Francesca Albanese sur la sellette pour ses propos radicaux contre Israël
La rapporteuse spéciale de l’ONU sur la Palestine, Francesca Albanese, est une nouvelle fois au cœur d’une vive polémique. Ses récents appels à des sanctions internationales contre Israël ont déclenché un nouveau tollé, mettant en lumière ses positions radicales à l’égard de l’État hébreu.
Dans un message controversé publié sur les réseaux sociaux, l’envoyée onusienne a affirmé que la seule manière de stopper l’opération militaire israélienne visant à déraciner le Hamas de Rafah serait d’y contraindre Israël. Un ton offensif qui en dit long sur son parti pris.
Mme Albanese a ainsi exhorté les États membres à imposer des « sanctions », un « embargo sur les armes » et à suspendre leurs relations diplomatiques avec Israël, jusqu’à ce que ce dernier « cesse son assaut » selon ses termes. Des déclarations pour le moins expéditives, qui font fi de la complexité du conflit et du droit légitime d’Israël à assurer la sécurité de ses citoyens.
Cette nouvelle salve de l’envoyée onusienne intervient alors même qu’Israël a réaffirmé sa détermination à poursuivre ses opérations militaires à Gaza. Et ce, malgré un récent avis juridique de la Cour internationale de Justice (CIJ) exigeant la fin de son offensive à Rafah.
Une position de fermeté défendue par le gouvernement israélien, qui considère que ses actions respectent le droit international et son devoir de protéger ses ressortissants face au Hamas, qualifié de « groupe terroriste ». Un argumentaire étayé par de nombreuses organisations juives à travers le monde.
Face à ces justifications, les propos radicaux de Francesca Albanese peinent à convaincre. Son appel au bras de fer diplomatique et économique avec Israël semble bien déconnecté des réalités sur le terrain et du devoir de neutralité de sa fonction.
Cette posture intransigeante n’est d’ailleurs pas une première pour la rapporteuse spéciale, régulièrement accusée d’antisémitisme et de parti pris anti-israélien au cours de ses précédentes missions. Un manque criant d’objectivité qui pourrait bien lui coûter toute crédibilité, dans un conflit où impartialité et nuance sont pourtant des prérequis indispensables.
Jforum.fr
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Cette pasionaria des Droits de l’Homme a trouvé la martingale: les Juifs ne font pas partie de l’humanité.
Nous vivons dans un Monde où la corruption et l’hypocrisie ont toujours régné. Les institutions internationales, achetées par les pétrodollars, ne sont que de simples outils de propagande des pervers antisémites. Depuis au moins 1967, Israël est le Juif des nations et a parfaitement compris qu’il n’a rien à attendre des institutions internationales, et encore moins de celles auxquelles il n’adhère même pas, et qui nous condamnent constamment. Donc, ce que pense et dit Mme Albanese n’a aucun fondement dans la Réalité, on s’en tape et on lui pète à la gueule. Qui a réalisé des » pressions » sur Hitler pour qu’il cesse son génocide de youpins ? Depuis nous avons bien compris la nécessité de ne compter que sur nous-mêmes pour survivre.
Elle devrait plutôt exhorter le Hamas à libérer les otages et appeler à des sanctions contre le Hamas tant que ce n’est pas fait.
Mais voilà, les otages sont des juifs, alors on s’en accomode.