Comment le Hamas définit le cessez-le-feu.
Les idiots utiles en Occident font le jeu du Hamas, qui est aux abois. Ils ont beau être cultivés, ils n’en restent pas moins comme des ânes portant des livres, ne comprenant rien à la rhétorique arabe.
La pause humanitaire consiste à donner un second souffle aux barbares, et à venir les soutenir, avec des élans d’humanité dont les intéressés n’en ont que faire.
Un chef terroriste dit : le 7 octobre aujourd’hui, le 7 octobre demain, le 7 octobre pour toujours.
Le Hamas a deux messages pour deux publics différents. À la communauté internationale, il plaide pour un cessez-le-feu pour des raisons humanitaires. Au monde arabe, il s’engage à répéter ses attaques du 7 octobre et à sacrifier autant de Palestiniens qu’il le faudra pour détruire Israël.
C’est le message de Ghazi Hamad , membre du Bureau politique du Hamas, dans une interview accordée le 24 octobre à la télévision libanaise. « Nous devons donner une leçon à Israël », dit-il, « et nous le ferons encore et encore. L’inondation d’Al Aqsa » – le nom que le Hamas a donné à son opération du 7 octobre visant à massacrer des Israéliens sans défense – « n’est que la première fois, et il y en aura une deuxième, une troisième, une quatrième », dit-il, tel que traduit par le Moyen-Orient . Institut de recherche sur les médias.
C’est ce que signifie un cessez-le-feu pour le Hamas : une chance de répéter le 7 octobre un autre jour. L’idée similaire d’une « pause humanitaire », qui gagne du terrain dans la gauche occidentale, n’est pour le Hamas qu’une simple opportunité de recharger ses batteries. Il n’y a rien d’humain à faire pression sur Israël pour qu’il laisse un ennemi génocidaire au pouvoir à sa frontière.
« Devrons-nous payer un prix ? » M. Hamad poursuit en faisant référence au plan du Hamas visant à envahir sans fin Israël. « Oui, et nous sommes prêts à le payer. Nous sommes appelés une nation de martyrs et nous sommes fiers de sacrifier des martyrs.
Le Hamas n’a pas honte d’annoncer son intention de sacrifier les habitants de Gaza pour tuer des Juifs – du moins à un public réceptif. Un sondage publié lundi dans le journal Al Akhbar de Beyrouth a révélé que 80 % des Libanais interrogés soutenaient l’attaque du Hamas le 7 octobre. Dans une autre interview en langue arabe, le 19 octobre, le chef du Hamas, Khaled Mashal , a affirmé que « les nations ne se libèrent pas facilement », soulignant que cela a parfois nécessité la mort de millions de personnes. Il pense qu’il est l’homme de la situation.
Étant donné à quel point le Hamas détient peu de vies palestiniennes, il n’est pas surprenant que le groupe terroriste assassine sans vergogne des Israéliens. M. Hamad, à la télévision libanaise, a déclaré : « Nous sommes les victimes de l’occupation, point final. Par conséquent, personne ne devrait nous blâmer pour les choses que nous faisons. Le 7 octobre, le 10 octobre, le millionième octobre, tout ce que nous faisons est justifié.
C’est aussi le point de vue radical-chic sur les campus américains : « Résistance par tous les moyens nécessaires » – ne pensez pas, perroquet de la propagande du Hamas.
Le Hamas promet davantage de massacres en arabe tout en demandant un sursis humanitaire en anglais. Il sait par expérience que certains Occidentaux sont suffisamment crédules pour se laisser prendre au piège.
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« La mort, c’est un peu comme la connerie. Le mort, lui, il ne sait pas qu’il est mort… ce sont les autres qui sont tristes. Le con, c’est pareil. » Philippe Geluck