« Pétain ? Connais pas… » : Sébastien Delogu, pas vraiment meilleur à l’oral qu’à l’écrit.
Star montante chez les Insoumis, Sébastien Delogu promène son ignorance goguenarde de travées en plateaux, la mairie de Marseille dans le collimateur.
Je m’étais dit que je ferais l’impasse sur la dernière aventure de Sébastien Delogu —celle où l’on découvre qu’il a du mal avec l’écrit mais qu’il ne faut pas s’en moquer parce que ce serait du « mépris de classe »—, mais je savais bien que ça n’était que partie remise…
Invité de Jean-Jacques Bourdin, qu’il a d’ailleurs rebaptisé Jean-Jacques « Ruffin » en cours d’entretien par un amusant retour du refoulé lacanien (« Là où ça parle, ça souffre »), il vient en effet de démontrer qu’il n’était pas beaucoup plus à l’aise à l’oral.
Un vrai festival.
Le député Fi de Marseille ne s’était pourtant pas spécialement distingué durant son premier mandat, abandonnant la vedette aux Panot, Boyard, Soudais et autres Guiraud et ne se révélant vraiment qu’en adjoint à Rima Hassan, la ministre des Affaires étrangères du shadow gouvernement insoumis de l’après 7 octobre… Il faut croire qu’il y a des moments dans l’histoire qui transcendent les hommes.
Oh, ce n’est pas exactement qu’il soit bête, le Delogu… J’aurais même tendance à penser le contraire : on ne passe pas de gros bras d’un syndicat de taxis à parlementaire-star et membre du premier cercle mélenchonien sans avoir plus d’un tour dans sa sacoche à bandoulière d’affranchi des quartiers.
C’est juste qu’il ne connaît pas grand-chose à pas grand-chose, ne cherche pas spécialement à en apprendre davantage, et évoque surtout le roublard opportuniste qu’un concours de circonstances aurait fait tomber sur un gros fromage. Pratiquement un « Lacombe Lucien », si on kiffe les références de cinéphile…
Etalant son ignorance sans vergogne (« Je sais pas qui est Pétain. J’ai entendu parler de lui, mais… Je sais qu’apparemment c’est un raciste, quoi… »), jouant volontiers les snipers (« Braun-Pivet, cette pauvre femme… », « Ruffin est pitoyable, il va terminer comme Fabien Roussel »… »), préférant le drapeau palestinien au drapeau français (« sali au niveau international pour complicité de massacre »), appelant à prendre le pouvoir par la violence (« destituer Macron par la rue »), reprochant au maire de Marseille de ne pas avoir soutenu la mosquée salafiste des Bleuets (« on ne l’a pas entendu ! »), il ânonne les éléments de langage de la Fi sans la moindre conviction ou idée originale, pratiquement en pilote automatique…
Mais surtout, imaginant qu’accent et faconde suffiront à faire passer sa médiocrité pour de la truculence populaire, il se prend désormais à rêver d’un avenir plus prestigieux encore :
—Vous serez candidat à la mairie de Marseille ?
— Ha ha ha, pour le moment, je suis député… Mais si on me le demande, j’y réfléchirais… J’y réfléchis déjà d’ailleurs…
Comment s’étonner que ces ignards ne sachent pas où se trouve Israël, et puissent parler de Gaza sans connaître son histoire et sa géographie.
JForum.fr
Cet analphabète a été élu aux Législatives au 1er tour. Tout comme Boyard, Rousseau, Soudais. C’est dire le niveau de la population qui les élus. La France a les hommes/femmes politiques et les députés qu’elle mérite et qui sont à l’image des français. Rien à attendre dans le futur d’une telle population.
L’ assemblée nationale a été humiliée, déshonorée par tous ces imbeciles, ignorants, incultes, et suffisants malgré leurs insuffisances. Des bons à rien. Meluche n’est qu’ un frustré et un raté révolutionnaire.
COMME ON AURAIT EU À LE DIRE POUR PESSAH:
» SI IL ÉTAIT LE SEUL IGNARD DE LFI SERAIT SUFFISANT «
APRES LA FEMME DE MÉNAGE ET TOUS LES AUTRES QUE DES SINGES SAVANTS.
s’il était le seul ignare de LFI, ce serait suffisant