Une coopération stratégique entre Israël et les États-Unis : enjeux syriens et négociations sur les otages
La diplomatie israélo-américaine a connu une intensification cette semaine, alors que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le conseiller américain à la sécurité nationale Jake Sullivan se sont rencontrés à Jérusalem pour aborder deux dossiers majeurs : la stabilisation de la région frontalière avec la Syrie et les efforts pour obtenir la libération d’otages détenus à Gaza.
Netanyahu a réitéré l’importance de protéger la souveraineté israélienne face aux menaces terroristes émanant de Syrie. Une solution temporaire a été évoquée, impliquant le contrôle de la zone tampon par l’armée israélienne jusqu’à l’établissement d’une force internationale capable de garantir le respect de l’accord de séparation des forces de 1974. Ce dispositif vise non seulement à prévenir les attaques, mais également à fournir un soutien indispensable aux minorités syriennes vulnérables.
Le sujet des otages, dont plusieurs sont citoyens américains, a dominé une grande partie des discussions. Sullivan a exprimé son optimisme quant à une résolution proche, déclarant que les négociations sont « à un stade avancé, bien que certains points restent à finaliser ». Il a également rappelé que trois Américains, Edan Alexander, Keith Siegel et Sagi Dekel-Chen, sont toujours retenus captifs par le Hamas et présumés en vie.
La rencontre a rassemblé des figures clés des deux gouvernements. Côté israélien, des hauts responsables, tels que le ministre de la Défense Israël Katz, le chef du Mossad David Barnea et le coordonnateur des affaires des otages Gal Hirsch, ont participé. Du côté américain, l’envoyé spécial Brett McGurk et l’ambassadeur Jack Lew étaient présents, soulignant l’importance accordée à ces pourparlers.
Cette réunion marque un pas supplémentaire dans la coopération stratégique entre Israël et les États-Unis, deux alliés déterminés à résoudre des crises complexes, tant sur le plan régional qu’humanitaire. La volonté partagée de parvenir à des résultats concrets témoigne de l’engagement des deux nations à protéger leurs citoyens et à promouvoir la stabilité au Moyen-Orient.
Jforum.fr
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Voilà une nouvelle visite de Jake Sullivan, le Buster Keaton de la diplomatie.
Ce mec-là ne sourit jamais, il a toujours l’air coincé.
Il est en visite en Israël pour essayer d’arracher à n’importe quel prix, un cessez-le-feu avec le hamas et une libération des otages, au « compte-gouttes« .
C’est sa dernière intervention pour apporter à Biden le sénile, la victoire diplomatique qu’il attend depuis un moment, et ce, quel qu’en soit le prix.
Le cessez-le-feu boiteux au Liban ne lui suffit pas, il veut aussi, la fin des combats à Gaza, à n’importe quel prix.
La prochaine fois, Joe la marionnette exigera la « solution à deux Etats » pour donner un grand coup sur la tête d’Israël.
Pour être tout à fait franc et compte tenu de son état de délabrement mental, il y a de grandes chances que ce soit l’odieux Obama qui lui dicte sa conduite.
Nous attendons avec impatience le retour de TRUMP à la Maison Blanche et la fin de cette clique « Démocrates » qui aura emmerdé Israël jusqu’à plus soif….