Gabriel Attal, Premier ministre offensif contre les soutiens français du Hamas
La guerre entre Israël et le Hamas continue de faire des vagues jusqu’en France, où le Premier ministre Gabriel Attal défend fermement la ligne pro-israélienne du gouvernement face aux critiques de l’extrême gauche.
Lors du dîner officiel du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (CRIF) lundi soir, le jeune chef du gouvernement de 35 ans a dénoncé avec virulence ceux qui expriment leur « soutien » au mouvement islamiste palestinien et dénoncent l’attitude d’Israël.
« J’ai honte d’écouter certaines personnes, y compris au Parlement français, qui tentent de trouver des excuses à l’attaque qui a eu lieu », a fustigé Gabriel Attal, faisant référence à l’offensive meurtrière du Hamas qui a déclenché le regain de violences.
Dans le viseur du Premier ministre, les formations d’extrême gauche comme La France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon, coutumières des prises de position pro-palestiniennes. Ces mouvements vont jusqu’à évoquer une « opposition légitime » du Hamas selon M. Attal, tout en passant sous silence les exactions des militants islamistes et le sort des otages français encore détenus dans la bande de Gaza.
« Ils devraient avoir honte de n’avoir jamais prononcé un mot sur les victimes », a lancé le Premier ministre, appelant ces franges à ne pas « encourager l’antisémitisme » par de tels discours, vecteurs selon lui d’une « haine » contraire à l’objectif de paix.
Un réquisitoire offensif, dans la lignée de la position ferme adoptée par M. Attal depuis le début du conflit. Début avril, il avait déjà répliqué sèchement aux députés insoumis demandant l’arrêt des ventes d’armes à Israël, jugeant « ignoble » leur absence de condamnation des attaques du Hamas.
Cette sortie musclée illustre la volonté du Premier ministre de marquer un soutien indéfectible à l’État hébreu face au Hamas, quitte à heurter une partie de la gauche radicale. Une posture clivante mais assumée par Gabriel Attal, déterminé à porter la voix d’Israël en France.
Au CRIF, le locataire de Matignon a réaffirmé travailler « pour encourager la paix » au Proche-Orient. Mais sa méthode, ferme avec les soutiens présumés des militants palestiniens, fait désormais de lui un rempart contre les critiques virulentes d’Israël en France.
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Du cinéma pour endormir les juifs français et continuer à nuire à Israel.
Pendant que Gabriel Attal séduit par ses paroles fortes les invités du CRIF, Messieurs Macron et Séjourné s’activent pour sauver le Hamas de la défaite et le maintenir au pouvoir à Gaza afin qu’il puisse récidiver un nouveau 7/10 encore plus meurtrier dans quelques années.
La duplicité de la France est claire, sournoise, machiavélique. Rien de sérieux n’est fait pour stopper les actes antisémites en France. Les soit-disant étudiants de Sciences Po peut continuer à vomir leurs propos antisémites et à assimiler Israel aux nazis. Et la France vote contre Israel à l’ONU.
Gabriel Attal n’est pas sincère. A son poste il doit arrêter de parler, de commenter l’actualité, de lancer des poncifs et des menaces en l’air. A son poste, IL DOIT AGIR, prendre des MESURES fortes comme déloger les émeutiers et emprisonner les auteur d’actes antisémites. A son poste il doit dissoudre URGENCE PALESTINE et CAPJPO, expulser les fauteurs de troubles islamistes étrangers, poursuivre en justice ceux qui attisent la haine antisémite.