Les forces américaines du Moyen-Orient se préparent à des troubles avec l’Iran, suite à l’imposition de sanctions pétrolières
La menace d’une réponse énergique de l’Iran à l’embargo américain sur ses ventes de pétrole, qui entrera en vigueur le 5 novembre, est contenue dans la déclaration du ministre iranien des Affaires étrangères Mohammed Javad Zarif, le mardi 30 octobre :
»Malheureusement, un pays en infraction cherche à punir un pays qui respecte la loi… Cette méthode aura de graves conséquences pour l’ordre mondial. La menace de « conséquences pour l’ordre mondial « peut se traduire par des options telles que la rupture iranienne des approvisionnements mondiaux en pétrole, une attaque sur des cibles américaines ou arabes du Moyen-Orient, sur Israël – ou toutes ces actions par étapes successives.
L’Iran a concentré en Irak et le long de la côte du Golfe, de nombreux drones furtifs Saeghe (à l’instar du RQ-170 Sentinel américain avancé capturé par Téhéran en 2011). Les forces des brigades Al Qods opérant en Syrie sont également équipées de ces drones sophistiqués. Des drones de différents types ont été distribués aux milices chiites irakiennes servant Téhéran sur le sol irakien et en Syrie, ainsi qu’au Hezbollah libanais.
Les drones Saege ont repris les missions des vedettes rapides chargées d’explosifs, utilisées jadis par les Gardiens de la révolution comme armes principales contre le trafic de pétroliers occidentaux et arabes dans le golfe Persique. L’attaque iranienne par drones contre les concentrations de l’Etat islamique dans l’est de la Syrie, le 1er octobre, a semblé à de nombreux experts militaires de l’Ouest et du Moyen-Orient, comme une sorte de répétition générale pour l’utilisation de cet engin sans pilote, dans le cadre de frappes aériennes meurtrières contre des cibles américaines, israéliennes ou arabes. Ensuite, 11 de ces drones furtifs ont été lancés d’Iran et ont survolé toute l’étendue de l’Irak pour atteindre leurs cibles, sans être interceptés ni même aperçus par les forces américaines, israéliennes ou jordaniennes. Les Saeghes ont atteint la base syrienne dotées de bombes à glissement miniatures Sadid-345 à guidage de précision. Ensuite, cette arme des gardiens de la révolution a fait ses débuts dans des conditions de combat réelles et est revenue en toute sécurité à la base.
Obama a offert, intentionnellement, ce drone et sa technologie à l’iran.
Les Américains et Ysraeliens maîtrisent parfaitement ces savoirs. Les premiers sont même les concepteurs du joujou offert par le président américain félon.
On n’ira pas dire aux iraniens que leurs drones, le jour de l’action, seront soumis à d’autres ordres, hors de leur control. Tant que ces drones iraniens n’ont pas mis en péril les américains ou les Israéliens, pourquoi dévoiler les jokers ?
Qu’ils croient ce qu’ils veulent croire, et pensent ce qu’ils veulent penser.
C’est là un des aspects des prochains conflits, où heureusement Ysraël excelle.
Les fake-news sont sûrement votre sport favori, Elie de Paris, mais ce drone n’a jamais été « offert » par Obama, qui, d’ailleurs, ne le pilotait pas personnellement ce jour de 2011. Il faut mesurer ce qu’on dit. IL a simplement été détourné parce que par sentiment de supériorité, les Américains ne se doutaient pas que les Iraniens auraient emprunté la technologie chinoise en Afghanistan pour détourner un drone aussi sophistiqué et présumé « furtif ». Obama a fait assez de dégâts contre le monde pour qu’on lui attribue de savoir diriger un drone à distance. Ou en ce cas vous accusez l’armée américaine félonne. Mais cela pourrait vous coûter plus cher, au su des relations privilégiées entre Tsahal et le Pentagone.
Cher Marc, il ne faisait aucun doute que ce drone ait été proposé « capturable » par (des ordres donnés par) Obama. Ce fleuron technologique, normalement impossible à être dévoyé, n’a pu être mis » à disposition » qu’intentionnellement, puisque même ses dispositifs d’autodestruction n’ont pas fonctionné. Ça avait fait beaucoup de bruit à l’époque, et ça n’est pas un secret.
Les Américains avaient dementis…
On sait « l’affection » qu’Obama portait sur les Iraniens et combien il a(demandé à) fermé les yeux sur leurs manigances.
Il a finalement signé ces accords nucléaires maudits…
L’armée américaine dément la capture d’un de ses drones par l’Iran – Le …
https://mobile.lemonde.fr › 2012/12/04
Pas de temps à perdre avec le complotisme, Elie de Paris. Croire qu’un Etat-Major et les services de renseignements de la CIA en Afghanistan peuvent recevoir des ordres de se faire capturer le fleuron de la techno U.S, alias la Bête de Kandahar, que le Président, même idéologiquement « complice », prendrait le risque de se faire prendre le doigt dans la confiture de la collaboration militaire intentionnelle et délibérée avec l’Iran, est d’une stupidité à tout rompre. Un Président qui offrirait les plans et code d’un élément essentiel de la défense et de l’espionnage se retrouverait ipso facto sur la chaise électrique. Le fait que vous n’ayez pas conscience de cet enfantillage laisse pantois. Alors pourquoi il ne leur a pas offert les codes nucléaires tant que vous y êtes? Pour faire sauter Washington et toute la végétation autour? Le virtuel vous fait perdre le contact avec la réalité et c’est un grave danger pour la raison.
Allez raconter ça chez feu Pierre Bellemare, dans « histoires extraordinaires » à dormir debout. Méconnaissance totale du mode de fonctionnement de la néanmoins démocratie américaine.
Les Américains ont démenti la capture, parce que le coup paraissait impossible, mais personne ne l’a jamais offert aux Iraniens. J’ai suivi l’affaire de très près à l’époque et il n’a jamais été question, nulle part, d’un « don d’Obama ». Les gens qui commencent à mentir sur des faits historiques sont vite oubliés : voir Faurisson. C’est du même ordre que de dire que George Bush voulait organiser une dictature militaire et pétrolière en faisant lui-même sauter le WTC avec la complicité du Mossad, qui « a supervisé Ben Laden ».
Par contre, Obama, une fois l’information connue, le 4 décembre 2011, devait donner l’ordre de décollage immédiat à tout ce que d’américain il volait dans la région pour pulvériser ce drone détourné et qu’il ne livre pas ses secrets de furtivité (qui servent dans les HESA Saeqeh iraniens dont celui qui a volé 1 mn 30 au-dessus d’Israël en février 2018).
Les dirigeants iraniens ménent leur pays au suicide .
Un petit » Printemps » au mois de Décembre ne leur ferait pas de mal .
Le peuple en a ras le bol .