Pour (pluriel Pourim) signifie tirage au sort et rappelle le choix qu’effectua Aman, premier ministre du Roi, pour fixer la date propice au massacre des Juifs, celle du 14 Adar.
Les mitsvot de Pourim :
Lecture de la Méguila :
pour vivre les évènements miraculeux de Pourim, nous écoutons la lecture de la Méguila ( livre d’Esther) une première fois la veille de Pourim et une seconde fois pendant la journée de Pourim.
Cette mitsva concerne les hommes , les femmes et les enfants. A chaque fois qu’Haman est cité, nous faisons tourner les crécelles et tapons du pied afin d’ effacer son souvenir.
Michloah manot (envoi de mets) :
par solidarité et pour l’amitié et l’unité entre les familles de la communauté, nous accomplissons cette mitsva en offrant un présent contenant deux aliments différents immédiatement consommables. Les hommes donnent aux hommes et les femmes entre femmes, par l’entremise d’un intermédiaire qui sait qui a donné et à qui donner.
Matanot Laeviyonim : donner aux pauvres
Pour tous les Juifs, une responsabilité de tous les instants consiste à se préoccuper du sort de tous ceux qui sont dans le besoin.
A Pourim, c’est une mitsva encore plus essentielle. Donner la charité à deux pauvres pour qu’ils puissent profiter de la fête, ou donner quelques pièces dans les boites pour la Tsédaka.
Prendre le repas de Fête de Pourim (Michte)
Les prières spéciales à Pourim
Le passage “Al Hanissim” dans la Amida du soir, matin, après-midi et dans la bénédiction après le repas.
Recueil : Florence Cherki
 |
 |