«Il y a des quartiers où des gangs d’immigrants prennent des rames de métro entières pour eux-mêmes et les résidents autochtones et les hommes d’affaires sont intimidés et réduits au silence Les raisons à cela:. Le taux de chômage élevé, le manque de perspectives d’emploi pour les immigrants sans qualification sur le marché du travail allemand et les tensions ethniques parmi les migrants « . Der Spiegel.

« Les experts ont averti depuis un certain temps que les quartiers à problèmes sont entrain de devenir des zones de non-droit. Le président du syndicat de la police allemande, Rainer Wendt, a déclaré au Spiegel  :. À Berlin ou dans le nord de Duisbourg il y a des quartiers où les collègues ose à peine arrêter une voiture parce qu’ils savent qu’ils vont être entourés par 40 ou 50 hommes. Ces attaques constituent une «défi délibéré à l’autorité de l’Etat attaques dans lesquelles les auteurs expriment leur mépris pour notre société. »

La fuite du document intervient alors qu’un pic dans les attaques contre la police par des foules d’immigrants, non seulement à Duisburg, mais à travers le pays ont été rapportées.

Chaque commissaire de police et le ministre de l’Intérieur vont le nier officiellement. Mais bien sûr, nous savons où nous ne pouvons plus aller avec une voiture de police …. Les collègues ne se sentent plus en sécurité à deux, et craignent d’être victimes d’un crime eux-mêmes. Nous savons que ces zones existent. Pire encore: dans ces zones les crimes ne sont plus poursuivis.  Le pouvoir de l’État est complètement hors champ « -. Bernhard Witthaut, commissaire de police en chef de l’Allemagne.

« Le trafic d’héroïne et de cocaïne des gangs , ou les maisons closes ainsi que la contrebande sont des activités qu’ils exercent avec une extrême brutalité les rendent très puissant, et la police en a peur. L’Etat est passif à l’égard de ces clans, et les politiciens préfèrent ignorer le phénomène.

« Cette négligence a, au fil des ans,  permis l’émergence d’une société parallèle criminelle. Cela ne serait pas arrivé si les autorités avaient agi rapidement et avec détermination.:

Selon un enquêteur de la police interrogé par Der Spiegelces clans d’immigrés « considèrent la société allemande comme naturellement offerte au pillage; ils nous voient comme des perdants nés.

Soeren Kern Gatestone institute

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