Solidarité américaine et britannique avec Israël et les craintes de la France
Le président Biden est le leader le plus courageux de la planète. Son voyage éclair en Israël, pays en pleine guerre, a considérablement renforcé le soutien des États-Unis à la cause juste et légitime d’Israël. Ses discours chaleureux et sa participation au cabinet de guerre sont une première dans l’histoire de l’État juif. Mais au-delà de la formidable amitié bilatérale, les messages du président américain prouvent qu’Israël peut compter sur lui pour assurer sa sécurité face à l’escalade régionale, face aux grandes puissances, et contre les forces du mal.
À l’heure où le Conseil de sécurité tente de voter une résolution au détriment de l’État d’Israël, seuls les États-Unis sont prêts à y opposer leur veto. Comment la France peut-elle s’aligner sur la Russie, la Chine et les pays arabes lors de ce vote ? Pourquoi la France n’a-t-elle pas eu le courage de soutenir la position américaine ou de s’abstenir ? Comment expliquer le double jeu d’Emmanuel Macron, qui prononce de belles paroles de solidarité mais hésite à passer à l’action, comme se rendre en Israël comme ses homologues, la chancelière allemande ou le Premier ministre britannique ? C’est dans les moments de détresse que les vrais amis apparaissent. Israël apprécie beaucoup le discours du Premier ministre britannique Sunak. Il a déclaré à Netanyahu : « Nous sommes aux côtés d’Israël ; Le Hamas devrait être qualifié de terroriste.»
Israël peut comprendre les craintes des dirigeants arabes, égyptiens, jordaniens, marocains et émiratis à l’égard du peuple palestinien, mais comment expliquer l’indifférence de la France ?
Dans cette nouvelle guerre, le Hamas impose à Israël la désinformation, et les fausses nouvelles triomphent à nouveau. Sans scrupules, sans respecter les règles fondamentales du journalisme, la presse internationale s’est empressée d’accuser Israël d’avoir bombardé un hôpital à Gaza.
Tous les témoignages prouvent qu’une fusée errante du Jihad islamiste est responsable du carnage. Washington et Londres ont rejeté les affirmations du Hamas, tandis qu’à Paris, il y a eu des hésitations. Pourquoi mettre en jeu la crédibilité d’un pays démocratique ? Pourquoi, comme dans l’affaire al-Doura en 2000, un gouvernement occidental préférerait-il la version des terroristes du Hamas ? C’est ainsi qu’on encourage indirectement le terrorisme, l’antisémitisme et la délégitimation de l’État juif. Ce reportage choquant a été diffusé et rediffusé sur toutes les chaînes de la planète et a déclenché des vagues de protestation, de haine et de violence dans le monde entier.
Dans cette nouvelle affaire aussi, la désinformation, la manipulation et le mensonge sont les outils des dirigeants palestiniens, experts en fausses nouvelles face à la colère et à la frustration des autorités israéliennes.
En réalité, les dirigeants islamistes ne se soucient guère de la liberté de la presse, des lois de la guerre ou du sort de leurs frères palestiniens. Par ailleurs, aucun pays de la Ligue arabe ne propose d’accueillir les nouveaux réfugiés.
Aujourd’hui, la version palestinienne est toujours plus crédible aux yeux de certains journalistes qui couvrent le conflit israélo-arabe. Cependant, il ne fait aucun doute que la presse en Israël est entièrement libre et que les informations fournies par Tsahal sont crédibles.
Al Jazeera Non Grata
Face à l’avalanche d’informations sur les réseaux sociaux et à la manipulation des images et des faits, Israël devrait refuser la présence des correspondants d’ Al Jazeera [AJ].
Cette chaîne de propagande qatarie des Frères musulmans soutient aveuglément le Hamas et ne devrait pas être accréditée par les autorités israéliennes. Elle ne répond pas aux critères de la télévision étrangère. En arabe et en direct, les reportages ne sont pas toujours précis et souvent tronqués. L’altération de la vérité d’AJ était évidente, en particulier lors de la deuxième Intifada en septembre 2000, de la deuxième guerre en Irak en 2003, du printemps arabe en Tunisie en 2011, ainsi qu’en Égypte et en Syrie. La collusion avec les groupes terroristes islamistes et les régimes arabes anti-américains est également transparente et flagrante. Hier, les héros d’AJ étaient Ben Laden d’Al-Qaïda et Saddam Hussein d’Irak. Aujourd’hui, il s’agit du Hezbollah, du Hamas et de Daesh.
Ne confondez pas la guerre entre Israël et le Hamas avec d’autres conflits armés sur la planète. Il n’y a aucune comparaison possible avec les guerres dévastatrices en Syrie, en Irak ou au Yémen, les guerres menées par les pays de l’OTAN ou celle qui se déroule actuellement en Ukraine.
L’armée israélienne combat le terrorisme palestinien pour protéger les civils sans défense. Les raids sont précis et précis pour éviter la mort d’innocents. L’armée israélienne est l’une des rares armées au monde à enquêter minutieusement sur chaque incident et à reconnaître sans équivoque les erreurs commises. Des soldats et officiers israéliens sont parfois inculpés, ce qui est du jamais vu dans les armées occidentales.
La critique est légitime, mais les préjugés, la désinformation et la délégitimation sont inacceptables.
Israël doit inlassablement poursuivre son devoir de révéler toute la vérité sur le conflit tout en dénonçant le fléau qui anime la fausse propagande et les fausses nouvelles des Palestiniens et de certaines médias.
Dans ce nouveau conflit armé, le peuple israélien apprécie la conduite exemplaire du porte-parole de Tsahal, Daniel Hagari. Avec sang-froid et sagesse, il informe la presse et le public israélien des progrès de la guerre. Toutes ses informations sont précises et crédibles.
Israël se prépare à lancer une campagne militaire à grande échelle contre le Hamas et à sauver plus de 200 otages. Cette guerre sera longue et douloureuse. Israël doit la remporter pour assurer la paix et la sécurité de tous les citoyens israéliens. Le peuple israélien n’a pas d’alternative ni aucun autre pays où vivre.
JForum.fr avec Amb. Freddy Eytan /jcpa.org
L’ambassadeur des États-Unis a opposé son veto au projet de résolution présenté par le Brésil, qui appelait à des « pauses humanitaires » dans la crise Israël-Gaza. Le Royaume-Uni et la Russie se sont abstenus et la France s’est jointe à 11 autres pays pour soutenir la résolution. ( Nations Unies )
![]() |
![]() |