DES PERSONNELS DE SANTÉ IRANIENS INJECTENT LE VIH A DES CENTAINES DE PERSONNES, Y COMPRIS DES ENFANTS – RAPPORT
Samedi, d’importants collectifs de citadins touchés, ainsi que leurs proches et leurs partisans ont pris d’assaut le bureau de l’imam de la prière du vendredi et l’ont incendié.
Plus de 300 personnes accusent les autorités médicales iraniennes locales de les avoir contaminées par le virus VIH, selon des médias iraniens.
Les habitants, situés dans le village de Chenar Mahmoud et dans les villes de Lordegan, Chahar Mahal et Bakhtiari, ont affirmé que des adultes et des enfants avaient contracté le VIH dans des centres médicaux et des centres de santé locaux, en raison de pratiques médicales non hygiéniques, notamment de seringues contaminées utilisées par les organisations de santé locales, au cours d’un test généralisé du diabète deux mois auparavant.
Des rapports similaires non confirmés ont été signalés par des personnes dans les villages voisins.
Samedi, d’importants collectifs de citadins touchés ainsi que leurs proches et leurs partisans ont pris d’assaut le bureau de l’imam de la prière du vendredi et l’ont incendié. Un autre groupe a protesté devant le bâtiment du gouverneur dans la province, exigeant que les tribunaux enquêtent sur l’affaire.
Radio Farda et l’agence de presse Mehr (MNA) ont, toutes deux, rendu compte de ces incidents.
« Un nombre limité d ‘ »opportunistes « ont tenté de créer des troubles et une sédition à l’extérieur du bâtiment du gouverneur, mais ont échoué », a rapporté un député au sujet de l’incident survenu devant le bureau du gouverneur.
Les manifestations ont commencé mercredi dernier et ont été abondamment reportées sur les réseaux sociaux. Des publications montrent des manifestants scandant des slogans contre le régime iranien, y compris ceux liés à la consternation quant au soutien de la République islamique au peuple palestinien et à des organisations terroristes désignées, telles que le Hamas et le Hezbollah. « Non à Gaza, non au Liban, je sacrifie ma vie pour l’Iran« , ont scandé les manifestants. Beaucoup de ces rassemblements ont été dispersés par les forces de sécurité et l’utilisation de gaz lacrymogène.
Les autorités locales ont démenti les allégations de propagation du virus parmi les citadins, affirmant que le VIH était présent dans les villages depuis un certain temps avant la réalisation des tests. En outre, le ministre de la Santé de la République islamique a envoyé une lettre au ministre de la Justice, affirmant la présence antérieure et persistante du VIH dans la région. Toutefois, le pouvoir discrétionnaire était censé respecter « l’honneur des villageois », selon Radio Farda.
Le ministre de la Santé, Saeed Namaki, a déclaré dans un communiqué publié par Radio Farda : « La source de l’épidémie de VIH est due aux seringues contaminées utilisées par les toxicomanes, ainsi qu’aux personnes ayant des « relations inacceptables. Nous allons traiter gratuitement les personnes vivant avec le VIH « .
Behrouz Bonyadi, membre du parlement de la Commission iranienne de la santé, a déclaré que le gouvernement central enverrait une délégation dans ces provinces pour enquêter sur ces accusations.
« Les habitants de Chenar Mahmoud ont peur », a déclaré un villageois à Iran Human Rights Monitor, selon Radio Farda. « Beaucoup s’abstiennent de faire des analyses de sang par peur de découvrir qu’ils ont été infectés. Chaque famille de deux ou trois personnes a été infectée par le virus. Toute personne qui a passé le test s‘est avérée positive. Et personne ne demande à ce régime : pourquoi devez-vous tester le taux de cholestérol et de sucre dans le sang d’un enfant de neuf ans et l’infecter du sida? »
Tous ces malades vont être soignés en France qui aime tellement plaire aux Mollahs !!
Les mollahs dépensent un fric dingue pour leur expansion guerrière au moyen-orient mais n’ont plus un kopek pour assurer le minimum d’hygiène dans les services de santé de la population. Cela mérite une sévère destitution par le peuple !
Ils sont fous ces mollards iraniens.