Tim Walz, colistier de Harris : « Nous ne pouvons pas permettre que ce qui s’est passé à Gaza se produise »

Tim Walz, colistier de Kamala Harris dans la course à la vice-présidence, a récemment exprimé ses préoccupations sur le conflit israélo-palestinien, plaidant pour une solution à deux États et exhortant le gouvernement israélien à avancer dans cette direction. Lors d’une interview à la radio WCMU du Michigan, il a affirmé : « Nous ne pouvons pas permettre que ce qui s’est passé à Gaza se reproduise », rappelant ainsi son engagement envers la paix et la sécurité pour les deux parties.

Il a condamné l’attaque du 7 octobre contre Israël, la qualifiant de « violence horrible », tout en réitérant le droit d’Israël à se défendre. Cependant, Walz a également insisté sur le fait que les droits des Palestiniens à la vie et à la liberté ne doivent pas être négligés. Il a soutenu l’idée d’un cessez-le-feu immédiat, avec la libération des otages, pour ensuite avancer vers une solution de paix durable fondée sur la coexistence des deux États.

En abordant les récentes manifestations pro-palestiniennes qui ont agité l’université du Michigan, il a reconnu que ces protestations reflètent une crise humanitaire profonde. Selon lui, les voix qui s’élèvent pour dénoncer la situation le font « pour toutes les bonnes raisons ». Il a également évoqué la récente décision de l’université de modifier certaines de ses politiques après avoir été accusée de ne pas avoir protégé adéquatement les droits civiques de ses étudiants juifs, soulignant la complexité du débat.

Le contexte politique dans le Michigan est particulièrement sensible, étant l’un des États américains à la plus forte concentration de populations arabo-américaines. Des incidents antisémites ont également marqué la région, notamment le meurtre tragique de Samantha Woll, présidente d’une synagogue locale. Cet environnement chargé fait du Michigan un État pivot, tant pour ses enjeux internes que pour son rôle dans la politique internationale.

Walz et Harris devront donc naviguer prudemment entre les appels à la justice pour les Palestiniens et la sécurité pour les Israéliens, tout en faisant face à la montée des tensions et des violences antisémites sur le sol américain.

Pendant la campagne électorale aux États-Unis, les dirigeants du Parti démocrate devront jongler entre deux segments de leur électorat : les Américains de confession juive pro-israéliens et ceux qui soutiennent la cause palestinienne. On assistera donc à des déclarations visant tour à tour à satisfaire une partie de cet électorat, puis l’autre. Ce n’est rien de plus qu’un jeu politique que les politiciens maîtrisent bien. Cependant, il n’en demeure pas moins que la politique des démocrates est généralement moins favorable à Israël que celle des républicains.

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Damran

Ouf, on pensait que cela n’arriverait jamais :
Alan Dershowitz, le célèbre avocat américain, a annoncé qu’il quittait le parti « Démocrates » après la convention qui s’est tenue le mois dernier au cours de laquelle Kamala Harris a été investie candidate pour l’élection présidentielle.
Lors d’une interview radiophonique, Dershowitz a expliqué qu’il avait pris sa décision après avoir été profondément choqué et déçu de la dernière convention du parti Démocrate qu’il a définie comme étant ”le rassemblement le plus anti-jui, anti-israélien et anti-sioniste que j’ai vécu”.
Il a ajouté: ”J’ai été écoeuré par cette convention démocrate, j’ai été complètement écoeuré. Je ne suis plus « Démocrates », je suis indépendant”.
Dershowitz a été particulièrement choqué par les interventions de plusieurs cadres du parti « Démocrates« , connus pour leurs positions très anti-israéliennes dont Alexandria Ocasio-Cortez, Elizabeth Warren ou encore Bernie Sanders.
Les manifestations contre Israël devant la salle de la convention l’ont aussi beaucoup gêné.
”Ce n’est plus mon parti”, a-t-il regretté.
Le célèbre avocat a avoué que sa décision de quitter le parti avait commencé à mûrir, quelques temps avant la convention pour plusieurs raisons dont le boycott de Kamala Harris du discours de Binyamin Netanyahou devant le Congrès.
Alan Dershowitz n’a cependant pas dit qu’il voterait pour les « Républicains » aux prochaines élections.
Il faudrait que d’autres politiciens Américains Juifs en fassent autant pour bien montrer qu’ils refusent que le parti fasciste « Démocrates » dirigé par Barak Obiden et sa clique, ne pourront pas continuer à piétiner Israël en s’alliant avec le hamas, et à réclamer la capitulation de Tsahal à Gaza et la chute de Bibi….

Damran

Encore des délires archi-usés exprimés par un représentant des fascistes « Démocrates » qui répète comme un disque rayé, des propos délirants.
Voilà ce qui arrive lorsque les pantins sont manipulés par l’odieux Obama….