Une journaliste de France Inter propose de “régler le blasphème au tribunal”.

Il est urgent de requérir de France-Inter que la Radio, lors de sa « matinale » la plus écoutée de France, fasse taire et étudier son personnel franchissant tous les seuils d’incompétence et mur du son,

surtout lors de crises aussi explosives et capitales que celles qui nous sont imposées par l’Islam Radical auquel se soumet d’emblée (l’âne) Patricia Martin, incarnation de la bêtise doublée de lâcheté. L’islamogauchisme doit quitter les ondes. Définitivement. 

Annette Levy Willard, de RCJ, qui lui a d’abord fait remarquer que le « blasphème » n’était pas un « délit », fait partie de ses vraies journalistes ayant de l’aplomb, des convictions, des connaissances et du répondant -qu’on soit ou non de son « bord »-.

Il ne s’agit donc pas de taper sur les médias ou le journalisme en tant que tel, mais de faire la différence entre le reportage de qualité et la daube en branche… 

Signalé par notre excellent observateur des médias, Michel Lussan-Loïtzanski

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/ Dimanche 18 octobre 2020 à 13:0027

Image d’illustration. Photo © LODI Franck/SIPA

Patricia Martin recevait dimanche 18 octobre le président de la Fondation de l’Islam de France et le recteur de la mosquée de Bordeaux.

C’est une petite phrase qui n’est pas passée inaperçue. Au lendemain de la couverture de l’événement quelque peu controversée de la part de France Inter (accusée de ne pas voir traité l’événement pendant de longues heures), c’est une de ses journalistes qui s’est illustrée en dénonçant le blasphème après la décapitation de l’enseignant, Samuel Paty, à Conflans Sainte-Honorine. Dans la matinale de France Inter, dimanche, Patricia Martin recevait Ghlaeb Bencheikh, le président de la Fondation de l’Islam de France, ainsi que Tareq Oubrou, le recteur de la mosquée de Bordeaux. Elle a lancé que le « délit de blasphème devait se régler au tribunal ». Une sortie rapidement épinglée par d’autres journalistes ou observateurs à l’instar d’Annette Levy Willard, qui lui ont d’abord fait remarquer que le « blasphème » n’était pas un « délit ». L’essayiste Gilles-William Golnadel note que la journaliste du service public a invité les musulmans à protester contre les caricatures, mais que « l’excellent Ghaleb Bencheikh lui a rétorqué qu’ils seraient déboutés ».

Manque de connaissances

Beaucoup se sont moqués de sa non-connaissance de la loi, d’autres ont demandé si elle était vraiment journaliste ? Un internaute souligne que « Patricia Martin parle d’une chose dont elle n’a même pas pris la peine de consulter la définition et la situation au regard du droit en vigueur en France qui n’est pas encore théocratique ». Pour un autre, ce sont « avec des islamo-gauchistes comme Patricia Martin que des fous d’Allah se sentent autorisés à commettre leur barbarie ».

Ghaleb Bencheikh a, lui, répété que les « citoyens musulmans et à leur tête leurs responsables, doivent d’une manière nette, sans ambages, se désolidariser de l’hydre islamiste ».

valeursactuelles.com

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Justine

Petite , petite madame Martin patricia , le blasphème serait-il simplement réservé aux chrétiens où à d’autres cultes dont seul celui de l’Islam serait épargné , quid de l’égalité inscrite sur les frontons de nos mairies et autres monuments ? Et, Moi, qui ne suis pas journaliste, je sais que le blasphème est autorisé et pratiqué depuis des siècles en France .Je ne vous salue pas mais vous avez tout mon mépris.

alexandra

Il faut virer tous ces collabos du service public. Trop c’est trop.