La Norvège appelle à une enquête sur Israël avant les qualifications pour la Coupe du monde 2026
La Fédération norvégienne de football (NFF) a récemment suscité des réactions internationales en demandant à la FIFA d’enquêter sur Israël pour des violations des droits humains. Cette requête intervient à l’approche des deux matchs de qualification pour la Coupe du monde 2026 entre la Norvège et Israël, programmés pour les 25 mars et 11 octobre prochains.
Une position ferme de la Norvège
Lise Klaveness, présidente de la NFF, a exprimé sa préoccupation concernant ces affrontements sportifs dans un contexte de tensions géopolitiques. « Ce tirage au sort dépasse les enjeux purement sportifs. Nous ne pouvons rester indifférents face aux attaques disproportionnées d’Israël contre la population civile de Gaza », a-t-elle déclaré. Elle a également affirmé que la NFF soutient des sanctions internationales contre Israël et milite activement pour que le pays soit suspendu des compétitions sportives internationales.
La position de Klaveness s’inscrit dans la continuité de celle du gouvernement norvégien, qui a déjà appelé à des sanctions contre les colons israéliens en Cisjordanie et qui, en mai dernier, a officiellement reconnu l’État palestinien, aux côtés de l’Irlande et de l’Espagne.
La Fédération palestinienne de football salue la Norvège
La Fédération palestinienne de football (PFA) a applaudi l’initiative de la NFF, qualifiant les déclarations de Klaveness de « position de principe ». Dans un communiqué, la PFA a exprimé sa gratitude pour la reconnaissance des « violations continues contre les civils et les athlètes palestiniens ». Elle a également accusé la Fédération israélienne de football (IFA) de tolérer des comportements racistes et de soutenir indirectement l’annexion des territoires occupés.
Depuis des années, la PFA appelle la FIFA à exclure Israël des compétitions internationales, l’accusant de ne pas respecter les statuts de l’organisation et de fermer les yeux sur des atteintes graves aux droits humains.
Des rumeurs de boycott ?
Alors que certains médias ont évoqué un possible boycott de ces matchs par l’équipe nationale norvégienne, aucune déclaration officielle n’a été faite en ce sens. Pour l’heure, les rencontres prévues en mars et en octobre restent maintenues.
Contexte géopolitique tendu
Ces déclarations interviennent dans un climat déjà marqué par de fortes tensions entre Israël et la communauté internationale, exacerbées depuis le conflit déclenché il y a 15 mois entre Israël et le Hamas. Ce conflit a débuté avec une attaque meurtrière du Hamas, qui a causé la mort de plus de 1 200 Israéliens et le kidnapping de plus de 260 autres, dont environ 100 seraient toujours retenus en captivité.
Vers un football politisé ?
La requête de la NFF souligne à quel point le sport et la politique sont aujourd’hui étroitement liés. Alors que la FIFA prône le « fair-play » et la neutralité, cette affaire met en lumière les pressions croissantes pour que les instances sportives prennent position sur des questions éthiques et humanitaires.
Jforum.fr
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C’est naturel pour les équipes sportives Israéliennes allant en Norvège, d’exiger la libération du héros norvégien Anders BREIVIK. Il est emprisonné pour avoir détruit trois tonnes de larves, en cours de dressage, pour devenir des déchets antijuifs.
La Norvège, tout comme ses voisins scandinaves, est toujours en tête des classements en performances économiques et sociales.
Par contre, il y a régulièrement des attaques, des viols et des destructions à Oslo, sans parler des voitures brûlées lors d’échauffourées entre les communautés palestinienne, turque et kurde qui règlent leurs comptes surplace dans la violence.
Malgré cette situation intenable, les politiciens ne disent rien au sujet de la hausse de la criminalité chez les jeunes immigrés venus du Moyen Orient et d’Afrique.
La Norvège vit sur un volcan qui explose très régulièrement, en raison de ces populations en surnombre, islamisées/ultra violentes, déshumanisées et sans limites, qui y font la loi, et qui détruisent ce pays, et elle ne veut surtout pas les contrarier ou se fâcher avec elles pour ne pas risquer une aggravation de la situation qui frappera directement les populations norvégiennes avec brutalité.
Comment dans ces conditions ne pas lier sa politique intérieure avec ses positions extrémistes contre Israël qui paie cash cet échec retentissant de la chimérique croyance au « vivre ensemble » qui a tout ravagé ???