Israël explore des options pour la « migration volontaire » des Gazaouis
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a annoncé le 25 décembre son soutien à un projet de « migration volontaire » des habitants de la bande de Gaza, tandis qu’un député de son parti a révélé que des démarches étaient déjà en cours avec plusieurs pays d’Amérique latine et d’Afrique. Cette initiative, qui semble prendre de l’ampleur chaque jour, suscite des inquiétudes internationales, notamment en raison des bombardements intensifiés qui ont poussé 85 % de la population gazaouie vers le sud, à la frontière avec l’Égypte, depuis octobre.
Lors d’une réunion à huis clos avec son parti à la Knesset le même jour, Netanyahou a abordé ouvertement le concept de « migration volontaire ». Dans le même contexte, le député du Likoud, Danny Danon, a révélé lors d’une interview à la radio locale Kan Reshet Bet que des contacts étaient déjà établis avec plusieurs pays pour explorer les options d’accueil des Gazaouis.
Selon les médias, Netanyahou a déclaré aux membres du Likoud que « notre problème réside dans les pays prêts à les absorber, et nous travaillons en ce sens ». L’agence de presse Anadolu a relayé les propos de Danon, ajoutant qu’un comité devrait être formé pour suivre cette question et garantir que ceux qui souhaitent s’installer dans un pays tiers puissent le faire.
Cette perspective d’expulsion volontaire a suscité des réactions internationales négatives, avec des oppositions claires émanant des États-Unis, de pays arabes et européens. Les Palestiniens ont condamné fermement le plan, appelant à une réaction internationale. Le ministère des Affaires étrangères palestinien a déclaré que les déclarations de Netanyahou étaient un « nouveau coup dur » et que cela renforçait le soutien à ce qu’ils appellent la « guerre génocidaire contre la bande de Gaza ».
Le Mouvement de résistance palestinienne, le Hamas, a également critiqué le plan, le qualifiant d’effort visant à « prolonger l’agression ». Le Hamas a insisté sur le fait que le peuple palestinien n’acceptera pas un plan visant à mettre fin à sa cause ou à l’expulser de ses terres et lieux saints. Des tensions antérieures sur cette question sont également rappelées, notamment les propos du ministre israélien Bezalel Smotrich en novembre, qualifiant la migration « volontaire » des Palestiniens de Gaza de « bonne solution humanitaire ».
Jforum.fr
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« des démarches étaient déjà en cours avec plusieurs pays d’Amérique latine et d’Afrique »
Il y a des pays candidats à la « suédisation » ?
(autrefois sûre – on pouvait sortir de chez soi sans fermer à clé, la Suède est devenue un pays très dangereux où la délinquance a explosé).
Les Arabes de Gaza ne présentent un intérêt pour les « amis de la Palestine » qu s’ils crèvent de misère ou sous les bombes, si possible en faisant le spectacle. Sinon ce sont des gêneurs pour les Palestiniens imaginaires prêts à combattre jusqu’au dernier gazaoui.
LA FRANCE AINSI QUE CERTAINS PAYS EUROPÉENS SONT DEMANDEURS DE POPULATION D IMMIGRÉS VOILÀ DES DESTINATIONS TOUTES TROUVEES
En voilà une idée qu’elle est bonne !
Tous les pays hypocrites, France en tête, qui soutiennent cette population dont personne ne veut, devraient se jeter sur l’occasion pour recevoir ces gens-là.
Nulle obligation, il s’agira d’une démarche volontaire qui permettra à chaque pays de recevoir autant d’expulsés qu’il le souhaite.
Après tout, les « migrants » sont sauvés en mer et débarquent de force en Europe.
Nous verrons si les « frères arabo musulmans » prendront un bon paquet de cette population qu’ils aiment tant, surtout lorsqu’elle se trouve loin de chez eux.
Quand on pense qu’il y a eu 300.000 manifestants très violents et très agressifs à Londres contre la guerre à Gaza, alors que le Royaume Uni abrite 300.000 Juifs, est vraiment inquiétant pour l’avenir.
La mythologie palestinienne est entretenue par les pays arabo-musulmans, ce qui leur permet de cacher la misère de leurs populations, et le manque de démocratie qui y règne : il y en a marre de ces hypocrisies honteuses….