des journalistes avec les barbares du hamas

Avec les terroristes du Hamas: des photographes des médias internationaux sont venus à la clôture et ont couvert le massacre.

Les terroristes du Hamas n’ont pas été les seuls à documenter les événements difficiles de l’attaque surprise meurtrière du 7 octobre. Les travailleurs gazaouis qui sont employés en tant qu’indépendants (et non en emploi permanent) par les agences de presse internationales ont livré des documents sur les événements difficiles sur leur lieu de travail. Ils ont vu comment des citoyens israéliens ont été kidnappés dans la bande de Gaza et ont documenté les horreurs qui ont eu lieu dans le sud lors du Shabat noir. Une enquête du site Honest Reporting publiée hier soir (mercredi) montre que c’est ainsi qu’ont agi les photographes des principaux sites Internet ce samedi-là.

Les documents fournis par les photographes indépendants soulèvent des questions éthiques difficiles. Qu’ont-ils fait samedi matin à la frontière entre Gaza et Israël, votre arrivée sur place a-t-elle coïncidé avec les gens du Hamas ? Il convient de noter que les médias affirment qu’ils sont arrivés dans la zone de la clôture plus de deux heures après le début de l’incident, au moment où les informations faisant état de l’incident ont commencé à se répandre.

Quatre noms apparaissent derrière les photos AP prises à la frontière avec Israël le samedi noir. L’un d’eux, Hassan A. Sahih , qui travaille également pour CNN, a pénétré en territoire israélien. Il a photographié un char en feu et s’est infiltré dans le kibboutz Kfar Gaza. Selon Honest Reporting, A Sahih s’est filmé devant le char israélien sur son compte Twitter, il ne portait ni gilet de presse ni casque – et a écrit en arabe : « Des vies des colonies de la bande de Gaza ».

D’après les conversations avec les médias, il ressort qu’il n’existe aucun document des photographes en question datant de 6h30, heure du début de l’attaque, ni du moment où la clôture a été franchie, à l’exception des caméras des terroristes. Selon eux, les premiers documents ont eu lieu plus de deux heures et demie après le début de l’attaque, alors que l’incident avait déjà été signalé.

Scoop: What were @AP, @Reuters, @CNN & @nytimes Gaza freelance photographers doing inside Israel on October 7? Coincidence or were they part of the plan? https://t.co/KcdXMd4DYF

— HonestReporting (@HonestReporting) November 8, 2023

L’organisation HonestReporting a publié hier (mercredi) une enquête sur des photographes de presse de médias internationaux qui, le jour du sabbat des horreurs, ont rejoint les terroristes du Hamas et ont infiltré Israël depuis la bande de Gaza.
Une enquête menée par HonestReporting indique que le 7 octobre, les terroristes du Hamas n’étaient pas les seuls à documenter les crimes de guerre qu’ils ont commis dans les colonies du sud : certaines des atrocités ont été documentées par des photographes de presse travaillant pour les agences de presse Reuters et AP, ainsi que par des pigistes travaillant pour CNN et le New York Times.

L’organisation qui a publié l’enquête, qui s’efforce de dénoncer les préjugés contre Israël dans les médias mondiaux, a noté que la présence des photographes dans la zone de brèche de la barrière frontalière tôt le matin soulève des questions éthiques: leur arrivée a-t-elle été coordonnée avec le Hamas?? Les principales agences de presse ont-elles approuvé l’entrée des photographes sur le territoire d’Israël – un État ennemi – aux côtés des terroristes du Hamas? Les photographes indépendants de CNN et du New York Times ont-ils informé les médias américains qu’ils accompagnaient les terroristes lors du massacre ?

Quatre noms apparaissent au générique de l’AP sur les photos du dur samedi : Hassan Asliya, Yusuf Massoud, Ali Mahmoud et Hatem Ali. Asaliya, qui travaille également pour CNN, a traversé la frontière avec Israël, a pris des photos d’un char de Tsahal en feu et a documenté l’infiltration de terroristes dans le kibboutz Kfar Gaza. Il a mis en ligne sur Twitter des photos, qui ont depuis été supprimées, dans lesquelles il s’est filmé debout. « Diffusion en direct depuis les colonies de la bande de Gaza », a-t-il écrit dans un tweet auquel il a joint les photos de la frontière. Massoud, qui travaille aussi pour le New York Times en plus de l’AP, était également là.
Ali Mahmoud et Hatem Ali ont filmé l’enlèvement des Israéliens à Gaza. Selon HonestReporting, les crédits des photographes qui se trouvaient dans la limite ont ensuite été supprimés de certaines photos de la base de données AP.

Des journalistes étrangers ont filmé le massacre dans la bande de Gaza le 7 octobre ( Photo : HonnêteReporting )

Des journalistes étrangers ont filmé le massacre dans la bande de Gaza le 7 octobre ( Photo : HonnêteReporting )

Reuters a publié des photos de deux journalistes qui se trouvaient également à la frontière lorsque des hordes de terroristes sont entrées en Israël : Muhammad Faik Abu Mustafa et Yasser Kudih. Ils ont pris des photos d’un char incendié en territoire israélien et Abu Mustafa a également documenté le lynchage d’un soldat de Tsahal retiré du char. Reuters a averti ses lecteurs que la photo était difficile à visualiser, mais l’a néanmoins incluse dans le «  Liste des photos du jour » en ce terrible samedi.
L’agence de presse AP a répondu aux allégations en déclarant à Ynet que « l’agence n’avait aucune connaissance des attaques avant qu’elles ne surviennent. Le rôle de l’AP est de recueillir des informations sur les événements d’actualité dans le monde, où qu’ils se produisent, même lorsqu’ils sont horribles et provoquent des dégâts massifs ». L’agence utilise des photos prises par des indépendants dans le monde entier, y compris à Gaza. L’AP a refusé de commenter la question de savoir si les photographes cesseraient de travailler pour l’agence de presse.
La chaîne américaine CNN a déclaré : « Nous avons examiné l’article et de la photo concernant Hassan Asliya, un photojournaliste indépendant qui a travaillé avec plusieurs médias internationaux et israéliens. Même si à ce stade nous n’avons trouvé aucune raison de douter de l’exactitude journalistique de l’ouvrage. qu’il l’a fait pour nous, nous avons décidé de rompre tout lien avec lui. »

CNN a décidé ce matin de suspendre l’un des photographes, qui a été enregistré en train d’embrasser Sinwar

Les agences Reuters et « New York Times » n’ont pas encore répondu aux allégations portées contre leurs employés.

Outre le tollé en ligne autour de l’enquête, le ministre de l’énergie Israel Katz a également tweeté sur son compte X (ancien Twitter) : « Un photographe qui a connu, gardé le silence et documenté le massacre est considéré comme un terroriste. Celui qui sera l’ami de Sinwar finira comme Sinwar. »

JForum.fr avec www.mako.co.il et ynet Daniel Adelson

Les photographes de CNN, Reuters et AP ont couvert le massacre du 7 octobre | Photographie : un reportage honnête