« Le ministère israélien des affaires étrangères a vivement réagi il y a quelques jours à l’adoption par le Parlement Européen d’une résolution approuvant l’étiquetage des produits des localités juives de Judée-Samarie, ce que les Européens -et eux seuls- appellent la Cisjordanie. « Cette résolution à forte odeur de boycott est discriminatoire », s’est insurgé Emmanuel Nahshon, porte-parole du ministère israélien
Voilà bien là où le bât blesse ! (Pour être parfaitement équitable, posons comme préalable à ce qui va suivre que tous les députés, les commissaires, les présidents européens ne sont pas tous concernés.). Ceci-dit, dans la plupart des cas, la poignée de « bédouins » qui somnole, baille, sommeille, ou lit des revues canailles dans l’hémicycle, cache mal le vide laissé par tous les parlementaires qui- paradoxalement- ont pointé leur carton de présence dès le matin pour toucher leur salaire avant que de s’en retourner dormir dans leurs confortables appartements de fonction ou vaquer comme ils le souhaitent à d’autres occupations. Au choix !
Ainsi à propos de ladite résolution votée par 525 voix contre 70 on peut se demander combien de députés étaient réellement présents ou à peine réveillés ou la tête ailleurs… Ou bien cette fois-là étaient-ils exceptionnellement tous venus voter contre Israël ?
Et la danseuse de coûter cher, très cher ! Plus exactement la modique somme de 111.831.592 €/an pour 751 députés et 28 commissaires européens !
Et si encore ces parlementaires travaillaient au bien-être commun, mais non ! Ils sont juste bons à ronfler sur leurs lauriers et ruminer leurs obsessions antisionistes.
C’est ce que veulent montrer et dénoncer tous les emails qui circulent sur le net avec pour slogan : « Ils nous prennent pour des pigeons, faites savoir que c’est terminé, nous les sortirons de ces dortoirs de luxe. »
Voilà une réaction saine.
Après avoir ajouté au salaire de base les indemnités de représentation, de résidence, tous les avantages divers et variés auxquels ont droit ces messieurs, on arrive à un minimum de 111.831.592€/an ! (12.340€ bruts par mois pour un parlementaire, 24.565€ bruts par mois pour un commissaire, 30.806€ bruts par mois pour le président du conseil européen)