« Les gens de paix doivent s’unir contre Sansal » : Karim Zéribi, Samia Ghali… qui sont les relais d’Alger en France ?
L’emprisonnement de Boualem Sansal et les critiques à l’égard du prix Goncourt Kamel Daoud mettent en lumière les entrées de l’Algérie en France. Depuis les politiques et les chroniqueurs jusqu’aux responsables religieux, ils sont nombreux à tenir des propos dignes du pouvoir algérien.
Avec l’arrestation et le placement en détention de l’écrivain Boualem Sansal par Alger, les relais d’influence des autorités algériennes en France apparaissent au grand jour, par leur silence bruyant ou leurs réactions offensives.
La palme revient aujourd’hui à une personnalité très présente dans les médias, Karim Zéribi, cofondateur du Conseil mondial de la diaspora algérienne dont l’ambition est autant de défendre les personnes originaires d’Algérie que de favoriser un climat propice aux affaires avec ce pays. Cet habitué des plateaux de CNews a posté jeudi 28 novembre un extrait de son passage au micro de Beur FM.
«Pseudo écrivain islamophobe» : l’ex-élu EELV Karim Zéribi appelle «les gens de paix» à s’unir contre Boualem Sansal
Placé sous mandat de dépôt en Algérie, l’écrivain Boualem Sansal a reçu le soutien de nombreuses personnalités politiques en France. Ce n’est pas le cas de l’ancien élu écologiste Karim Zéribi qui le décrit comme un « islamophobe » qui propage « la haine ».
Les arguments mensongers de Monsieur Karim Zeribi :
C’est l’extrême droite qui instrumentalise l’affaire !C’est faux, tous les démocrates attachés à la libre expression soutiennent ce type de combat, au même titre qu’ils soutiennent Salman Rushdie menacé par les terroristes musulmans, perce que cela fait partie intégrante du combat démocratique.
Ils crachent sur l’Algérie !
En quoi ce régime algérien antidémocratique est-il respectable et en quoi ce régime respecte-t-il les Algériens eux mêmes.
Le président sortant Abdelmadjid Tebboune est réélu pour un second mandat face à deux autres candidats peu connus, dans un contexte de répression de l’opposition et de rejet de la plupart des 17 candidatures, de personnalités peu connues à l’exception de l’opposante Zoubida Assoul, par la Cour constitutionnelle faute de parrainages suffisants. Sans surprise, le président sortant est réélu pour un second mandat, obtenant dans une première annonce 94,65 % des voix avec 64,65 % de votants, un score gonflé. Pour le politologue Mohamed Hennad, le résultat du scrutin est « connu d’avance », du fait de « la qualité », du « nombre inhabituellement réduit » de candidats, et des « conditions dans lesquelles s’est déroulée la campagne électorale qui n’est qu’une comédie ».
Les pseudo-intellectuels réactionnaires !
Il oublie que lui aussi cherche ses sources parmi les opposants d’Israël, quand il attaque le peuple juif et ses représentants démocratiquement élus.
Sensal propage une forme de haine !
L’islam tolérant où est-elle ? Cachée dans un silence complice, alors que les tenants d’un islam terroriste, agressif, haineux tiennent le haut du pavé ! Quel drôle d’analyste il est, quand il reste aveugle face à la violence des banlieues qui haïssent la France qui les héberge.
La relation France Algérie est inéluctable !
Non cette relation dans ces conditions n’a rien d’inéluctable. D’autant que mettre dans le même sac les Juifs, les Français d’Algérie avec les Algériens musulmans est une manipulation de la réalité. Les Juifs et les Français, non musulmans, n’ont plus rien à voir avec ceux qui les ont pillés à leur départ d’Algérie. Cette page est tournée, pour ceux qui ont été victimes des algériens, même si ces derniers se prennent pour des victimes quatre-vingts ans plus tard.
Il y a cinq millions de Français d’origine algérienne !
Non il y a cinq millions d’Algériens, de nationalité française, et c’est là l’erreur.
En France on a ce débat sur ceux qui ne respectent pas la France !
Comme il le dit lui-même, pour Boualem Sensal, il faut les déchoir de leur nationalité ! Ca ne devrait pas être un débat.
