“L’essentiel est de donner la charité aux véritables Tsadiqim et aux pauvres sincères.” (Rabbi Na’hman de Breslev, Liqouté Moharan I, 17)
Nous pensons souvent que le commandement de la tsédaqa (charité) consiste seulement à donner une partie de notre argent à une personne qui le demande (et qu’on pense être pauvre) ou à un organisme (d’enseignement, de charité…).
S’il est indéniable que donner l’argent dans ces conditions remplit l’aspect essentiel de notre obligation, cela ne veut pourtant pas dire que nous l’ayons remplie du mieux que nous pouvions. Ainsi, nous devons – idéalement – nous assurer que les personnes à qui nous donnons la tsédaqa en ont réellement besoin.
C’est pour cette raison que certaines personnes ne donnent pas la tsédaqa à des personnes – ou à des organismes – qu’elles ne connaissent pas. En sachant à qui l’on donne, nous prenons le maximum de garanties pour que notre respect de la mitswa de la tsédaqa soit optimisé.
David-Yits’haq Trauttman
www.davidtrauttman.comla
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