La Chine réagit à la libération de Noa Argamani: Entre indifférence et hostilité
Alors que le monde entier saluait la libération spectaculaire de Noa Argamani et des trois autres otages retenus par le Hamas, la Chine, elle, est restée largement indifférente, voire hostile, à cet événement. Une attitude qui reflète la position pro-palestinienne traditionnelle de Pékin dans le conflit israélo-palestinien.
Les médias d’État chinois ont traité l’information avec un déséquilibre flagrant, mettant l’accent sur les pertes civiles palestiniennes sans contexte, plutôt que sur le sauvetage des otages. L’agence de presse officielle Xinhua s’est contentée d’une brève dépêche, citant simplement « l’annonce de l’armée israélienne » sans mentionner le nom de Noa Argamani, dont la mère est pourtant née en Chine.
Sur les réseaux sociaux, les réactions ont été tout aussi révélatrices. Nombreux sont ceux qui ont ignoré la libération des otages, préférant se concentrer sur les frappes israéliennes à Gaza. D’autres sont allés jusqu’à justifier l’enlèvement de Noa, le qualifiant de « soulèvement légitime contre l’occupation étrangère ».
Cependant, le cas de Noa Argamani a suscité un certain intérêt en raison de ses origines chinoises. Les publications mentionnant son enlèvement et les efforts de sa mère pour la retrouver ont reçu un nombre important de likes et de commentaires, certains empreints d’empathie, d’autres plus hostiles.
Au milieu de cette tempête médiatique, une lueur d’espoir est apparue. Grâce aux efforts du ministère israélien des Affaires étrangères, les sœurs de Liora Argamani, la mère de Noa gravement malade, ont pu obtenir l’autorisation de se rendre en Israël pour, peut-être, la revoir une dernière fois.
Cette coïncidence dramatique n’a pas manqué de soulever des questions sur les relations tendues entre Israël et la Chine. Depuis le début du conflit, Pékin a clairement affiché son soutien aux Palestiniens, réitérant son appel à la reconnaissance d’un État palestinien dans les frontières de 1967.
Malgré ces tensions, le consulat général adjoint d’Israël à Guangzhou a salué l’arrivée imminente des sœurs de Liora, qualifiant cet événement de « timing parfait » après les prières exaucées pour la libération de Noa.
Ainsi, tandis que la Chine reste globalement indifférente, voire hostile, à la libération des otages, le cas de Noa Argamani semble avoir créé une brèche dans le mur de glace, ouvrant peut-être la voie à un rapprochement, aussi modeste soit-il, entre les deux pays.
Jforum.fr
Article inutile.
Ca ne sert à rien de faire croire aux Juifs ignorants que la Chine est anti-israélienne, alors que les mêmes continue de frayer avec des antijuifs occidentaux, beaucoup plus nuisibles et dangereux…
Dans la division, voulue par les dirigeants occidentaux sur le déclin, bientôt à la poubelle, la Chine est classée avec la Russie dans le « camp du mal », au même titre que les « radirans ». Mais c’est quand même en Europe, où l’on trouve les complices les plus fanatiques des déchets nazislamistes.