———————————————–
L’arrestation de Boualem Sansal a provoqué une vague d’indignation en France. Placé sous mandat de dépôt pour « acte terroriste ou subversif », l’écrivain algérien a notamment été soutenu au Parlement européen par Marion Maréchal ce 27 novembre. Mais tout le monde ne le soutient pas, à l’image du docteur en sciences politiques, Nadjib Sidi Moussa, dans l’émission C Politique dimanche 24 novembre. Jeudi 28 novembre, c’est l’ancien eurodéputé écologiste Karim Zéribi qui s’est montré très critique envers l’écrivain.
Sur son compte Instagram, il a relayé une vidéo d’une de ses interventions sur la radio Beur FM où il dénonce l’attitude des soutiens de l’écrivain. « C’est Marine Le Pen qui fait des tweets, c’est Bardella. Tout d’un coup, ils aiment les Franco-Algériens quand ils crachent sur l’Algérie, quand ils diffusent la haine de l’islam, du musulman », estime-t-il. Pour lui, ses défenseurs ne « l’aiment pas pour sa plume » ni pour sa « défense de la liberté ». Karim Zéribi dénonce une « instrumentalisation ».
Karim Zéribi propose à l’Algérie de déchoir l’écrivain de sa nationalité
Mais l’ancien conseiller municipal de Marseille va plus loin. Pour lui, Boualem Sansal « alimente un fonds de commerce qui est celui de l’extrême droite et d’une partie des pseudos intellectuels réactionnaires ». Il faut donc, selon lui, que « les gens de paix, les gens positifs, les gens qui veulent se respecter » s’unissent contre « ces Boualem Sansal, pseudo écrivains islamophobes qui propagent la haine ».
Si l’ancien élu ne souhaite pas « qu’il passe 15 ou 20 ans de sa vie en prison », il propose directement à l’Algérie de lui « interdire de rentrer sur son sol » ou même de « le déchoir de sa nationalité ». L’ancien eurodéputé et militant associatif est persuadé que la France et l’Algérie « ont une relation inéluctable ». Certes, il existe des « tensions diplomatiques » actuellement, il y a une « histoire douloureuse », mais « notre relation est inéluctable », assure Karim Zéribi, qui plaide pour la création « d’un pont où certains veulent élever des murs ».
Accusations contre Boualem Sansal : ce que dit l’article 87 bis du Code pénal algérien
L’article 87 bis, qui définit le terrorisme, a été renforcé en 2021 pour englober ce que les autorités algériennes ont considéré comme de nouvelles « menaces ».
L’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, arrêté à sa descente d’avion à l’aéroport d’Alger le 16 novembre, est principalement poursuivi selon les termes de l’article 87 bis du Code pénal algérien. Selon le quotidien gouvernemental El Moudjahid, Boualem Sansal est également sous le coup d’autres « chefs d’inculpation dans le cadre du Code pénal », sans plus de précision.
C’est le pôle judiciaire spécialisé dans la lutte antiterroriste et du crime organisé, du tribunal de Sidi M’hamed (Alger-centre), qui a signifié à l’écrivain sa mise en détention provisoire dans l’attente de l’instruction de son dossier.
La définition du terrorisme et les ajouts post-hirak
Que contient l’article 87 bis ? Il fait partie de l’arsenal pénal actualisé durant la moitié des années 1990 lorsque l’Algérie faisait face à l’insurrection terroriste islamiste, sous le chapitre intitulé « Des crimes qualifiés d’actes terroristes ou subversifs », inclus dans le Code pénal dès 1995. Le 87 bis englobe un large panel de ces « crimes » et « actes » et de leur définition.
Les premiers paragraphes de cet article datant de 1995 stipulent : « Est considéré comme acte terroriste ou sabotage, tout acte visant la sûreté de l’État, l’unité nationale et la stabilité et le fonctionnement normal des institutions. » La peine maximale est la condamnation à mort, même si un moratoire suspend l’exécution de cette peine depuis 1993, automatiquement commuée en perpétuité.
Dans le contexte des suites du hirak, ce mouvement populaire né en 2019 pour empêcher le cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, les autorités décident d’ajouter au dispositif de l’article 87 bis de nouveaux paragraphes. Selon l’ordonnance n° 21-08, la définition de l’« acte terroriste ou sabotage » est augmentée de deux nouvelles manœuvres : « œuvrer ou inciter, par quelque moyen que ce soit, à accéder au pouvoir ou à changer le système de gouvernance par des moyens non constitutionnels » et « porter atteinte à l’intégrité du territoire national ou d’inciter à le faire, par quelque moyen que ce soit ».
