Controverses autour d’un cours à Princeton : Le débat sur l’inclusion d’un livre critiquant Israël dans le programme
L’Université de Princeton se trouve au cœur d’une nouvelle controverse à la suite de l’inclusion d’un livre controversé dans le programme d’un de ses cours. Le livre en question, intitulé « The Healing Humanities: The Right to Maim » de Jsbir Puar, remet en question les actions de l’armée israélienne et suscite des critiques pour sa prétendue assertion que Tsahal prélève des organes palestiniens. Alors que le cours, intitulé « Decolonizing Trauma Studies from the Global South », a été approuvé par le département des études du Proche-Orient de l’université, il suscite des débats passionnés parmi les universitaires et la communauté étudiante.
Le cours du semestre d’automne à Princeton, « Decolonizing Trauma Studies from the Global South », fait actuellement la une des journaux en raison de son contenu controversé. Il comprend le livre de Jsbir Puar, une professeure et directrice diplômée des études sur les femmes et le genre à l’Université Rutgers. Le livre affirme que l’armée israélienne aurait prétendument prélevé des organes palestiniens, en plus d’accuser Israël de nettoyage ethnique des Palestiniens.
Le débat sur le contenu du livre : Le livre de Puar a été à l’origine de controverses dès sa sortie il y a six ans. L’auteure affirme qu’Israël complète son « droit de tuer par le droit de mutiler ». Elle soutient que les actions de l’armée israélienne, notamment le présumé prélèvement d’organes palestiniens, sont motivées par des intentions autres que médicales, suggérant que ces actes pourraient être utilisés à des fins de recherche scientifique. Ces affirmations ont suscité des réactions vives et des accusations d’antisémitisme.
Les réactions au sein de l’université : L’organisation non partisane StopAntisemitism avait déjà noté Princeton avec un « B- » dans son classement des universités américaines en raison de préoccupations concernant le climat antisémite sur le campus. Selon l’organisation, de nombreux étudiants juifs ne se sentent pas en sécurité pour exprimer leur identité juive ou leur soutien à Israël. Bien que le cours ait reçu l’approbation du département des études du Proche-Orient de l’université, des voix discordantes se font entendre parmi les universitaires, affirmant que le contenu du cours manque de valeur éducative et soulève des questions sur l’objectivité académique.
La décision de l’Université de Princeton d’inclure le livre controversé de Jsbir Puar dans son programme soulève des questions fondamentales sur la liberté académique, la responsabilité éducative et la lutte contre l’antisémitisme. Alors que le débat se poursuit, il est clair que les universités ne doivent pas tombées dans tous les pièges lorsqu’il s’agit de sélectionner des contenus d’enseignement en évitant de propager des discours haineux ou controversés.
Jforum.
Diffamation, mensonge, malveillance… qui laissera des traces dans les esprits manipulables. Du Goebbels tout craché.
Les organisations juives a travers le monde et les gouvernements israéliens sont très mollassons en matière de réponse adéquate a ce type de problème, déjà ils devraient s’inspirer de personnages comme Erdogan et réagir vertement face a de telles provocations . Dans le cas présent, Israël devrait convoquer l’ambassadeur américain et exiger, que le gouvernement américain dénonce publiquement les allégations de cette pseudo professeure .