Israël sous pression : Les défis juridiques et politiques en période de guerre

Israël traverse actuellement l’une des périodes les plus complexes de son histoire récente, confronté à une multitude de défis sur le plan juridique et politique. Au cœur de ces enjeux se trouve la question brûlante des allégations de crimes de guerre dans le cadre du récent conflit. À mesure que Tsahal, l’armée israélienne, jongle avec les pressions internationales et nationales, l’avenir de la politique de guerre et de paix d’Israël est en jeu.

D’ici le 25 mars, Israël doit soumettre aux États-Unis une mise à jour capitale concernant les allégations de crimes de guerre liées au conflit actuel. Cette soumission revêt une importance cruciale, car elle influence le maintien du soutien militaire, diplomatique et de relations publiques des États-Unis envers Israël. Cependant, des informations suggèrent que des entreprises de défense israéliennes pourraient être exclues de conférences majeures, comme l’EUSATORY en France, en raison de ces allégations.

La stratégie juridique d’Israël et de Tsahal est sous le feu des projecteurs, ou plutôt sous le voile de l’incertitude. Contrairement aux attentes, il n’existe pas de plan clair pour contrer la détérioration actuelle. La division juridique de Tsahal a opté pour une approche réactionnaire, fournissant des mises à jour au fur et à mesure des cas, sans projet proactif de révéler une liste complète d’allégations de crimes de guerre.

Cette approche soulève des questions sur la transparence et l’efficacité du processus. Alors que certains cas ont été accélérés, les résultats sont toujours en attente, ce qui suscite des inquiétudes quant à l’avenir des relations d’Israël avec ses alliés et ses adversaires. Contrairement au conflit de 2014 à Gaza, où des résultats ont été obtenus relativement rapidement, la complexité de la situation actuelle rend les progrès beaucoup plus lents.

En interne, les pressions politiques compliquent encore les choses. Les craintes de réactions violentes de la part de certains membres du gouvernement poussent à la prudence dans le traitement des affaires. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, en particulier, est confronté à une situation politique fragile, où chaque mouvement est scruté de près.

Pendant ce temps, les procédures contre les responsables du 7 octobre restent en suspens, avec des implications potentielles pour les futures actions judiciaires. Les divergences quant à la manière de les traiter mettent en lumière les tensions politiques internes qui pourraient entraver les progrès.

Dans l’ensemble, l’approche actuelle de Tsahal et d’Israël face aux allégations de crimes de guerre laisse beaucoup à désirer. Sans une stratégie plus claire et plus rapide, Israël risque de subir de graves conséquences sur la scène internationale, alors que les pressions s’intensifient pour faire la lumière sur les événements tragiques survenus lors du récent conflit.

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patrick

Quand on voit les pays d’où viennent les pressions internationales, c’est bien pour cela qu’ils doivent absolument gagner la guerre et on discutera après !!!
 

Richard MALKA

Cette article détourne et ne pose pas les bonnes questions:

1) pourquoi cette pression sur Israël
2) et surtout pourquoi sur Bibi particulièrement

Quoique fasse Israël et surtout plus Tsahal avance plus la pression augmente.

Faut-il sauver le Terroriste sinwar à palywood-obama-city ?

Hormis les intérêts finnanciés avec les pays arabes, Bibi et Israël représentent ce que ces mondialistes n’aiment pas: La préservation d’une identité et d’une culture forte qui résiste malgré le temps et les aléas de la pourriture que génère un monde malade.

Si ce n’est la volonté de maintenir un statut quo avec les ennemis d’Israël et de maintenir une situation de conflit, il y a aussi la volonté d’avoir une coalition au moyen-orient contre l’axe du mal (Russe, Iran etc…), voulu à demi-mot par les mondialistes.

A leur yeux, Israël doit tout assurer et en « même temps » faire des concessions et mettre son existence en danger. Pour avoir le droit exister, Israël devrait assumer toutes les tares du monde.

A cela Bibi répond à Biden: « est-ce que tu me prends pour l’amant à ta mère? »
Ceci explique cela.

joseph

Bonjour Richard ,

Je suis tout à fait d’accord avec vous. Je rajouterais, que les organisations juives de diaspora ne sont pas à la hauteur et devraient interpeller leurs gouvernements respectifs en leur disant, que plutôt de faire pression sur Israel, ils devraient faire pression sur le Hamas via le Quatar et les pays arabes, pour exiger la libération des otages sans conditions et alors la guerre s’arrete, faute de quoi, on laisse Israel agir ,un peu ce qu’à dit BHL, qui me semble un peu interdit d’antenne en ce moment. On a l’impression , qu’il faut sauver le soldat Hamas, c’est le monde à l’envers.

Asher Cohen

Le problème est que dans plusieurs états, les Juifs n’ont pas un poids électoral significatif, et de toutes manières le hamas n’est qu’un instrument des antisémites d’Europe et des pays arabes qui l’arment et le financent. On comprend qu’ils cherchent à sauver le tueur Hamas, pour garder le contrôle sur l’État Juif qui les obsède.