Il est possible que cette dernière définition du terrorisme soit incluse (ou motive en grande partie) dans l’instruction de l’affaire Boualem Sansal après ses propos sur une problématique territoriale entre l’Algérie et le Maroc.
« Ces deux ajouts sont nés de la crainte des autorités face à d’éventuels dérapages violents du hirak, qui fut noyauté par des activistes du MAK et de Rachad qui ont mené des campagnes féroces contre l’État et l’armée, appelant à l’insurrection », atteste une source judiciaire.
Le MAK et Rachad ciblés
Le Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK) et Rachad, formé principalement d’exilés du Front islamique du Salut (ex-FIS, dissous en 1992), ont été classés « entités terroristes » par les autorités algériennes depuis mai 2021, avant qu’un arrêté du 6 février 2022 ne les inscrive, ainsi que seize de leurs membres, notamment des assimilés, sur la liste nationale des personnes et entités terroristes. D’après des avocats, une « majorité des détenus arrêtés depuis, que nous qualifions de détenus d’opinion, l’ont été sous le régime de l’article 87 bis ».
Dans l’esprit des autorités, le rajout « œuvrer ou inciter, par quelque moyen que ce soit, à accéder au pouvoir ou à changer le système de gouvernance par des moyens non constitutionnels » vise les organisations, les partis ou les militants qui refusent l’agenda officiel pour sortir de la crise post-déchéance du président Bouteflika. Il cible ceux qui militent pour une transition politique, « hors cadre institutionnel » et « hors retour au processus électoral », pour reprendre les termes des autorités.
Critiques d’ONG sur l’entrave à l’activité politique pacifiste
Cette vision a été critiquée par des ONG, des politiques et des juristes comme étant une entrave à l’activité ou la proposition politiques pacifistes. « Ainsi, le fait de réclamer l’élection d’une Assemblée constituante pour établir un changement de système politique risquerait de tomber sous le coup de l’accusation de terrorisme puisque ce moyen est “non constitutionnel” en ce qu’il n’est pas prévu par la Constitution », avait souligné, à l’époque, l’ONG Mena Rights Group.
La seconde motion ajoutée au 87 bis en 2021, « porter atteinte à l’intégrité du territoire national ou d’inciter à le faire, par quelque moyen que ce soit », vise clairement le MAK, dont plusieurs dirigeants, installés en France, condamnés à de lourdes peines par la justice algérienne.
Le président de cette organisation, Ferhat Mehenni, a été condamné par contumace à la prison à perpétuité en novembre 2022 sur la base de cette disposition. Alger a souvent accusé le Maroc de soutenir le MAK, allant même à pointer l’appui de Rabat au MAK rendu responsable des terribles incendies qui avaient ravagé la Kabylie l’été 2021.
JFORUM.FR et Le POINT
Zeribi, un vomis fécale.
Comme quoi, quand on gratte un peu et que le plâtre tombe, c’est le naturel qui revient au galop.
Je regarde les plateaux d’info sur Cnews, en différé.. Et quand ce vomis fécale intervient, j’avance le tempomètre jusqu’à le visage de ce vomis fécale disparaisse de mon écran.
L’ancien député EELV et ex-conseiller municipal de Marseille Karim BENZOBI a été condamné par la cour d’appel d’Aix en Provence à trois ans de prison avec sursis et 80.000€ d’amende pour abus de confiance, abus de bien sociaux, détournement de subventions, soit une peine plus sévère qu’en première instance.
La cour a également prononcé une privation des droits civils et civiques, dont son éligibilité pour une durée de cinq ans, ainsi qu’une interdiction de gérer pour la même durée. Elle a aussi ordonné la confiscation en valeur de son domicile marseillais à concurrence de 109.000€.
Directeur de l’engagement sociétal et de la transition écologique de la SNCF, celui qui est aussi chroniqueur à la télévision est reconnu coupable d’avoir détourné à son profit politique des subventions versées par des collectivités territoriales à deux associations qu’il avait créées en 2001, et dont il avait ensuite abandonné la présidence.
