Procès en appel de Penelope et François Fillon : leur ligne de défense qui en fait trembler plus d’un
Le procès en appel de François Fillon, son épouse et son ancien suppléant à l’Assemblée Nationale dans l’affaire des soupçons d’emplois fictifs est fixé à novembre 2021. Dans l’ombre, l’ancien Premier ministre se prépare activement. Et sa ligne de défense pourrait bien hérisser les poils de certains…
Penelope et François Fillon seront bientôt de retour au tribunal. Leur procès en appel, ainsi que celui de son ancien suppléant à l’Assemblée Nationale, Marc Joulaud, dans l’affaire des soupçons d’emplois fictifs, doit se tenir du 15 au 30 novembre prochain, ont rapporté nos confrères de France Bleu ce mercredi 27 janvier. Comme lors de son procès en première instance, l’ancien Premier ministre va être jugé aux côtés de son épouse et de l’ancien maire de Sablé-sur-Sarthe, également mis en cause dans cette affaire. Si l’histoire se répète, le scénario ne devrait toutefois pas être le même. Depuis le confinement de novembre, qu’il a passé dans son manoir de Beaucé à Solesmes, François Fillon prépare activement son procès en appel. Début décembre, il confiait à nos confrères des Nouvelles de Sablé consacrer « beaucoup de temps » à sa défense. La ligne qu’il a prévu d’adopter devrait d’ailleurs en faire trembler plus d’un…
S’il ne tient pas à évoquer la peine qui a été requise contre lui, soit cinq ans de prison, François Fillon « regarde comment remettre les choses dans leur contexte. » Par cette phrase, il entend prouver qu’il n’était pas le seul à agir de la sorte. « En 1981, 80 % des élus travaillaient avec leur conjoint et avant que ce ne soit interdit, ils étaient encore 30 %. Une loi y a mis fin en 2017 et nous l’avons respectée, le contrat de collaboratrice de mon épouse s’est achevé en 2013″, martelait-il, auprès de nos confrères, en décembre dernier. À ses yeux, l’époux de Penelope Fillon ne doit pas être le seul à payer : « C’est un peu dur à avaler d’être le seul à affronter ce jugement », estime-t-il, avant de souligner que les faits qui lui sont reprochés remontent à une autre époque. Il demande d’ailleurs à ne pas être jugé « avec le regard de 2020 » : « C’est une situation qui n’a rien à voir », se défend-il.
François Fillon veut faire mieux
Si François Fillon se prépare en coulisses et fourbit ses armes en vue de son procès en appel, c’est parce qu’il sait qu’il va devoir convaincre le tribunal. « Nous n’avons pas été suffisamment puissants lors de la préparation de la première instance », observe-t-il, avec le recul, auprès de nos confrères des Nouvelles de Sablé. Pour rappel, en première instance, François Fillon a été condamné à cinq ans de prison, dont deux ferme, dans l’affaire des soupçons d’emplois fictifs. Son épouse Penelope a quant à elle écopé de trois ans avec sursis. Le couple, profondément marqué par le Penelope Gate, avait décidé de ne pas en rester là en faisant appel de leurs condamnations. La justice se montrera-t-elle plus clémente lors de leur procès en appel ? Verdict à la fin de l’année 2021.
Entre temps ceux qui l’avait vite condamné, tout en étant coupable des mêmes faits, vont sentir le vent du boulet passer assez près.
Ce n’est pas une raison pour commettre cette énorme faute de grammaire: « ceux qui l’AVAIENT et non « l’avait »
Il faudrait que la police intervienne auprès de la juge qui un temps avait avoué qu’elle a subi des pressions pour faire condamner Fillion. Mais sans doute qu’elle a été menacée au moment où le minus a ordonné une enquête qui comme on pouvait s’en douter a été tronquée. Avec le FDP au pouvoir, le mal est déjà fait, pour que la france redevienne la france, ça va devenir très dure car il faudra pour repartir à zéro, virer tous les islamistes, faire taire toute la gaucherie et surtout jeter le psychopathe avant qu’il ne fasse davantage de dégâts au point où un retour en arrière serait exclu.
Il serait temps de remettre de l’ordre dans la juridiction de ce pays et virer les juges qui en condamnant Fillion pour des broutilles ont fait élire l’incapable que seulement les médias aux ordres et les islamistes approuvent ça manière de gouverner. Car, ne vous détrompez pas, toutes les décisions des ministres, Castex en tête, sont dictées par le minus. L’ancien 1er ministre a été chassé, car il faisait sans doute de l’ombre au minus.
Et les conflits d’intérêt, comme ceux de Richard Ferrand ?
Et les agressions sexuelles comme celle de Moussa Darmanin ?
On en parle quand ?