Erdogan menace Israël et les États-Unis : ils doivent se retirer de Syrie – sinon il y aura des conséquences
Erdogan met en garde Israël et les États-Unis : des conséquences à prévoir en Syrie
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a lancé une sévère mise en garde à l’attention d’Israël, des États-Unis, et des autres puissances étrangères impliquées en Syrie. Lors d’une déclaration publique ce mercredi, il a exigé le retrait immédiat des forces militaires étrangères opérant dans le pays, menaçant de répercussions graves en cas d’inaction.
Une condamnation des actions en Syrie
Dans son allocution, Erdogan a critiqué les interventions militaires étrangères, y compris celles d’Israël, des États-Unis, et de la France, les appelant à « retirer leurs mains de la Syrie ». « Si ces agressions persistent, elles entraîneront des conséquences négatives pour tous les acteurs concernés », a-t-il affirmé, mettant en exergue la complexité du conflit syrien.
Erdogan a particulièrement ciblé les Forces démocratiques syriennes (FDS), une coalition dominée par les milices kurdes des YPG, qu’il qualifie d’ »organisation terroriste ». Ces dernières contrôlent actuellement une grande partie du nord et de l’est de la Syrie, ce qui représente une priorité stratégique pour Ankara. Selon le président turc, le YPG constitue la principale menace dans la région.
Accusations de livraison d’armes aux FDS
Les tensions ont été exacerbées par des allégations médiatiques turques rapportant un prétendu accord entre l’Iran et les FDS pour fournir 1 500 drones d’attaque aux milices kurdes. Ces informations, publiées dans le journal turc Yeni Shafak, ont été catégoriquement démenties par un porte-parole des FDS, qui a affirmé que leurs armes sont fabriquées localement. Ce dernier a également rejeté les accusations de collaboration avec l’Iran, partenaire stratégique de la Syrie mais rival de la Turquie dans la région.
Attaque aérienne américaine dans le nord de la Syrie
Pendant ce temps, des médias arabes ont rapporté qu’un avion militaire américain aurait ciblé une moto dans la région d’Idlib, tuant deux occupants. Bien que les États-Unis n’aient pas confirmé l’incident, cette attaque illustre la poursuite des opérations aériennes dans une zone stratégique proche de la frontière turque.
Un jeu d’alliances et de rivalités
Ce nouvel épisode reflète la complexité du conflit syrien, où les rivalités géopolitiques se mêlent à des alliances fragiles. La Turquie poursuit son objectif de neutraliser l’influence kurde à ses frontières, tandis que les États-Unis maintiennent leur coopération avec les FDS pour lutter contre les résurgences de l’État islamique.
Dans ce contexte, les déclarations d’Erdogan semblent également chercher à renforcer sa position sur la scène internationale, alors que le rôle de la Turquie dans les équilibres régionaux reste sous le regard attentif de ses partenaires et adversaires.
Si des ajustements sont nécessaires ou si vous souhaitez explorer un aspect particulier du sujet, je suis à votre disposition.
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Et quand la Turquie va-t-elle se retirer de CHYPRE ? LOL
Quel clown Erdoğan
Il ferait mieux de se taire
Voilà que le Sultan d’Istanbul qui est loin d’être un kamikaze, même si ses provocations et ses déclarations incendiaires contre Israël, n’iront pas jusque à l’affrontement, la ramène une fois de plus avec ses menaces invraisemblables.
Le Sultan connait bien les limites de ses gesticulations et il n’est pas suffisamment fou pour engager un conflit ouvert avec Israël en Syrie.
Israël devra trouver des moyens dissuasifs pour contrer la volonté du Sultan d’exterminer les kurdes, avec qui Israël a toujours entretenu de très bonnes relations.
Erdogan le dictateur qui cherche sa place dans les bouleversements actuels au Moyen Orient, veut profiter des chaos pour régler leur sort aux Kurdes et récupérer en passant, des territoires syriens avant que l’islamiste ne s’installe au pouvoir.
Nous tenons une preuve supplémentaire, du manque de fiabilité des dirigeants zarabes qui déchirent les traités signés dès que leurs intérêts sont modifiés.
Très franchement, qu’est-ce que la Turquie pourrait gagner en engageant un conflit ouvert avec Israël en Syrie, à part de se prendre une branlée ????
Elle pourrait gagner une très belle branlée !