Est-ce que Shapiro a été écarté pour son soutien à Israël ?
La nomination de Tim Walz par la vice-présidente Kamala Harris comme colistier a suscité des réactions vives et diverses. Certains ont soulevé des accusations selon lesquelles le gouverneur de Pennsylvanie, Josh Shapiro, aurait été écarté en raison de sa judéité et de son soutien fort à Israël, accusations que l’équipe de campagne de Harris a vigoureusement rejetées.
Le choix de Tim Walz a immédiatement suscité des critiques, notamment de la part de personnalités comme Alan Dershowitz, qui a insinué que Shapiro n’avait pas été choisi en raison de sa foi juive et de ses positions pro-israéliennes. Ces accusations ont été relayées par certains membres de la communauté juive, qui ont exprimé leur déception face à ce qu’ils considèrent comme une campagne antisémite menée contre Shapiro.
L’équipe de Harris a répondu fermement à ces allégations, affirmant que ni la religion de Shapiro ni ses opinions sur Israël n’avaient joué un rôle dans la décision. Un conseiller de Harris a déclaré : « La vice-présidente Harris a un engagement inébranlable envers la sécurité d’Israël et combattra toujours l’antisémitisme. » Ils ont également souligné que Harris et son mari, Doug Emhoff, qui est juif, soutiennent activement la communauté juive.
L’identité juive de Shapiro a été un sujet de débat parmi les experts et les commentateurs. Bien que Shapiro soit connu pour son soutien à Israël, ses détracteurs l’ont dépeint comme trop aligné avec l’État hébreu. Cependant, des figures politiques comme Amy Spitalnick ont défendu Harris, soulignant qu’elle a choisi Walz pour ses qualifications et non par préjugé.
Des leaders juifs au sein du parti démocrate, tels que Halie Soifer du Jewish Democratic Council of America, ont soutenu la décision de Harris, rappelant que Walz est lui aussi un fervent partisan d’Israël. Ils ont rejeté l’idée que l’antisémitisme ait influencé le choix de la vice-présidente.
Josh Shapiro lui-même a minimisé l’impact de sa judéité sur le choix de Harris, affirmant qu’il était engagé à poursuivre son mandat de gouverneur. Il a exprimé sa fierté d’être juif et a réitéré son soutien à Walz lors d’un rassemblement à Philadelphie.
Les républicains ont utilisé cette situation pour critiquer le parti démocrate, l’accusant de céder à une base prétendument antisémite. Cependant, des voix au sein du parti ont appelé à un examen de conscience pour adresser les manifestations d’antisémitisme.
La nomination de Tim Walz par Kamala Harris a révélé des tensions sous-jacentes au sein du parti démocrate et dans la politique américaine concernant la relation avec Israël et l’antisémitisme.
Jforum.fr
Des proches conseillers de Biden l’ont convaincu que si les arabo-musulmans Américains ne votaient pas pour lui, il ne serait pas élu.
Comme il était à la recherche d’une victoire diplomatique pour donner du poids à sa candidature, il s’est laissé entraîner dans une position hostile à Israël à qui il a attaché les mains en l’empêchant de faire la guerre à Gaza comme il l’entendait, tout en l’empêchant d’agir au Sud Liban contre le hezbollah qui s’en est donné à coeur joie avec des tirs de missiles quotidiens qui ont dévasté le nord d’Israël.
Pour bien enfoncer le clou, il a bloqué la livraison de certaines armes dont des bombes de deux tonnes, au prétexte qu’elles pouvaient servir à Gaza.
Enfin, que dire de la frénésie de l’Administration Biden à vouloir imposer un cessez-le-feu à Gaza, synonyme de la capitulation de Tsahal, à la plus grande joie du Qatar qui menait des négociations non pour libérer les otages, mais pour sauver la peau du Hamas qui était en cours de neutralisation.
Comment expliquer cet acharnement contre un « allié fidèle » comme Israël ?
Tout le monde sait que Biden n’est qu’une marionnette entre les mains d’un groupe mafieux conduit par Obama et une clique, qui écrivent pour lui des bouts de papier qu’il lit ou qui lui apprennent par coeur les discours qu’il récite comme un perroquet.
Si les responsables politiques Juifs Américains avaient bien fait leur boulot, ils auraient pu faire valoir que le « vote Juif » est de plusieurs millions de fidèles électeurs, tandis que les donateurs se comptent par centaines, et que cet ensemble peut peser plus que les voix des arabo-musulmans Américains.
A l’heure où le Moyen Orient peut flamber d’une minute à l’autre, des représentants de l’Administration Américaine annoncent que nous sommes très près d’un accord pour un cessez-le-feu à Gaza, alors que les négociateurs ont disparu !!!
Cette Administration est perverse et hypocrite, elle ne mérite aucune confiance.
Il ne serait pas étonnant d’apprendre que cette annonce fait suite à une négociation secrète menée avec les enturbannés pour obtenir un arrêt des combats à Gaza.
Il ne faut pas attendre longtemps, maintenant que les porte-avions sont surplace, il faut en profiter pour prendre les devants et frapper très fort tous les ennemis….