Joseph

C’est vrai, mais cela ne dispense pas d’afficher un soutien ferme a Israël, en particulier le CRIF, qui est sur la défensive et continue son activité de »traiteur » au point, que les juifs français et Israël sont mieux défendus par des personnalités non juives, qui pourraient se lasser, si les organisations juives officielles ne leur en emboîtent pas le pas.

Asher Cohen

Avec la conquête du Maghreb dès 1830, puis les protectorats sur la Syrie et le Liban, l’Afrique subsaharienne, puis actuellement l’immigration musulmane massive, on peut affirmer que depuis 2 siècles, la France a toujours été un empire musulman. Face à 20 millions d’immigrés d’origine musulmane, 350.000 Juifs égarés ne peuvent pas compter, aussi la politique étrangère de la France a toujours été pro-arabe, et antisémite, depuis 2 siècles. C’est simplement la Loi des grands nombres.

Richard MALKA

Il y a eu tout de même des périodes, certes courtes ou la France a été un allié d’Israël et des juifs, cela a toujours été le cas ou la France s’éclairait. Depuis Macron nous ne sommes plus dans un système Franco-Français, mais dans un dogme Européiste (Eurabia) prétendu progressiste mais qui s’assimile plus à une inquisition qu’autre chose. Je partage plutôt l’approche de Joseph.

Asher Cohen

Il y a eu une fenêtre entre 1949 et 1964, où la France a eu besoin d’Israël, par intérêt purement stratégique. Pour le vote de l’ONU de novembre 1947, la France, empire musulman voulait s’abstenir, et n’a finalement voté pour la recréation de l’État Juif que sur intervention du Juif Léon Blum. Ce n’est qu’après l’armistice de Rhodes en 1949, que Jean Perrin a accouru à Tel Aviv, parce qu’il savait pertinemment que les Juifs détenaient la technologie du Projet Manhattan, et il a ensuite acheté le procédé de production d’eau lourde mis au point par Israël Dostrowski. C’est surtout durant la période 1956-1960 que les relations entre les 2 pays furent correctes. Dès 1962, De Gaulle reprochait à Ben Gourion d’avoir récupéré des centaines de pieds noirs non juifs, recherchés par toutes les polices de France et la Cour de sûreté de l’État, et dès 1964 il a clairement repris la politique pro-arabe classique, exprimée par l’embargo de juin 1967, puis sa conférence de presse de novembre 1968, puis le blocage des vedettes de Cherbourg, sans oublier la petite phrase de Michel Jobert en octobre 1973, et les livraisons massives d’armements par Giscard d’Estaing à l’Égypte et la Syrie, ennemis déclarés d’Israël. C’est toujours la Réalité, la France étant un empire musulman ne peut n’avoir qu’une politique pro-arabe et antisémite.

Asher Cohen

Article d’un ridicule rare et non signé, écrit par un pédant qui n’a jamais vécu la guerre. Le premier objectif d’Israël est d’assurer sa sécurité et sa survie, et donc de détruire le hamas, puis le hezbollah, puis désinfecter définitivement la Judée-Samarie. C’est la guerre, et dans la guerre c’est la tête de l’autre ou la mienne, le premier qui meurt a perdu. L’objectif n’est pas de faire des caresses aux gazaouis de merde. Est-ce que le Hamas s’est embarrassé de ne pas commettre des crimes de guerre le 7 octobre dernier ? Les soldats Juifs au front ont des chances de mourir, alors pourquoi eux et non les gazaouis de merde? Chacun pour soi et Dieu pour tous. Si les pauvres gazaouis veulent rester vivants, qu’est-ce qui les empêche de partir au lieu de pleurnicher au Monde Entier de ce que leur font les sales youpins? Article écrit par un pauvre con.

Ratfucker

« qu’est-ce qui les empêche de partir « : Ils voudraient bien partir (d’après les sondages officiels palestiniens avant le 7/10, 48% souhaitaient émigrer, certainement beaucoup plus maintenant. Bon an mal an, 35 à 50.000 gazaouis arrivent à émigrer, moyennant 6 mois d’attente et un visa égyptien coûtant 1.500$. Des agences de voyage spécialisées, tel Hala au Caire, font fortune en organisant la sortie, facturant 350$ il y a 1 an, 5.000$ par personne actuellement, tirant profit du refus officiel d’accueillir les « frères palestiniens » en Égypte

Asher Cohen

Le fait d’avoir 35 à 50.000 arabes qui chaque année émigrent de gaza, prêts à payer 350 voire 5000 dollars, prouve qu’ils savent pertinemment n’avoir rien à voir avec gaza, ni même avec la Palestine, qui est Juive. Ce sont des gens originaires d’Égypte, du Yémen et d’ Arabie Saoudite.

Les autres qui restent et pleurnichent devant les caméras des journalistes antijuifs, n’ont pas encore pris conscience qu’ils sont archi-manipulés par des puissances étrangères pour nuire aux Juifs. Netanyahou et les 14 députés d’extrême-droite sont donc parfaitement fondés à les expulser vers le Sinaï et la mer.

Franck DEBANNER

Les Juifs s’en torchent et rejette le papier utilisé, aux accusateurs…