Les familles des otages exhortent Netanyahu à un accord global imminent
Les familles des otages, toujours dans l’angoisse de l’attente, ont rencontré le Premier ministre Benjamin Netanyahu mardi pour faire pression en faveur d’un accord rapide et exhaustif. Lors de cette réunion, il a été indiqué qu’un premier accord pourrait être conclu « dans les heures qui viennent », bien que celui-ci ne couvre que la première phase d’un plan en trois étapes.
Des familles unies dans l’urgence
Malgré l’espoir d’une première percée, les familles des captifs insistent sur la nécessité de traiter toutes les phases de l’accord sans attendre. Elles rejettent l’idée d’un report au 16e jour pour envisager les étapes suivantes. Netanyahu a réitéré son engagement à « ramener tous les otages », tout en affirmant qu’aucune « pause humanitaire » ne sera tolérée. Cependant, les proches des captifs rappellent que les déclarations seules ne suffisent pas. « Les mots ne suffisent pas », ont-ils affirmé, exhortant les responsables à laisser de côté les calculs politiques pour saisir cette opportunité cruciale. Leur message est clair : « Ne laissez aucun otage derrière vous. »
Des voix exclues et des tensions palpables
Certains proches d’otages, également victimes de cette tragédie, n’ont pas pu participer à la réunion. Eli Shtivi, dont le fils Idan a été assassiné en captivité, a exprimé son indignation : « Nous n’étions pas sur la liste, personne ne nous représente ». Il a critiqué l’accord préliminaire, qui prévoit la libération de 33 otages, laissant 70 autres sans perspective immédiate. « Nous ne saurons pas ce qui leur est arrivé », a-t-il ajouté.
De son côté, Haim Haiman, père d’Inbar, également assassiné en captivité, a exprimé des sentiments similaires, tout comme Sharon Sharabi, dont un frère est inclus dans la première phase de l’accord tandis qu’un autre reste prisonnier. « Chaque moment est critique, nous ne devons pas attendre pour aborder les phases suivantes », a-t-elle déclaré.
Un rappel poignant
Robbie Chen, père d’Itay, tué et dont le corps est retenu à Gaza, a rappelé un épisode historique pour souligner l’importance d’agir pour tous les otages. « Yoni Netanyahu est allé sauver les Juifs à Entebbe, et il les a tous sauvés, sans promettre de revenir plus tard pour les autres », a-t-il rappelé, évoquant le frère du Premier ministre et héros de cette opération. « Mon fils est un héros et ne mérite pas d’être oublié à Gaza ».
L’impératif d’un accord global
Face à une situation complexe et douloureuse, les familles des otages insistent sur la nécessité d’une approche inclusive et rapide. Elles pressent les dirigeants d’agir immédiatement pour concrétiser un accord global, sans compromis ni délai. L’urgence et l’émotion palpable qui se dégagent de leurs témoignages rappellent la profondeur de cette crise humaine, où chaque jour compte.
Jforum.fr
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Aussi douloureux que soit l’angoisse des familles des otages, ce serait encore plus tragique, pour tout Israël de faire un accord bâclé et contraint à quelques jours de l’arrivée de TRUMP
Alors là, on commence à en avoir plein le juju de ces annonces basées sur du vent.
Le hamas n’a aucun intérêt à signer un accord avec Israël, alors qu’il est en train de marquer des points à Gaza où on compte tous les jours, des soldats de Tsahal qui y sont tués, ce qui rehausse encore plus, son prestige et sa « résistance« .
En plus, les terroristes sont en train de se recomposer, s’organiser et se réarmer, en provoquant des attaques de plus en plus meurtrières contre Tsahal.
Il ne faut pas oublier que le monde arabe est en admiration béate envers ces animaux sauvages, considérés comme de grands combattants qui résistent à Israël.
Malgré tout le respect que nous éprouvons envers les familles/proches des otages, il faut lâcher un peu la pression contre Bibi en lui demandant d’accepter la totalité des exigences des animaux sauvages du hamas, ce qui est inacceptable.
On nous a bassiné avec le slogan : on ne négocie pas avec les terroristes, avant de libérer plus d’un millier de monstres du hamas contre Guilad Shalit.
La suite, tout le monde la connait…..