Valérie Benguigui : qui sont ses deux fils, César et Abraham ?

L’actrice Valérie Benguigui est morte d’un cancer du sein à 47 ans le 2 septembre 2013. Grande révélation du film le Prénom, elle a laissé derrière elle deux enfants, Abraham et César Wapler.
Le 2 septembre 2013, Valérie Benguigui s’est éteinte des suites d’un cancer du sein, laissant derrière elle son mari et ses deux enfants. Sa mort soudaine avait profondément marqué les esprits et ils étaient nombreux à se rendre au cimetière du Montparnasse le jour de son inhumation pour lui rendre hommage. Patrick Bruel, son partenaire à l’écran dans le film Le Prénom, qui avait valu à l’actrice le César du meilleur second rôle féminin, était présent. « Elle s’est tellement battue… Elle nous avait annoncé sa maladie pendant les représentations du Prénom. Nous avons traversé cette magnifique aventure, la pièce et le film, avec ce nuage noir », avait-il confié dans les colonnes de Télé Star. Neuf ans plus tard, que deviennent ses enfants Abraham et César ?
Les deux garçons ont bien grandi et sont devenus des jeunes adultes. Abraham Wapler le cadet, a embrassé une carrière d’acteur, comme sa mère. Après un passage aux cours Florent à Paris, école de théâtre où ses parents s’étaient rencontrés, il a termine sa formation de comédien à l’Atelier Blanche en 2018. Depuis, il a fait quelques apparitions dans des courts-métrages et des films comme Radiostars (2012), Interrail (2018), le troisième volet d’OSS 117 (2021) et Les Hhoses humaines (2021). Au petit écran, il est possible de le voir dans Les Invisibles (France 2) et Reuss (France TV Slash). Très actif sur les réseaux sociaux, il a récemment partagé une photo avec Brigitte Macron. L’ainé, César, a choisi une vie loin des projecteurs.

La fin tragique de Valérie Benguigui

Jusqu’à la fin, l’actrice a gardé secrète sa maladie. Aux Césars, sept mois avant sa mort, elle était apparue souriante, ne laissant rien transparaître. Avant de s’éteindre à 47 ans, Valérie Benguigui a tourné un dernier film : Fiston. Elle n’aura jamais la chance de le voir avant sa sortie. Kev Adams, avec qui elle partageait l’affiche, se souvient : « Elle était déjà malade quand elle a tourné avec nous et pourtant, elle avait plus la pêche que moi, elle avait plus le sourire ».

Article en collaboration avec 6Medias

Imane Ayed www.gala.fr

 

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