«Agir pour la citoyenneté», développée pour permettre l’organisation d’un « parlement des banlieues », et « Agir pour la compétence-recrutement », sorte de cabinet de recrutement pour les jeunes de quartiers défavorisés, avaient perçu, entre 2007 et 2009, plus de 100.000 euros des régions Paca et d’Ile-de-France, mais aussi du département des Bouches-du-Rhône et d’autres autorités publiques.
La partie sordide de son engagement trouble avec l’Algérie est moins connue, mais elle mériterait un éclairage plus approfondi/particulier.
Quant à son accent excessivement « marseillais » il fait partie du cinéma/spectacle que cet imposteur fait valoir de façon tonitruante sur les plateaux de télé.
(Source: 20 minutes)
Il suffit de le regarder s´exprimer pour savoir la haine qu´il a au fond de lui-même!
Bon article , bien argumenté !
Quant à Zeribi (un autre Karim), c’est un délinquant au sens premier (il a été condamné pour des délits), proche -et donc défenseur permanent- de l’Algérie et des adeptes de l’islam quelles que soient leurs actions, même les plus ignobles, et toujours prêt à critiquer la France dans un discours sournois et hypocrite ! Tant qu’il trouve des idiots pour l’inviter à la télé, il ne se prive pas d’étaler ses glaires.
Toutes ces personnes devraient être automatiquement déchues de la nationalité francaise! Des escrocs, rien d´autre!
CNews que je regarde tous les jours a tort de donner la parole à cet individu qui n’est qu’un ramassis de bandit et de vulgaire menteur .
QUAND UN IMBECILE SE PREND POUR UNE RÉFÉRENCE DOMMAGE JE PENSE QUE CNEWS VA LE REMERCIER.
Karim Benzebi fait toujours son cinéma sur les plateaux de télé, en pratiquant toujours la même méthode : il hurle plus fort que tout le monde, et il interrompt sans cesse ses interlocuteurs qui ne peuvent pas dire un mot pour le contester.
Même Zemmour a eu du mal avec lui lors d’un débat animé par Hanouna : ce mec-là, repris de justice, est imbattable dans sa mauvaise foi, même les plus forts ne peuvent rien contre lui, il défend toujours, en utilisant les mêmes arguments, les malheureux immigrés musulmans qui se lèvent tôt pour aller travailler et qui font les jobs des Français qui ne veulent pas les faire, et que sans eux, et tout le tralala.
Il faudrait que les animateurs puissent intervenir en lui coupant le micro lorsqu’il dépasse les bornes, ce qui lui arrive très fréquemment.
Qu’est-ce que ce Benzebi apporte à la confrontation d’idées et au débat, en dehors de propos rabâchés et des pseudo arguments usés jusqu’à la corde ?????
Mention « à envoyer au bled »!
MERDE ! Ca suffit les titres sortis des égout de la propagande antijuive !
La vermine au pouvoir en francekipu, impose à la chaine CNEWS, la présence de cet authentique déchet nazislamiste.
Les très nombreux téléspectateurs de la chaine zappent tous, quand il intervient et c’est la vermine antijuive, qui fait l’intérim de l’auditoire.
L’équivalent n’existe pas, sur les autres chaines de tv reçues en France.
Zeribi a été odieux après le 7 octobre. C’est un islamiste/frériste avec une cravate. Des sourires dehors et de la haine à l’intérieur. La duplicité en personne. Il faut s’en méfier et cesser de lui donner les attributs de la respectabilité. Vivement qu’il disparaisse des écrans de CNEWS.
Ce Zéribi devrait être arrêter en France pour les memes raisons que mr Sansal en Algérie , il crache sur les français, la France et accuse Israël et les juifs de France , si Macron a un peut de dignité qu’il arrête donc tous les algériens de papiers surtout ceux qui ouvertement s’en prennent à la France et rejoints les groupes extrémistes de gauche et qui sont anti démocratique …..
Un islamiste sera toujours un islamiste et pour le débusquer il suffit de gratter un peu…
Le problème restant qu´ils sont indécrottables! Un islamiste nait islamiste et meurt islamiste! Pas de discussion, de procès etc. On renvoie au bled! Un point, c´est tout!