande – un mufle doublé d’un goujat.