Révélation : les liens entre Hillary Clinton et le Hezbollah

 
 

La fondation Bill, Hillary et Chelsea Clinton a reçu des millions de dollars de pays étrangers, ce qui pose un sérieux problème d’éthique et de neutralité si jamais Hillary Clinton devient la future présidente des Etats Unis, comme le souhaite le pouvoir médiatique.

Et parmi ses gros donateurs se trouve un ancien premier ministre libanais, connu pour avoir toujours soutenu et défendu le Hezbollah, et appelé à libérer la Palestine de l’Etat juif, révèle ce matin le Washington Free Beacon.

Issam Fares, c’est son nom, est un milliardaire libanais qui a émigré aux Etats Unis, et qui a versé en 2014 de 1 à 5 millions de dollars (l’info n’est pas précisée) comme indiqué sur le site de la fondation Clinton.

Fares soupçonné d’être un pion de l’Iran, faisait partie d’un gouvernement libanais pro-syrien, celui du premier ministre Omar Karami entre 2000 et 2005, lorsqu’il déclara, en 2001 :

“Il semble déplaire au lobby sioniste des Etats Unis et ses agents dans la région que certaines personnalités arabes et libanaises aient des liens amicaux avec des officiels de la nouvelle administration américaine,” quand les médias s’interrogèrent sur la nature de ses relations avec le Secrétaire d’état Colin Powell.

Puis dans une déclaration citée par l’AFP, Fares pris la défense du Hezbollah :

“C’est faire une erreur que de comparer le Hezbollah à al Qaïda … que le Liban condamne, alors que le Hezbollah, est considéré par le Liban comme des résistants qui combattent ‘l’occupation israélienne’. Le Hezbollah n’a engagé aucune action de ‘résistance’ contre les intérêts américains au Liban ou à l’étranger, et n’a jamais ciblé de civils dans ses activités de ‘résistance’ comme cela s’est passé le 11 septembre au World Trade Center.”

Fares continua à défendre le Hezbollah lors de son discours de 2004 devant l’ONU, tandis qu’il déclara que les forces syriennes avaient envahi le territoire libanais à la demande du gouvernement — bien que ce dernier avait exigé que toutes les forces non libanaises qui le Liban.

“C’est également la politique du Liban de soutenir le mouvement de résistance national [Hezbollah] qui a joué un rôle important pour forcer les Israéliens à se retirer du sud Liban,” a déclaré Fares devant l’ONU.

Fares organise une conférence annuelle sur la politique des Etats-Unis au Moyen-Orient dans les locaux de l’université Tufts du Massachusetts dont il est membre du conseil d’administration. La conférence est financée par la fondation Fares, et organisée par son fils, Fares I. Fares, diplômé de Tufts.

Bill et Hillary Clinton y apparaissent régulièrement comme conférenciers.

Bill Clinton était également invité à la cérémonie d’inauguration du centre Fares d’études libanaises et de l’est méditerranéen en 2002.

La fondation Clinton reçoit entre 20 et 65 millions de dollars de gouvernements étrangers. 10 à 25 millions de dollars de l’Arabie saoudite, 5 à 10 millions de la Norvège, 1 à  5 millions du Qatar, principal financier du Hamas, du Koweit, d’Oman, et du Brunei.

 © Alain Leger pour Dreuz.info

 

 

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